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MandrakeSoft
Janvier 2000 http://www.linux-mandrake.com
Pour clarifier les explications, ce document utilise différentes polices de caractères pour représenter des objets aux interprétations différentes. On utilise parfois la même fonte pour divers types d'objets; c'est alors le contexte qui vous permettra de savoir de quoi on parle, ou il n'est pas crucial d'être capable à la lecture de distinguer précisément entre les divers types d'objets.
Remarquez que dans les exemples qui suivent la taille de la police est ajustée automatiquement pour occuper au mieux la largeur de la page. Ce sera le cas dans tout le manuel. La plupart des exemples de cette section utilisent des programmes invoqués depuis une ligne de command, c'est-à-dire un terminal dans lequel on tape des commandes. Rendez-vous au chapitre correspondant pour savoir comment obtenir un terminal.
# Les portions de code sont présentées ainsi.
# Une portion de code est une interaction
# dans un terminal entre l'utilisateur et
# l'ordinateur.
# Les lignes commençant par un signe « dièse »
# comme celle-ci, (#) sont des commentaires.
# Les lignes commençant par un signe « dollar »
# ($) sont des commandes à taper, soit en tant
# que vous-même, soit en tant que root (c'est
# la lecture du contexte qui vous le dira).
# Les lignes se terminant par une anti-barre
# oblique (\) se continuent sur la ligne qui
# suit. Certains programmes comprennent cette
# convention.
# Les autres lignes sont les messages de
# l'ordinateur.
$ file /dev/null
/dev/null: character special (1/3)
$ echo Bonjour \
le monde
Bonjour le monde
$ echo Bonjour le monde
Bonjour le monde
# Les portions des fichiers de configuration
# sont présentées ainsi. Souvent, les lignes
# commençant par des signes « dièse » (#)
# sont des commentaires.
# affecte une valeur à la variable TOTO
TOTO="Ma valeur"
commande <argument non littéral> [argument optionnel...]
Il est très important de comprendre comment interpréter les caractères spéciaux dans les syntaxes de commande.
Les signes « plus grand que » et « inférieur à » entourent
un argument à ne pas recopier littéralement, mais à interpréter avant de
ce faire. Par example, <nom_fichier>
se réfère au nom du fichier
proprement dit. Si ce nom est toto.txt
, il vous faudra taper
toto.txt
, et non pas <toto.txt>
ou
<nom_fichier>
.
Les crochets signalent des arguments facultatifs, que vous pouvez ou non inclure dans la commande.
Les points de suspension indiquent qu'on peut insérer un nombre arbitraire d'objets.
Cette syntaxe reprend la syntaxe utilisée dans la synopsis des pages de manuel du système
C'est ainsi qu'est représenté ce que vous devez taper littéralement.
Les messages affichés par l'ordinateur sont présentés ainsi.
Ce manuel utilise un certain nombre de polices différentes (dont les effets peuvent parfois s'additionner) pour vous aider à distinguer la sémantique ou la nature des mots utilisés. Elles apparaîtront de la manière suivante:
:)
Cette police
est utilisée pour montrer des commandes
qu'il faut taper telles quelles, dans un terminal.
'Cette police'
est utilisée pour les noms de variables.
Cette police
est utilisée pour afficher les noms de
fichiers.
commande
<argument>
. Voyez plus haut pour savoir comment interpréter le contenu
d'une syntaxe.
Cette police
est utilisée pour représenter un message
littéral, ou quelquechose qu'il vous faut taper littéralement.
Cette police
est utilisée pour afficher les options.
http://machine/chemin/
.
utilisateur@domaine.xyz
.
fr.comp.os.linux.moderated
.
Échap.
.
'a'
.
utilisateur
.
commande(section)
.Note: les remarques à prendre en compte sont présentées ainsi.
Attention: les remarques importantes sont présentées ainsi.
Ce manuel a été mis en forme avec LaTeX. Perl et GNU
Make furent employés pour gérer l'ensemble de fichiers du projet. Les
images ont été prises avec xwd
et converties avec la commande
convert
(du paquetage ImageMagick). Les fichiers au
format PostScript
furent produits avec dvips
. Tous
ces logiciels sont libres et sont présents sur votre distribution de
Linux-Mandrake.