sur la courbe de ses hanches pour la saisir et la tourner. Son sexe est joliment coiffé, couvert de petits poils presque doux qui forment une amande autour de ses lèvres. Je souris en laissant deux de mes doigts commencer l'exploration de son vagin.
- Mes seuls poils sont-ils à ton goût ?
- Je te le dirais après y avoir eu goûté, en attendant je trouve ça très mignon.
- Mignon ? Ah ! Utilise donc ta langue à un autre usage, insolent !
Ah ! Pénoplée ! Faiblesse de la chair ! Je m'exécute et tout en continuant de lents mouvements de haut-en-bas avec mon majeur et mon index dans son sexe, je maintiens fermement sa fesse droite avec mon autre main et suce doucement son clitoris. Elle pose ses mains sur ma tête et gémit doucement. Elle se laisse faire quelques instants puis me remonte vers elle. Je serre son corps, mon pénis tendu contre elle. Je l'embrasse puis tourne autour d'elle. Je la ressaisis un fois derrière, serre ses seins puis redescend et écarte ses lèvres. Je plie légèrement les genoux pour remonter mon sexe contre son vagin. Je la pénètre si aisément, son excitation me rendant la voie presque trop facile. Elle gémit, moi-aussi. Elle se penche en avant et avance légèrement, moi avec, pour s'appuyer contre la table.
Je lui saisis les hanches et commence alors le premier va-et-vient. D'abord doucement, puis mettant un peu de force par moments, ou un peu de vitesse. Je lui donne envie à d'autres encore en ne la pénétrant que légèrement. Mon manège l'énerve et elle se retourne pour me pousser vers le lit.
- Attends...
- Non non je n'attends pas, c'est moi qui décide on a dit.
- Tu as dis, n'est-on pas en démocratie parfaite dans cette Congrégation ?
- Eh ! J'ai huit cent quatre vingt neuf ans, tu veux m'apprendre la vie ? Tu as quel âge toi, rappelle moi ?
- En années d'Adama ça doit faire dans presque dans les dix-sept
ans !
- Bah, j'ai plus de cinquante fois ton âge ! Tu n'es même pas majeur ! Gamin ! Alors laisse toi faire.
Je ne résiste pas plus, ayant bien peu d'antipathie à me laisser prendre en main, si je puis dire, par la belle. Elle m'allonge sur le lit et s'agenouille sur moi, puis avec des petits mouvements du bassin parvient à réintroduire mon sexe en elle.
- Me !?
L'ordinateur du chalet réponde de sa voix douce :
- Oui Pénoplée ?
- Insonorisation !
- Pas de problème, fais-toi plaisir.
Je souris :
- Il est cool ton chalet.
Elle ne répond même pas et se contente d'un long gémissement en frottant son sexe fort contre le mien.
- Tu aimes quand je fais rentrer ton sexe profondément ?
Je suis presque gêné par ses propos, si direct. Mais je me laisse aller moi-aussi... Elle gémit :
- Oooh... Oui !!...
Elle accélère alors, jusqu'à ce que je saisisse sa taille pour accélérer encore la cadence. C'est alors qu'elle jouit, me griffant presque en contractant ses mains sur ma poitrine et justifiant l'usage de l'insonorisation. Je me retiens.
Quelques secondes passent, plus calmes, elle me demande :
- Pourquoi n'as-tu pas joui avec moi ?