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LéaBook , Chapitre :
Trucs & astuces de Léa

par tous les amis de Léa

 

 

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Table des matières


Trucs & astuces de Léa

Voici une sélection de trucs et astuces, écrits par l'équipe de Léa ou proposés par nos visiteurs. N'hésitez pas à nous en proposer de nouveaux !

Accueil

Administration (43)
Tout sur l'administration sous Linux : les droits, les permissions, les systèmes de fichiers, les logs,...
Installation (12)
Comment personnaliser son installation, les astuces sur les installations des distributions,...
Matériel (47)
Les petits trucs pour installer, configurer et utiliser les périphériques sous Linux.
video, son, modems, wifi...
Noyau (9)
Comment jouer avec les paramètres du noyau et des modules, les personnaliser pour ses besoins.
Noyau 2.4...
Au secours (16)
Que faire quand plus rien ne marche, quand Linux ne démarre plus, que X plante...
documentation...
Shell (29)
Les commandes du shell, leurs paramètres, les scripts...
Logiciels (22)
Des trucs et astuces sur les logiciels.
bureautique, multimedia, jeux...
X Window (20)
Comment personnaliser son environnement graphique, activer des options, jouer avec les fontes...
Réseau (35)
Comment bien tirer parti d'un réseau local, d'internet, les trucs sur le mail, etc.
web, courrier, transfert de fichiers...
Sauvegarde (11)
Tout (hum...) sur le gravage, les sauvegardes sur bandes, etc.

Administration

Tout sur l'administration sous Linux : les droits, les permissions, les systèmes de fichiers, les logs,...
Chrooter un utilisateur (ssh, terminal, console, etc...)
  Par : Benjamin Gigon <benjamin chez gigon point org>
  Dernière mise à jour : 01/08/2003
I) Préparation de l'utilisateur et son Home :

   1. Création de l'utilisateur :

        # adduser 

   2. Préparation de son home :

        # cd /home/
        # mkdir bin dev lib

        Nous allons y copier le binaire "bash", qui se trouve dans /bin/bash

        # cp /bin/bash /home//bin/

        Ce programme est dynamique, donc nous allons déterminer ses dépendances de librairies

        # ldd /bin/bash
                libncurses.so.5 => /lib/libncurses.so.5 (0x40026000)
                libdl.so.2 => /lib/libdl.so.2 (0x40064000)
                libc.so.6 => /lib/libc.so.6 (0x40068000)
                /lib/ld-linux.so.2 => /lib/ld-linux.so.2 (0x40000000)

        Nous constatons que "/bin/bash" est dépendant de /lib/libncurses.so.5, /lib/libdl.so.2, /lib/libc.so.6
        et de /lib/ld-linux.so.2.

        Nous allons les copier tout simplement dans l'arborescence chrootée :

        a) Manuellement :

                # cd /home/
                # cp /lib/libncurses.so.5 ./lib/
                # cp /lib/libdl.so.2 ./lib/
                # cp /lib/libc.so.6 ./lib/
                # cp /lib/ld-linux.so.2 ./lib/

        b) Automatiquement :

                # ldd /bin/bash | awk '{ print "cp "$3" /home//lib/" }' | bash

                N'oubliez pas de remplacer  par le bon login.

        Le répertoire "dev" devrait notamment servir à stocker les devices.
        Notamment le plus important, "/dev/null".
        Mais celui ci n'est pas indispensable.
        Si vous souhaitez quand même créer ce device, faites comme ceci :

                # mknod /home//dev/null c 1 3 -m 666

        Voici l'arborescence après coup :

        /home/
                |
                |-- bin
                |   |
                |   `-- bash
                |
                |-- dev
                |   |
                |   `-- null
                |
                `-- lib
                    |
                    |-- ld-linux.so.2
                    |-- libc.so.6
                    |-- libdl.so.2
                    `-- libncurses.so.5

   3. Modification du /etc/passwd

        Editez le fichier /etc/passwd (ou bien votre serveur centrale, cf: LDAP)
        Et modifiez les informations "shell" par :

                /bin/chrootuser

        Exemple :
                Avant :    chroot:x:1003:1003:,,,:/home/chroot:/bin/bash
                Apres :    chroot:x:1003:1003:,,,:/home/chroot:/bin/chrootuser
        Mais qu'est ce programme "chrootuser" ?
        Tout simplement un script bash avec quelques commandes.

II) Création du programme Wrapper

   Dans un fichier shell, mettez ceci :

        #!/bin/bash
        exec -c /usr/sbin/chroot /home/$USER /bin/bash

   Pour ma part, je l'ai enregistré dans /bin/chrootuser
   Et mettez ses droits en execution pour tous mais en ecriture que pour le root

        # chmod 755 /bin/chrootuser

  Sitôt terminé, vous pouvez vous connecter  :)


III) Premiers essais

   Notre première connection SSH  :)

        # ssh @localhost
        @localhost's password: 
        Linux #1 ven jan 17 22:00:45 CET 2003 i686 unknown
        bash-2.05a$

  Si vous remarquez bien, aucune commande n'est disponible (hormis commande interne bash)
  Si vous souhaitez rajouter ces programmes, vous faites comme pour "bash", en copiant les programmes
  et les librairies dépendantes.


IV) Automatiser tout ceci :

Voici un script qui automatise tout cela :

--------------------8<-------------------
#!/bin/bash

if [ "$#" != 1 ];
then
        echo "Usage : $0 "
        exit 255;
fi

LOGIN=$1
GROUP=chroot

echo "-- Création du groupe \"${GROUP}\""
groupadd "${GROUP}" > /dev/null 2>&1

echo "-- Création de l'utilisateur \"${LOGIN}\""
useradd \
        -c "User chrooted"      \
        -d "/home/${LOGIN}/"    \
        -g "${GROUP}"           \
        -s "/bin/chrootuser"    \
        "${LOGIN}"

echo "-- Son mot de passe : "
passwd "${LOGIN}" > /dev/null

echo "-- Création de l'arborescence de son homedir"
mkdir   /home/${LOGIN}/         \
        /home/${LOGIN}/bin/     \
        /home/${LOGIN}/lib/     \
        /home/${LOGIN}/dev/
chmod 700 \
        /home/${LOGIN}/         \
        /home/${LOGIN}/bin/     \
        /home/${LOGIN}/lib/     \
        /home/${LOGIN}/dev/

cp /bin/bash /home/${LOGIN}/bin/bash
ldd /bin/bash | awk -v "LOGIN=$LOGIN" '{ print "cp "$3" /home/"LOGIN"/lib/" }' | bash
mknod /home/${LOGIN}/dev/null c 1 3 -m 666
chown -R "${LOGIN}:${GROUP}" /home/${LOGIN}

echo ">> Utilisateur \"${LOGIN}\" chrooté"

echo "-- Création du programme /bin/chrootuser"
cat < /bin/chrootuser
#!/bin/bash
exec -c /usr/sbin/chroot /home/\$USER /bin/bash
EOF
chmod 555 /bin/chrootuser
--------------------8<-------------------

Idée originale : Anne

 

sauvegarder et restaurer sur un DAT / une bande
  Par : Gerald Pineau <gerald point pineau chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 23/07/2003

Pour sauvegarder :

"tar -czvf /dev/st0 chemin-a-sauvegarder-1 [chemin-a-sauvegarder-2 ...]"

Puis, pour récupérer ce qui a été enregistré :

"tar -xzvf /dev/st0"

c'est le paramètre "-f /dev/st0" qui indique à tar d'utiliser le lecteur st0. Vous pouvez aussi effectuer des actions très pratiques sur vos bandes qui peuvent par exemple être utilisées dans vos programmations de taches automatiques en meme temps que vos sauvegardes comme par exemple la retension des bandes :
"mt -f /dev/st0 retension"
ou la remise à zéro :
"mt -f /dev/st0 rewind"
ou l'effacement :
"mt -f /dev/st0 erase"
... voir "man mt"

Tout cela en admettant bien sur que st0 soit votre lecteur de bande (cas si vous avez un seul dat branché sur une carte scsi par exemple). Pour tenter de trouver le nom du votre essayez :
"dmesg | grep tape"

Si cela ne donne rien vérifiez que votre carte scsi est correctement reconnue avec :
"dmesg | grep scsi0"
si vous compilez votre noyau vous même n'oubliez pas le "scsi tape support" dans la rubrique drivers scsi.
Si vous compilez tout cela en modules n'oubliez pas de charger le module (st.o).

Cette astuce est tirée en partie d'une archive de mailing-list de l'aful : http://www.aful.org/wws/arc/educ/1999-05/msg00003.html (trouvée avec les mots-clefs "mt dat linux" dans une recherche francophone avec google)

Bonne sauvegarde !

 

supprimer les ^M dans les fichiers ascii (II, le retour)
  Par : Manisero <manisero chez freesurf point fr>
  Dernière mise à jour : 02/07/2003
Pour ma part j'ai utilise cette commande. A bon entendeur... linux.
Syntaxe : dos2unix srcfile destfile
#!/bin/bash
cat $1 | tr -d '\r' >$2

 

monter un lecteur de cdrom
  Par : Jean-Thomas MUYL (maston28) <jtmaston chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 16/06/2003
Cette question revient souvent, voici donc la ligne pouvant monter un lecteur de CDROM simplement.

mount -t iso9660 /dev/cdrom /mnt/cdrom

Pour démonter :

umount /mnt/cdrom

Pour que le montage soit automatique au démarrage, jettez un coup d'oeil à http://lea-linux.org/admin/fstab.php3.

Bonne chance !!

 

RH 9: Problème de polices avec certaines applications Gnome
  Par : Braouazou <braouazou chez hotmail point com>
  Dernière mise à jour : 26/05/2003

En raison de la transition à un nouveau système de polices basé sur fontconfig/Xft, GTK+ 1.2 les applications Gnome sous RedHat 9 ne sont touchées par aucun changement effectué au moyen du dialogue Préférences de polices.

Pour ces applications (Mozilla, Evolution...), une police peut être configurée en ajoutant les lignes suivantes au fichier ~/.gtkrc.mine:

style "user-font" {

fontset = "[spécification-police]"

}

widget_class "*" style "user-font"

Où [spécification-police] correspond à la spécification de police dans le style utilisé par les applications traditionnelles comme "-adobe-helvetica-medium-r-normal--*-120-*-*-*-*-*-*".

 

Retrouvez le point sur le pavé numérique sous RedHat 9
  Par : Braouazou <braouazou chez hotmail>
  Dernière mise à jour : 26/07/2003

Voici la solution que j'ai trouvée, et qui fonctionne chez moi :

Il faut créer un fichier .Xmodmap à la racine du répertoire utilisateur (ex: /home/toto/.Xmodmap) et y insérer la ligne suivante:

keycode 0x5B = period comma

Dès la prochaine connexion de l'utilisateur, ce dernier retrouvera le point avec la touche '.' du pavé numérique et d'insérer une virgule en combinant les touches shift + '.' du pavé numérique...

Suggestion de Dimitri ROBERT :

Cette manip fait en sorte que cette touche ne produise que des points, que le pavé soit verrouillé ou non. La virgule nécessite l'appui simultané de Shift. En revanche, le comportement Delete passe à la trappe.

Il vaudrait mieux faire ceci :
keycode 0x5B = KP_Delete period
Donc, remplacer KP_Decimal par period, vu que KP_Decimal est mal interprété.

Pour voir les codes renvoyés par toutes les touches, consultez le fichier /etc/X11/xkb/symbols/us pour la base du clavier et /etc/X11/xkb/symbols/fr pour les spécificités de nos claviers

 

Lire les pages man avec konqueror
  Par : L. <sharon18 chez caramail point com>
  Dernière mise à jour : 22/05/2003

Pour éviter la lecture fastidieuse des pages de manuel dans un terminal, on peut taper man:commande dans konqueror : les pages ont alors une belle mise en forme et sont même en couleur !!!!

(fonctionne avec kde 3.1)

 

mode vga = extended
  Par : imhotep <imhotep77 chez caramail point com>
  Dernière mise à jour : 29/04/2003

Il arrive parfois que le mode vga = extended de lilo ne soit pris en compte que pendant un certain temps au démarage.

Pour avoir le mode vga = extended en mode console, il suffit d' éditer les fichiers
/etc/rc.d/init.d/keytable
et
/etc/rc.sysinit

Mettre en commentaire le chargement des sysfont.

On redémarre et hop problème résolu ! (problème rencontré sur ma redhat 8.0)

 

SB AWE 64 (et autres cartes son ISA)
  Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 01/04/2003

Installer de vieilles cartes son sur bus ISA n'est souvent pas une sinécure, mais si une SB 16 peut très bien faire l'affaire, pourquoi acheter une carte PCI ?

Heureusement ALSA est là, et il va nous simplifier la tâche : plus besoin d'utiliser les isapnp-tools qui gèrent l'initialisation des cartes ISa Plug'n Play (voir l'article sur le PnP), car ALSA intègre cette fonctionnalité.

Il vous faudra tout d'abord installer ALSA (voir l'article cartes son), mais la plupart des distributions le font en standard, ou proposent des paquets pour le faire. Cherchez les paquets contenant le nom "alsa" et installez-les (Mandrake : urpmi, Debian : apt-get, RedHat: rpm, etc.)

Configurez le fichier /etc/modules.conf en y ajoutant les lignes suivantes :

#ALSA
alias char-major-116 snd
alias snd-card-0 snd-sbawe
alias char-major-14 soundcore
alias sound-slot-0 snd-card-0
alias sound-service-0-0 snd-mixer-oss
alias sound-service-0-1 snd-seq-oss
alias sound-service-0-3 snd-pcm-oss
alias sound-service-0-8 snd-seq-oss
alias sound-service-0-12 snd-pcm-oss
post-install snd-sbawe modprobe snd-pcm-oss snd-seq-oss snd-mixer-oss

La seule partie spécifique à la SB AWE 64 a été mise en gras ci-dessus. Pour votre carte, vous n'avez qu'à mettre le bon module à la place. Pour le trouver, faites un find /lib/modules -name "snd-sbawe*". Cela va afficher un répertoire, les autres modules se trouvent dedans. L'article sur les cartes son donne les noms des modules pour les différentes cartes, mais il faut supprimer le -card dans le nom du module.

Commentez (si besoin est), en mettant des # en début de ligne, les lignes correspondant à OSS, dans mon cas, cela donne :

#alias sound-slot-0 sb
#options sound dmabuf=1
#options opl3 io=0x388
#alias synth0 awe_wave
#post-install awe_wave /bin/sfxload /etc/midi/GU11-ROM.SF2
#options sb isapnp=1

Il suffit maintenant de charger le son : tapez (en root) : # modprobe snd-card0 et vous devriez pouvoir jouer des sons.

Si les anciens drivers OSS étaient chargés, il faut auparavant les supprimer : # rmmod sb sb-lib sound soundcore. Là aussi, le "sb sb-lib" est spécifique aux cartes SB, un lsmod vous renseignera sur les modules à supprimer.

Ça y est : vous pouvez jouer des sons !

En cas de problèmes :

 

supprimer les ^M dans les fichiers ascii (II, le retour)
  Par : Zeck <zeck chez netliberte point org>
  Dernière mise à jour : 17/03/2003

Syntaxe : dos2unix srcfile destfile

dos2unix est le script suivant :

#!/bin/bash
awk '{ sub("\r$", ""); print }' $1 > $2

 

Clavier français en mode console
  Par : Laurent DUBETTIER-GRENIER <laurent point dubettier tiret grenier chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 03/02/2003

Il arrive que votre système soit installé par défaut en mode console avec un clavier anglais (qwerty au lieu de azerty). C'est génant, surtout pour les mots de passe...

Pour configurer correctement votre clavier (testé sous Mandrake Linux 8.2 uniquement):

Vérifier que vous avez bien le fichier :
fr-latin1.kmap.gz
installé sous :
/usr/lib/kbd/keymaps/i386/azerty

Si oui, éditer le fichier :
/etc/sysconfig/keyboard
et remplacer :
KEYTABLE=us-latin1
par :
KEYTABLE=fr-latin1

Enregistrer, redémarrer, et le tour est joué...

 

Changer le nom de root
  Par : Riquer <script point fan chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 01/02/2003

On dit souvent qu'il est très difficile de changer le nom du superutilisateur (root), cela dit il existe une astuce pour qu'il apparaisse avec un nom différent dans les consoles.

Pour cela, on édite les fichiers /etc/passwd et /etc/shadow.
Au départ, on a les lignes :

root:x:0:0::/root:/bin/bash
(...)
dans /etc/passwd

et

root:MDP_crypté_du_root:11631:0:::::
(...)
dans /etc/shadow

Or le shell, pour afficher un nom de login cherche le premier login de /etc/passwd correspondant a son UID. En mettant donc AU-DESSUS dans /etc/passwd un utilisateur d'UID 0 et de nom différent, on verra apparaître le root sous ce nom là :
/etc/passwd :
jah:x:0:0:Operateur systeme,,,:/root:/bin/bash
root:x:0:0::/root:/bin/bash
bin:x:1:1:bin:/bin:

Ici root s'appellera Jah ;)

Il ne faut pas oublier de mettre un mot de passe a Jah dans /etc/shadow :
jah:MDP_crypté_du_root:11631:0:::::
root:MDP_crypté_du_root:11631:0:::::
bin:*:9797:0:::::

(...)

Et voilà !

On teste :

nircotik @ Licorne ~$ su
Mot de passe:
jah @ Licorne /home/coldhandz# exit
exit
nircotik @ Licorne ~$

Ça a fonctionné, et les applications comme su qui font appel au root fonctionneront de façon transparente sans qu'on ait eu a éditer les sources ;)

NDM: ça ne change rien au fait que se logguer en tant que root sur une machine est dangereux, ne le faites qu'en cas de nécessité.

 

Copier à la volée avec tous les frontend
  Par : Cyril <doudou tiret girard chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour faire reconnaître tous vos lecteurs et graveurs IDE avec les front-ends de gravure et pouvoir faire de la copie de cd à cd voici la démarche à suivre.

Lancez votre front-end, maintenant vous pouvez vous servir de votre lecteur de cd sans pbs pour faire de la copie de cds à cds et vous pouvez monter directement avec les icônes respectifs.

 

Supprimer les ^M dans les fichiers ascii (bis)
  Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Suite au premier Trucs & Astuces, Supprimer les ^M dans les fichiers ascii de FP, que je vous invite à consulter, je vous propose une autre méthode afin de supprimer ces sales bêtes.

Avant tout, sachez que le ^M que vous voyez dans votre fichier texte est la manifestation du retour à la ligne des fichiers sur un système Microsoft Windows.
Sur les Unix-like (Linux, *BSD, Mac OS X, ...) le retour à la ligne est le code ascii 10 (<Ctrl-Alt-10> ou 0A en hexadécimal), alors que sous un système de Microsoft, le retour à la ligne est l'ensemble des deux codes ascii dans l'ordre : 13 et 10 (<Ctrl-Alt-13> et <Ctrl-Alt-10> ou 0D et 0A en hexadécimal).

Donc pour supprimer ces fameux ^M, faites comme suit :

Ouvrez votre fichier avec vi (ou vim, gvim, ...).
Une fois le fichier ouvert, tapez :
:%s/<Ctrl-v><entrée>//g

Pour rendre cette manipulation plutot ingrate automatique, faites en une macro !
Editer votre fichier ~/.vimrc et ajoutez y la ligne suivante :
map v :%s/<Ctrl-v><Ctrl-v><Ctrl-v><Ctrl-v><Ctrl-v><entrée>//g
Ensuite, lorsque vous ouvrirez un fichier avec des ^M, il vous suffira de taper v et <entrée>.

Cette solution a l'avantage de marcher sur tous les systèmes Unix-like, car vi (ou un clone) est présent sur tous les systèmes Unix-like.

D'autres solutions possibles :

NDM: voir aussi la fin de l'article sur vi.

 

RedHat 8.0 et le codage des caractères
  Par : Julien <j point valroff chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Sous RedHat 8.0, l'affichage des accents ainsi que leur écriture peut poser quelques problèmes. Ceci est dû au fait que l'encodage par défaut a changé pour utf-8 (unicode)...

Pour afficher correctement les accents sur RedHat 8.0, il suffit de modifier cet encodage par défaut :

Pour celà, éditez le fichier /etc/sysconfig/i18n à l'aide de votre éditeur préféré.

Lancez par exemple vi en lignes de commandes:
# vi /etc/sysconfig/i18n

Remplacez la ligne :
LANG="fr_FR.UTF-8"
par celle ci :
LANG="fr_FR@euro"

Sauvegarder et quitter (ESC, ":wq").

Ensuite, pour les applications Perl, lancez la commande:
# localedef -f ISO-8859-1 -i fr_FR fr
si vous utilisez glibc...

Si toutefois vous continuez à avoir des problèmes, notamment lors du lancement de programmes PERL, et recevez ce type d'erreurs (sans conséquence):
perl: warning: Setting locale failed.
perl: warning: Please check that your locale settings:
LANGUAGE = "en_US:en",
LC_ALL = "en_US",
LC_MESSAGES = "en_US",
LC_TIME = "en_US",
LC_NUMERIC = "en_US",
LC_CTYPE = "en_US",
LC_MONETARY = "en_US",
LC_COLLATE = "en_US",
LANG = "en_US"
are supported and installed on your system.
perl: warning: Falling back to the standard locale ("C").


Téléchargez locale_config à l'adresse:
ftp://rpmfind.net/linux/redhat/7.3/en/os/i386/RedHat/RPMS/locale_config-0.3.4-2.i386.rpm
puis installez le:
# rpm -i locale_config-0.3.4-2.i386.rpm
et lancez l'utilitaire:
# locale_config

Choisissez votre langue par défaut et le tour est joué !

C'est tout! Il vous suffit alors de redémarrer le système (# reboot), et tous les accents réapparaîtront normalement ;-)

 

supprimer les ^M dans les fichiers ascii
  Par : fp <crontab chez caramail point com>
  Dernière mise à jour : 06/03/2003

Voilà enfin un modèle de fichier dos2unix pour ceux qui en cherchaient, Celui - ci est en ksh mais il est sûrement assez simple à adapter au bash...

#!/bin/ksh
#*********************************************************************
# fichier : dos2unix
# description : Conversion fichier DOS en fichier UNIX
# (suppression des ctrl M)
# parametres :
#*********************************************************************
# saisie nom de fichier a convertir
if [ $# -lt 1 ]
then
read F?"Fichier(s) a convertir :"
else
F=$*
fi

# traitement fichiers
for fic in $F
do
if [ ! -f $fic ]
then
echo $fic n\'est pas un fichier valide
continue
else
typ=`file $fic|grep -i -E "text|shell"`
if [ "${typ}a" = "a" ]
then
echo Fichier $fic Non ASCII
else
tr -d "\015\023" <$fic >${fic}.$$
# aclget $fic | aclput ${fic}.$$
mv ${fic}.$$ $fic
echo $fic converti
fi
fi
done

Remarque (R. LEROY): Pour Debian si vous voulez faire encore plus rapide :
apt-get install sysutils
puis dos2unix fichier.txt

 

Envoyer un mail en console ou un fichier
  Par : drinou <f5nlg chez tiscali point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour envoyer un mail en console rien de plus simple :

mail -s "ceci est le sujet" destinataire@domaine.org

puis il faut taper le texte (et finir par CTRL+D)

Encore plus fort envoyer un fichier , résultat d'une sauvegarde par exemple ...

cat fichier | mail -s "ceci est le sujet" destinataire@domaine.org

Ceci à la fin de la sauvegarde et hop ! On sait automatiquement que c'est bon.

tuxement votre
-*- Drinou -*-

 

Eterm fondu dans le fond d'ecran
  Par : dave <dave chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Vous en avez marre d'avoir des shells avec des grosses barres autour!

Au lieu d'afficher votre fond d'écran avec bsetbg ou bsetroot, il faut lancer votre fond d'écran avec Esetroot:
Esetroot -f(fullscreen) -s(scale) -c(center) /home/.../image.jpg

Esetroot est le seul à activer la transparence sous X : xchat en transparent c'est mieux, non? ;)

Puis pour Eterm, lancer par exemple:
"Eterm -f green -b black -O --shade 25 --utmp-logging -x -w=0 --scrollbar=0 --buttonbar=0 -g 70x10x0x0}"

Et voilà! Eterm le plus simplement!

Bien sur, vous allez tuez le shell donc il reste à exécuter :
nohup Eterm -f green -b black -O --shade 25 --utmp-logging -x -w=0 --scrollbar=0 --buttonbar=0 -g 70x10x0x0} &"

A savoir :
alt+cliqueGauche = déplacer eterm
alt+cliqueDroit = redimensionner eterm

 

Utiliser le gestionnaire d'impression de KDE avec toutes les applications
  Par : Léa (Fred) <frederic point bonnaud chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Il est une chose fort peu connue, KDE offre son gestionnaire d'impression à toutes les applications.

Il suffit de préciser "kprinter" ou "kprinter --stdin" (ça dépend du programme) comme imprimante en lieu et place de "lpr" ou "lpr -Pmonimprimante".

Ce programme ouvre alors une fenêtre permettant de choisir l'imprimante ainsi que les paramètres d'impression, puis lance l'impression de façon habituelle.

 

Clavier français avec LILO
  Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Vous devez taper 'zindozs' au lieu de 'windows' au prompt de LILO et ça vous dérange ? (moi j'aime bien ;)

Pour passer LILO en clavier AZERTY français, il faut insérer au début de /etc/lilo.conf la ligne suivante :
keytable=/boot/fr-latin1.klt
et copier le fichier fr-latin1.klt ci-joint dans /boot.

Bien sûr, ne pas oublier de relancer /sbin/lilo après avoir modifié /etc/lilo.conf...

 

Garder sa machine à l'heure
  Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
  Dernière mise à jour : 28/02/2003

Il est possible de garder sa machine à l'heure sans se prendre la tête ! Pour cela il suffit d'utiliser les commandes ntp, ce qui signifie Network Time Protocole.

Rien de plus simple à utiliser. Une fois connecté à l'Internet, lancez, en root la commande suivante :
ntpdate nom-serveur-ntp

Si cela ne marche pas et que vous passez par un firewall, vous pouvez essayer :
ntpdate -u nom-serveur-ntp

Vous pouvez mettre cette commande à la fin du script shell qui vous sert à vous connecter à Internet.

Il se peut que ntpdate ne soit pas installé sur votre distribution. Cherchez le package sur les CDROMs d'installation ou pour :
Debian (deb)
RedHat/Mandrake/Suse (rpm)
Slackware (tgz)
Et les sources

De plus, pour ceux qui ont une connexion Internet permanente, penchez-vous sur le daemon ntpd. Et lancez le avec inetd ou xinetd.

Voici des listes des serveurs ntp :
en France
dans le monde

Voilà, c'est simple non !? :-)

Complément de Nicolas : en installant le package NTP, sur mandrake, NTP se met automatiquement en tant que service. Donc il est lancé à chaque démarrage. Par-contre, il n'est pas configuré. Editer (en root) le fichier /etc/ntp.conf. Chercher une ligne commençant par # server. Décommentez-là en enlevant le # et mettez :
server nom_du_server_NTP

Vous pouvez trouver une liste de serveurs à l'URL suivante : http://www.cru.fr/NTP/serveurs_francais.html ou sur www.ntp.org. Ensuite sauvez le fichier. Maintenant il faut juste relancer le service. En root tapper :
service ntp restart
Voilà c fini ;-) Allez, soyez à l'heure c'est pas dur !

 

Les menus d'Xterm
  Par : Marc <spi point mj chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Un Xterm possède trois menus. Pour y accéder il suffit de maintenir la touche Control enfoncée et de clicker sur la fenêtre de l'Xterm.

Ctrl + click gauche : ouvre le menu Main Options (19 choix).
Ctrl + click centre : ouvre le menu VT Options (25 choix).
Ctrl + click droit : ouvre le menu VT Fonts (11 choix).

Ces menus vous permettent d'activer ou de désactiver simplement la barre de défilement ou le mode video inverse, de modifier la taille de la police et d'accéder à un bon nombre d'options qui me sont assez mystérieuses ... Je n'en dirai donc pas plus.

 

init et inittab : Enter runlevel
  Par : Marc <spi point mj chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Le fichier /etc/inittab, fichier de configuration de init, vous permet de choisir le mode de démarrage par défaut de GNU-Linux. Ainsi pour de nombreuses distributions la ligne :
id:3:initdefault:
correspond à un démarrage en mode texte et il suffit d'y remplacer le 3 par un 5 pour démarrer en mode graphique. Ceci a l'avantage d'automatiser la procédure de démarrage mais à l'inconvénient d'en fixer le mode a priori.

Rien ne vous empêche toutefois de neutraliser cette ligne en lui donnant le statut de commentaire. Elle devient alors :
# id:3:initdefault:

Si vous procédez ainsi, à chaque démarrage, le démon init affichera le message suivant :
Enter runlevel :

Il ne vous restera plus qu'à entrer le numéro du mode de démarrage que vous souhaitez et à valider.

 

Savoir quel processus utilise le son, tel répertoire...
  Par : Léa (Fred) <frederic point bonnaud chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Il existe un utilitaire pour cela : /sbin/fuser

Par exemple, tapez :

/sbin/fuser -v /dev/dsp0
pour savoir quels sont les processus qui utilisent votre carte son,
/sbin/fuser -v /mnt/cdrom
pour savoir quels sont les processus qui vous empêchent de démonter votre lecteur de cdrom

 

Imprimer des jpeg
  Par : EMmaN <emman chez aliena point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Le problème : vous avez une imprimante correctement installée, tout les scripts par défaut, et pourtant quand vous faites :

lpr image.jpg
ça ne marche pas ! Rien ne sort de l'imprimante !

Et bien, vous avez le même problème que celui que j' ai eu ;)

Tout d'abord, vous devez compiler et installer gnu-gs-5.50jpeg.tar.gz. Attention, même si le nom une fois décompressé est le même que le libjpeg de votre distribution, ce n'est pas du tout la même chose. N'oubliez pas le make install ;)

Bien tout est maintenant correct, mais ça ne marche toujours pas ?
vi vi c' est normal.

Tout ce qui doit être imprimé, doit être convertit en postscript (toutes imprimantes, même DeskJet).
Pour le jpeg c'est djpeg qui s'en charge, le problème c'est que celui-ci est dans /usr/local/bin qui, je vous le rappelle, n'est pas par défaut dans le PATH, donc il suffit de faire un p'ti

ln -s /usr/local/bin/djpeg /bin
et, là miracle
lpr image.jpeg
marche du tonerre (surtout avec une hp 930c :) ).

Voili, Voila ... Have a lot of Fun .

(c) 2001 BRARD Emmanuel, license FDL .

 

Comment recuperer gcc s'il a disparu (sur mandrake uniquement)
  Par : Raidate <raidate chez ifrance point com>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Lors de l'installation de la Mandrake, la commande gcc est en fait un lien symbolique vers un fichier binaire au doux nom de gcc-<version> (NRLR: /usr/bin/gcc-2.96 sur une mandrake 8.0 Freq).

Donc, pour réactiver gcc, on peut taper :
ln -sf /usr/bin/gcc-2.96 /usr/bin/gcc
(idem avec g++)

 

Redémarrer les services
  Par : erion <erion_lampusa chez yahoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Simplement, lorsque vous voulez redémarrer un service après avoir modifié un fichier de configuration quelconque :

au lieu de faire par exemple (en root bien sûr ! ) "/etc/rc.d/init.d/sound retstart"

vous faites seulement "servive sound restart". Et hop, le tour est joué ! C quand même plus rapide :o)

 

Aide-mémoire sur la mémoire
  Par : Jonesy <jonesy chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

La mémoire du pingouin est multiple et il peut être un véritable éléphant ! ;-)

D'abord, il y a la RAM, puis la SWAP, qui est une partition du disque dur ou un fichier (plus souple, mais moins performant). Linux peut gérer plusieurs zones de SWAP, partitions et fichiers mélangés.

Toute la mémoire à la disposition de Linux (RAM + SWAP + SWAP...) est gérée de façon transparente.
Linux réserve de la mémoire pour le noyau, les programmes indispensables et les applications, puis il utilise le reste comme un cache (buffers cache).
Dans ce cache, il charge les informations utiles au fur et à mesure jusqu'à remplir la RAM. Puis il remplace les informations devenues inutiles, la SWAP étant utilisée s'il ne peut rien remplacer.
Il est donc normal que presque toute votre RAM soit toujours utilisée.

Histoire d'enfoncer un peu plus le clou, il est fortement conseillé de déclarer une taille totale de SWAP égale à 2 fois celle de la RAM.
Voir Préparation à l'installation de Linux.

Pour savoir de quelle mémoire dispose votre Linux, rien de plus simple :

free -mt => vous indiquera la mémoire totale, la mémoire physique (RAM) et la SWAP en Mo.

Par exemple, cela donne :

             total       used       free     shared    buffers     cached

Mem:           249        218         31          0         74         69

-/+ buffers/cache:         73        176

Swap:          127          0        127

Total:         377        218        159

Notez que la fonction free grapille quelques Mo sur la RAM suivant les options que vous utilisez. Pour avoir un décompte exacte de la RAM d'une facon sympa, faites :

linux_logo => Il y a une surprise ! :-)

Entre autres, vous avez aussi la commande :

top => qui affiche l'utilisation de la mémoire par processus et des pourcentages d'utilisation en temps réel.

Suite à ces commandes vous pouvez vous apercevoir que Linux n'utilise pas toute votre RAM, allez voir La mémoire n'est pas totalement détectée.

Pour les commandes suivantes, il faut être root.

Si votre ou une de vos partitions SWAP n'est pas prise en compte automatiquement, alors sachez que c'est le fichier /etc/fstab qui gére l'utilisation des différentes zones de swap.

La ligne correspondante à la SWAP ressemble à ceci :

/dev/hda2 swap swap defaults 0 0 => c'est ce que j'ai dans mon fstab. Ou

/dev/hda2 none swap defaults 0 0 => marche aussi d'après le man.

Pour ajouter une zone de SWAP, il faut la créer et ajouter une ligne similaire dans /etc/fstab en remplacant "hda2" par la bonne valeur. "hda2" étant la 2ème partition du 1er disque dur.
Voir aussi Accélérer la swap.

Pour activer la SWAP : swapon et pour la désactiver : swapoff, avec l'option "-a" cela affecte toutes les zones de SWAP déclarées dans le fichier /etc/fstab.

Pour surveiller toute la SWAP, faites :

swapon -s => le résultat ressemble à ceci :

Filename                        Type            Size    Used    Priority

/dev/hdb5                      partition      130748     0       -1


Ce qui vous permettra de savoir si vous avez assez de SWAP et aussi assez de RAM. Car s'il utilise trop souvent la SWAP cela va ralentir votre système.

Note : L'option "s" ne marche pas avant le Kernel 2.1.25.

Pensez à regarger le man avant de jouer avec la SWAP !

Voilà pour la mémoire de notre pingouin.

Ce T&A a été écrit par Philippe, Marc et Jonesy.

 

Alt + UpArrow : kbrequest
  Par : Marc <spi point mj chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Voici le petit frère du T&A "Ctrl + Alt + Del"

Regardez dans votre fichier /etc/inittab si vous avez deux lignes qui ressemblent à ceci :
# Special keyboard request Alt+UpArrow
kb::kbrequest:/bin/echo "Bla bla bla"

Si oui, cela signifie qu'en mode console (pas xterm) si vous appuyez sur Alt + Flèche_Haut, "Bla bla bla" s'affiche à l'écran.
Si non, rien ne vous empêche d'ajouter ces lignes pour obtenir le même effet.

Si afficher "Bla bla bla" ne vous intéresse pas, changez de texte ou de commande. Par exemple la ligne :
kb::kbrequest:/sbin/shutdown -t3 -h now

provoque l'arrêt du système à l'appui sur les touches.

Ctrl + Alt + Del pour rebooter ; Alt + Flèche_Haut pour arrêter ; plus besoin d'être root pour ces deux commandes, sympa mais attention de ne pas vous tromper !

PS : (mise à jour par Guerizec David - david@guerizec.net)
pour que les modifications du fichier /etc/inittab deviennent effectives,
il suffit de faire un "killall -HUP init".

Ce T&A a été écrit par Philippe, Jonesy et Marc.

 

Ctrl + Alt + Del
  Par : Marc <spi point mj chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Souvent la combinaison de touches Ctrl + Alt + Del sert à rebooter lesystème à partir d'une console. Ceci est possible grâce à une ligne du fichier /etc/inittab qui ressemble à ceci :

ca::ctrlaltdel:/sbin/shutdown -t3 -r now

Vous pouvez désactiver cette combinaison de touches, il suffit pour cela de placer un "#" devant cette ligne qui devient :

# ca::ctrlaltdel:/sbin/shutdown -t3 -r now

Vous pouvez aussi modifier cette ligne pour utiliser cette combinaison à d'autres fins. Ainsi la ligne :

ca::ctrlaltdel:/sbin/shutdown -t3 -h now
provoquera l'arrêt du système, alors que la ligne :
ca::ctrlaltdel:/bin/echo "Combinaison désactivée"
affichera "Combinaison désactivée" sur le terminal ...

PS : il faut rebooter pour que les modifications deviennent effectives.

 

Limiter la taille des fichiers CORE
  Par : Philippe <superjoker chez club tiret internet point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Ces fichiers contenant une image de la mémoire (DUMP) sont créés lors du plantage d'une application.
A moins d'être développeur, ces fichiers souvent volumineux ne servent à rien, sauf à prendre de la place ;-(

Pour en limiter la taille, utiliser la commande: ulimit -c 0 (-c pour fichier CORE, et 0 pour la taille).

Pour afficher toutes les limites fixées: ulimit -a

Autre option bien utile pour les programmeurs en phase de test, la limitation de la taille d'un fichier créé par le shell (cela évite la création d'un fichier énorme si le programme boucle en écriture) : ulimit -f taille

Pour plus de détail sur cette commande voir la page man de...bash.

 

Convertisseur d'extension PHP.
  Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Convertisseur d'extension PHP. Permet de convertir une application PHP téléchargée avec une extension de type phpX en phpY. Par exemple, permet de transcrire uune extension de type php4 en php3 (occurences fichiers et extensions de fichiers), sous réserve de compatibilité ascendantes et descendantes des fonctions utilisées.

Le script :

#! /bin/sh

# ---------------
# CONVERTISSEUR D'EXTENSION DE SCRIPTS PHP
# TUX PUNX
# 2001-05-05
# ---------------

# Titre
echo "CONVERTISSEUR php <-> php3 <-> php4 <-> phtml <-> [ou autre...]"
# $1 : extension d'origine
echo "Extension + occurences fichiers à remplacer : $1"
# $2 : extension de remplacement
echo "Par : $2"

# Test de l'existence des paramètres ($1, $2)
if [ $# -lt 2 ]
then
echo "NB paramètre : NOT OK"
echo "Syntaxe : convert [extension origine] [extension de remplacement] "
exit
else
echo "NB paramètre : OK"
fi

# Le paramètre existe. Test de sa validité. A taper...
# On verifie qu'un fichier portant l'extension $1 existe.


# TRAITEMENT : substitution $1 par $2 ; puis changement des extensions des fichiers
cpt=0
for REP in `find -type d` ; do
for i in `ls $REP/*.$1`; do
echo "$i : Traitement en cours..."

# Remplacement des occurences $1 par $2
sed "s/$1/$2/g" $i > $i.temp
cp -f $i.temp $i
rm -f $i.temp
echo "Fichier converti."

# Renomme le fichier NOM.$1 en NOM.$2
rename $1 $2 $i

# Accremente le compteur
cpt=`expr $cpt + 1`

done
done

# Messges Conclusion
echo "Nombre de fichier(s) traité(s) : $cpt."
echo "Conversion OK".


# ------------------ Fin du script ---------------------
# --------- Tux Punx ----------
# ------------------------------------------------------

Installation :

On lancera ce script en lui accordant les droits en exécution :
chmod +X convert.sh

Un lien symbollique simplifie grandement son lancement (sur mdk7.2):
ln -sf /Repertoire/Où/Le/Script/Se/Situe/convert.sh /usr/local/bin/convert

Dans une console, placez vous dans le répertoire source (contient fichiers + sous-dossiers à convertir) et tapez :
convert [extension origine] [extension de remplacement]

ex : convert php3 phtml

 

Espace disque occupé par un répertoire
  Par : Xavier <xgarreau chez club tiret internet point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

La commande magique est du.

les options utiles :
-h --> affichage "humain" des tailles 2k plutot que 2048 etc ...
--max-depth=N --> Limiter l'affichage de la taille pour les sous-répertoires de niveau N

Exemples :

$ du /usr
540 /usr/bin/ncurses-stat
340 /usr/bin/ncurses-test-dll
2621 /usr/bin/ncurses-test-stat
52008 /usr/bin
13 /usr/lib/ldscripts
98 /usr/lib/cvs/contrib
98 /usr/lib/cvs

$ du -h /usr
540k /usr/bin/ncurses-stat
340k /usr/bin/ncurses-test-dll
2.6M /usr/bin/ncurses-test-stat
51M /usr/bin
13k /usr/lib/ldscripts
98k /usr/lib/cvs/contrib
98k /usr/lib/cvs

$ du -h --max-depth=1 /usr
51M /usr/bin
45M /usr/lib

$ du /usr -h --max-depth=0
272M /usr

Voilà, c'est compris ?
A+
Xavier

ps : exemples réalisés sous CygWin/Windows

 

Numlock sur la console et sous X
  Par : Léa (Fred) <frederic point bonnaud chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Par défaut sous Linux la touche NUM-LOCK est éteinte (même si vous l'activée dans votre BIOS, elle ne sera pas active sous Linux).

Voici comment faire pour l'activer automatiquement

Pour le mode console:

En root bien sûr, éditer le fichier /etc/rc.d/rc.local (il peut se situer ailleurs suivant votre distribution) et ajoutez-y les lignes suivantes (en fin de fichier par exemple) :

for tty in /dev/tty[1-9]*;
  do 
    setleds -D +num < $tty > /dev/null
  done

Pour le mode X

Remarque : la méthode ultime se trouve dans cet article.

Mettez-le en oeuvre et votre touche numlock sera automatiquement activée, le voyant allumé. La méthode présentée ci-dessous est plus basique, et fonctionne moins bien.

Editez le fichier /usr/X11R6/lib/X11/xkb/types/basic et modifiez les lignes comme ceci (rouge = modif):

type "KEYPAD" {
  modifers = Shift+Numlock;
  map[None] = Level1;    -> passer en Level2
  map[Shift] = Level2;   -> passer en Level1
  map[NumLock]= Level2;
  map[Shift+Numlock]=Level1;
  Level_name[Level1]="base";
  Level_name[level2] = "Number";
}

Remarque : cette méthode active bien le pavé numérique, mais le voyant peut rester éteint, et il n'est alors plus possible de désactiver le pavé numérique.

Suivant les distribs, les fichiers risquent de se trouver ailleurs.

Pour trouver un fichier, rien de plus simple, faites un :
find -name nom_du_fichier répertoire | grep nom_du_fichier

Vous pouvez utiliser des jokers dans le nom du fichier, dans ce cas, mettez le entre guillemets, par exemple, pour trouver tous les fichiers rc.* dans /etc :
find -name "rc.*" /etc

Evitez quand même la recherche à partir du répertoire racine (/) , ca risque de prendre du temps et même de chercher dans les partitions montées telle que les partitions DOS/Windows ou les CD-ROMs. La commande find est très puissante, je vous conseille de faire man find pour en savoir plus.

 

Monter au démarrage des partitions non linux
  Par : Léa (Fred) <frederic point bonnaud chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Certaines distribs vous proposent de monter automatiquement vos partitions DOS, OS/2, etc. automatiquement. Mais toutes ne le font pas, et beaucoup d'utilisateurs se demandent comment le configurer.

Il vous faut éditer le fichier /etc/fstab, et ajouter dedans des lignes dont la syntaxe est la suivante (une ligne par partition) :

périphérique    point de montage   FS    auto   0   0   default

Par exemple sur mon disque IDE maître sur le 1er port IDE, j'ai ma partition Windows 98. Je crée alors en premier mon point de montage que je décide (arbitrairement) d'appeler /dos_c, puis j'édite /etc/fstab et j'ajoute comme ligne :

/dev/hda1      /dos_c             vfat   auto   0   0   default

Il ne faut pas oublier de créer le point de montage, un simple répertoire vide, par mkdir /dos_c.

Pour info, voici quelques FS (File System) standards :

Note : pour les partitions NTFS (cela fonctionne aussi avec d'autres types de système de fichiers), vous devez préciser à quel utilisateur "appartient" la partition (via son UID, que vous obtenez en tapant "ids" par exemple, ou en lisant le fichier /etc/passwd), car elles sont par défaut en root.

Pour ce faire, la ligne dans /etc/fstab ressemble à :

/dev/hda1    /mnt/winC    ntfs   defaults,ro,user,uid=100    0    0

Voir aussi l'article sur fstab.

 

Choisir le mode de démarrage avec LILO et LOADLIN (graphique, texte, maintenance, etc.)
  Par : Jice <jice chez nospam point lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour choisir le mode de démarrage au... démarrage (différent du mode de démarrage par défaut, en général le mode graphique), si vous utilisez :

1. LILO
Lors du boot de l'ordinateur, à l'invite de LILO :
LILO:

Tapez sur la touche (les deux flèches inversées à gauche du clavier), vous verrez apparaître la liste des systèmes que Lilo est capable de démarrer :

LILO:
linux windows floppy

LILO:


Tapez alors le nom d'un des systèmes linux disponibles suivi de "3" :

LILO: linux 3

et votre linux démarrera en mode texte ("3" signifie "mode console") ; si cela ne fonctionne pas, vous pouvez essayer de remplacer "3" par "single" ou "1" pour démarrer en mode mono-utilisateur (aucune protection). Enfin, "5" signifie "mode X" (mode graphique).

Remarque : ces numéros (surtout le "5") peuvent différer suivant votre distribution. Ils sont valables pour les distributions basées sur RedHat (Mandrake et Compagnie).

2. LOADLIN
Si vous utilisez LOADLIN, votre ligne de commande doit ressembler à :
C:\>LOADLIN ... root=/dev/hda3 vmlinuz
Il suffit d'ajouter le mode de démarrage voulu (voir les modes dans le paragraphe consacré à LILO) en argument pour le noyau comme suit :
C:\>LOADLIN ... root=/dev/hda3 vmlinuz le_mode

par exemple :
C:\>LOADLIN ... root=/dev/hda3 vmlinuz 3
pour démarrer en mode console.

Merci à Claude Micouin (claude.micouin@free.fr.nospam) pour m'avoir fait pensé à parler de ça ;) et Fred (fred@lea-linux.org.nospam) pour avoir écrit la version originale dans la section "Au secours" des Trucs et astuces.

 

Espace disponible sur les disques durs
  Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org point nospam>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour connaître l'espace disponible, la commande est : df.

Exemples :

$ df -k

Filesystem 1k-blocks Used Available Use% Mounted on
/dev/hda1 2028098 1603178 320098 83% /
/dev/hda2 5476211 3920429 1442364 73% /home
/dev/hdc 561144 561144 0 100% /mnt/cdrom

$ df -h
Filesystem Size Used Avail Use% Mounted on
/dev/hda1 1.9G 1.5G 313M 83% /
/dev/hda2 5.2G 3.7G 1.4G 73% /home
/dev/hdc 548M 548M 0 100% /mnt/cdrom

C'est tout ;)

 

Faire une démonstration au public
  Par : Nico <nico chez root66 point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Si vous voulez faire une démonstration au public, et en réseau, pour permettre aux autres de voir ce que vous tapez dans votre terminal (en temps réel), il suffit de rediriger les sorties de votre terminal vers un fichier (la sortie standard stdout, sans oublier la sortie d'erreurs stderr), avec la commande 'tee', vers le même canal (i.e. un fichier par exemple).

En pratique, vous tapez :
$ bash -iv 2>&1 | tee /tmp/mon_log

Et le public tape ceci :
$ tail -f /tmp/mon_log

Note du modérateur : bien sûr, les clients doivent être connectés en telnet par exemple sur votre machine (ou via un export de l'affichage d'un xterm sur les stations clientes).

 

gestion des RPMs avec Linux Mandrake : rpmdrake et urpmi
  Par : chris_noot <Christine point noot chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

-Tout d'abord rpmdrake (se lance via drakconf ou à la main rpmdrake &) gère simultanément des RPMS
de différentes sources (répertoire, CDrom, site FTP).
Si l'on veut installer un RPM, il propose automatiquement (comme Dselect) d'installer les RPMs qui manquent, si du moins il sont dans sa base de donnée. Si on préfère, on peut aussi utiliser la commande en ligne urpmi pour faire cela.

-rpmdrake dispose de fonctions recherche pour rechercher les packages contenant tel ou tel fichier qui sont dans sa base de donnée, ou meme une simple chaine de caractères.

-Au préalable, il faut enregistrer dans la base de donnée toutes les sources de RPMs. Pour les CDs utilisés à l'installation, cela est fait automatiquement. Pour d'autres sources de RPMs, on peut faire cela en utilisant rmpdrake directement ou alors en revenant à la ligne de commande grace à urpmi.addmedia.

-Tout d'abord rpmdrake gère simultanément des RPMS de différentes sources (répertoire, CDrom, site FTP).
Si l'on veut installer un RPM, il propose automatiquement (comme Dselect) d'installer les RPMs qui manquent, si du moins il sont dans sa base de donnée. Si on préfère, on peut aussi utiliser la commande en ligne urpmi pour faire cela.

-rpmdrake dispose de fonctions recherche pour rechercher les packages contenant tel ou tel fichier qui sont dans sa base de donnée, ou meme une simple chaine de caractères.

-Au préalable, il faut enregistrer dans la base de donnée toutes les sources de RPMs. Pour les CDs utilisés à l'installation, cela est fait automatiquement. Pour d'autres sources de RPMs, on peut faire cela en utilisant rmpdrake directement ou alors en revenant à la ligne de commande grace à urpmi.addmedia.
Ex: on scanne les RPMS d'un CD en tapant:

urpmi.addmedia NomduCD removable_cdrom_2:///mnt/cdrom/Mandrake/RPMS
ou dans le menu configuration de rpmdrake, ajouter un emplacement de paquetages. Ensuite on utilise la commande rechercher. Les deux flèches permettent de basculer de la liste des paquetages installés à la liste de tous les RPMs disponibles.

-Enfin, urpmi peut-etre utilisee pour donner l'autorisation à d'autres utilisateurs que root d'installer des RPMs. Extension à manier avec précaution car cela affaiblit la sécurité du système.

NDM : consulter également l'article concernant urpmi.

 

Configurer inetd.conf
  Par : Tux <cherault chez cybercable point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Configurer inetd.conf est important pour la sécurité du poste en réseau.

En effet, c'est par ce démon que vont être autorisés ou non les services TCP/IP.

Pour ce faire, tapez :
# netstat -a --inet
Ensuite, commentez par le symbole '#' les services qui ne doivent pas être lancés.
Pour valider les changements, rechercher le pid de inetd par : ps -ax | grep inetd
puis valider par :
# kill -HUP

Note du modérateur: je vous conseille aussi de lire la rubrique "sécuriser Linux" du site pour de plus amples informations sur les services, etc...

 

Changer le mode de démarrage par défaut
  Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Dans certaines distributions, le mode de démarrage par défaut est X (mode graphique), ou bien c'est en mode console ou encore on vous le demande lors de l'install.

Le principe est très simple pour changer ce mode par défaut.

Pour cela, éditer le fichier /etc/inittab et repérer la ligne (vers le début) :
 id:3:initdefault:
Il suffit de changer le chiffre entre id et initdefault par :

3 Mode texte
5 Mode graphique
(X Window)

Attention, pour la slackware le mode graphique est 4 et non pas 5.

 

Rediriger les messages système vers un terminal virtuel
  Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

En effet, le système envoie tout le temps des messages d'avertissement, d'information, d'alerte etc. Par défaut ils vont dans un fichier. C'est bien, mais quand on a un problème, se taper les 25000 lignes du fichier pour trouver le message d'erreur datant de 10 secondes c'est un peu pénible...

Pour arranger cela on va aussi envoyer ces messages à l'écran, pas question de l'envoyer aussi sur un écran qui nous sert à travailler : c'est pénible de recevoir des messages toutes les secondes à l'écran, mais comme Linux (Unix) est très bien fait avec ses terminaux virtuels, on va envoyer ça sur le terminal virtuel n°8, tty8 (accessible par Ctrl-Alt-F8 ), pour cela :

Editer le fichier /etc/syslog.conf
Copiez toutes les lignes qui finissent par /var/log/message, en changeant justement le /var/log/message par /dev/tty8.

Une fois ce travail accompli, on va relancer le système de message pour que nos changements soient pris en compte :
tapez : ps -aux | grep syslogd

Une fois le numéro de process de syslogd repéré (le PID), on le relance :
tapez : kill -1 PID
Basculez alors sur tty8 (Ctrl-Alt-F8) et vous allez voir votre premier message système redirigé :
13.23 PM: Syslogd restarted
ou quelque chose du genre.

Maintenant vous pouvez voir tous les messages système en temps réel sur le tty8 en tapant Ctrl-Alt-F8.

 

haut


Administration>sauvegarde

Méthode de sauvegarde automatisée
  Par :
  Dernière mise à jour : 25/07/2003

Méthode proposée sur : http://robert.silve.free.fr/doc/save/

Le principe

Il s'agit de se donner un moyen simple de sauvegarder un ensemble de configurations (apache, bind, scripts de démarrage ...). Pour la sauvegarde le plus simple est encore d'utiliser tar. Par contre pour la restauration il est agréable d'avoir un outil plus fin qui permettrait par exemple de ne restaurer que certaines parties, de restaurer suivant un schéma de dépendances, d'effectuer certaines compilations ... Pour ce genre de taches il existe un outil suffisament puissant : make.

On doit donc avoir un fichier Makefile contenant des listes de fichiers (une pour chaque installation : apache, bind ...) qui permettront de traiter aussi bien la sauvegarde que la restauration. On y trouvera également un script d'installation pour chaque partie (liste de fichiers)

Le fichier Makefile

Voici le fichier Makefile que j'utilise. On remarquera que les premières lignes qui correspondent aux liste de fichiers contiennent des noms de fichiers absolus auxquels on enlève le premier /. Ceci est trés important.

RC_CONFIG=etc/rc etc/rc.conf etc/rc.conf.local \
etc/rc.local etc/rc.vnc \
etc/sysctl.conf
FSTAB_CONFIG=etc/fstab
XFREE_CONFIG=etc/X11/XF86Config
DHCPD_CONFIG=etc/dhcpd.conf
NAMED_CONFIG=var/named/named.boot var/named/namedb/db.cache \
var/named/namedb/db.local var/named/namedb/db.127.0.0 \
var/named/namedb/db.192.168.0 \
var/named/namedb/db.mtice
SUEXEC=var/www/suexec.tgz
HTTPD_CONFIG=var/www/conf/httpd.conf var/www/conf/php3.ini 
POSTFIX_CONFIG=etc/postfix/aliases etc/postfix/main.cf \
etc/postfix/canonical etc/postfix/transport etc/postfix/master.cf
BSMTP=usr/src/bsmtp-1.02.tar.gz
PPP_CONFIG=etc/ppp/ppp.conf etc/ppp/ppp.linkup usr/sbin/ipmtice
PPPD_CONFIG=etc/ppp/chap-secrets etc/ppp/chat-free etc/ppp/ip-up \
etc/ppp/peers/free usr/bin/ppp-on usr/bin/ppp-off
NAT_CONFIG=etc/ipf.rules etc/ipnat.rules
SAMBA_CONFIG=etc/samba/smb.conf usr/local/bin/smbprint
BASH_CONFIG=etc/profile etc/skel/.profile etc/skel/.bashrc

FILES=${RC_CONFIG} ${FSTAB_CONFIG} ${XFREE_CONFIG} ${DHCPD_CONFIG} \
${NAMED_CONFIG} ${HTTPD_CONFIG} ${SUEXEC} \
${POSTFIX_CONFIG} ${BSMTP}\
${PPPD_CONFIG} ${PPP_CONFIG} \
${NAT_CONFIG} ${SAMBA_CONFIG} ${BASH_CONFIG}

TAR_FLAGS=vp

UNTAR_DIR=/tmp/save_config

ARCHIVE_NAME=save_config.tgz

PRINT=printf
OK_MESSAGE="\e[300C\e[20D[  \e[1;33mOK\e[0m  ]\n"
FAILED_MESSAGE="\e[300C\e[20D[\e[1;31mFAILED\e[0m]\n"
MESSAGE=${PRINT} ${OK_MESSAGE} || ${PRINT} ${FAILED_MESSAGE}

CDROM_PATH=/mnt/cdrom


target=ALL

help:
   @echo -e "usage : make save\n        make install [target=CONF]\n\nCONF = ALL (default)| RC | XFREE | DHCPD | NAMED | PPP | PPPD | NAT | POSTFIX | HTTPD | SAMBA | BASH"


mount_cdrom:install_FSTAB
   @echo -n "Inserer le CD contenant les packages puis tapez sur 'Entrer'";\
   read; \
   mount ${CDROM_PATH}/

umount_cdrom:
   @umount ${CDROM_PATH}/


save:${ARCHIVE_NAME}

${ARCHIVE_NAME}:${FILES:S/^/\//g}
   @echo 'saving files ...';\
   cd /;tar c${TAR_FLAGS}fz ${.CURDIR}/${.TARGET} ${FILES} 


${UNTAR_DIR}:
   @echo 'untar ${ARCHIVE_NAME} in ${UNTAR_DIR} ...'
   @install -d ${UNTAR_DIR}
   @tar x${TAR_FLAGS}fz ${ARCHIVE_NAME} -C ${UNTAR_DIR}

install:${UNTAR_DIR}
   @$(MAKE) install_$(target); $(MAKE) clean;

clean:
   @echo 'removing ${UNTAR_DIR} ...'; rm -rf ${UNTAR_DIR}
   @echo 'removing temp files ...'; rm -f install_*


install_ALL:
   @${.MAKE} install_RC;
   @${.MAKE} install_FSTAB;
   @${.MAKE} install_XFREE;
   @${.MAKE} install_DHCPD;
   @${.MAKE} install_NAMED;
   @${.MAKE} install_PPP;
   @${.MAKE} install_NAT;
   @${.MAKE} install_POSTFIX;
   @${.MAKE} install_HTTPD;
   @${.MAKE} install_SAMBA;
   @${.MAKE} install_BASH;

install_FSTAB:
   @echo 'Installing FSTAB config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${FSTAB_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_FSTAB

install_RC:
   @echo 'Installing RC config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${RC_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   cp -p /$$i /$$i.old ;\
   cp -p $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_RC


install_XFREE:install_RC /usr/local/bin/xfstt 
   @echo -n 'Installing XFree config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   install -b -m 644 ${XFREE_CONFIG} /`dirname ${XFREE_CONFIG}` && ${MESSAGE}
   @touch install_XFREE

/usr/local/bin/xfstt:
   @${.MAKE} mount_cdrom; \
   echo 'Installing Xfstt program ... '; \
   echo -n "\txfstt-1.1.tgz ... "; \
   pkg_add -n ${CDROM_PATH}/xfstt-1.1.tgz > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE}; \
   mkdir -p /usr/local/lib/X11/fonts/TrueType/; \
   ${.MAKE} umount_cdrom

install_DHCPD:install_RC
   @echo -n 'Installing DHCPD config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR};\
   install -b -m 644 ${DHCPD_CONFIG} /`dirname ${DHCPD_CONFIG}` && ${MESSAGE}
   @touch install_DHCPD

install_NAMED:install_RC
   @echo 'Installing Named config ... ';\
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${NAMED_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; \
   named.reload;
   @touch install_NAMED

install_POSTFIX:install_RC /usr/local/sbin/postfix /usr/local/libexec/bsmtp/bsmtp
   @echo 'Installing Postfix config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   /usr/local/sbin/postfix stop; \
   for i in ${POSTFIX_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE};\
   done; \
   echo -n "\tetc/postfix/aliases.db ... "; \
   /usr/local/sbin/postalias hash:/etc/postfix/aliases && ${MESSAGE}; \
   echo -n "\tetc/postfix/canonical.db ... "; \
   /usr/local/sbin/postmap hash:/etc/postfix/canonical && ${MESSAGE}; \
   echo -n "\tetc/postfix/transport.db ... "; \
   /usr/local/sbin/postmap hash:/etc/postfix/transport && ${MESSAGE}; \
   /usr/local/sbin/postfix start;
   @touch install_POSTFIX

/usr/local/sbin/postfix:
   @${.MAKE} mount_cdrom; \
   echo 'Install Postfix program ... '; \
   echo -n "\tpostfix-20010228.pl01.tgz ... "; \
   pkg_add -n ${CDROM_PATH}/postfix-20010228.pl01.tgz > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE}; \
   ${.MAKE} umount_cdrom

/usr/local/libexec/bsmtp/bsmtp:
   @cd  ${UNTAR_DIR}/usr/src/; \
   tar xfz `basename ${BSMTP}`; \
   cd bsmtp;\
   echo -n 'Compil bsmtp program ... '; \
   make -f Makefile.bsd-wrapper > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE} ;\
   echo -n 'Install bsmtp program ... '; \
   make -f Makefile.bsd-wrapper install > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE}; \


install_HTTPD:install_RC install_SUEXEC
   @echo 'Installing httpd config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${HTTPD_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; \
   apachectl restart
   @touch install_HTTPD

install_SUEXEC:
   @echo 'Installing Suexec program ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   cd `dirname ${SUEXEC}`; \
   tar xfz `basename ${SUEXEC}`; \
   cd `basename ${SUEXEC} .tgz`;\
   echo -n "\tCompiling suexec ... "; \
   make && ${MESSAGE}; \
   echo -n "\tInstalling suexec ... "; \
   make install && ${MESSAGE}
   @touch install_SUEXEC

install_PPPD:
   @echo 'Installing pppd config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${PPPD_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_PPPD


install_PPP:install_RC
   @echo 'Installing PPP config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${PPP_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   chmod 700 /usr/sbin/ipmtice
   @touch install_PPP

install_NAT:install_RC
   @echo 'Installing IPnat config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${NAT_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_NAT

install_SAMBA:install_RC /usr/local/sbin/smbd 
   @echo 'Installing Samba config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${SAMBA_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   cp -p /$$i /$$i.old ;\
   cp -p $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_SAMBA

/usr/local/sbin/smbd:
   @${.MAKE} mount_cdrom; \
   echo 'Installing Samba program ... '; \
   echo -n "\tsamba-2.0.8.tgz ... "; \
   pkg_add -n ${CDROM_PATH}/samba-2.0.8.tgz > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE}; \
   ${.MAKE} umount_cdrom


install_BASH:/usr/local/bin/gls 
   @echo 'Installing Bash config ... '; \
   cd ${UNTAR_DIR}; \
   for i in ${BASH_CONFIG}; \
   do \
   echo -n "\t$$i ... "; \
   install -b -m 644 $$i /`dirname $$i` && ${MESSAGE} ;\
   done; 
   @touch install_SAMBA

/usr/local/bin/gls:
   @${.MAKE} mount_cdrom; \
   echo 'Installing GNUls program ... '; \
   echo -n "\tgnuls-4.0.tgz ... "; \
   pkg_add -n ${CDROM_PATH}/gnuls-4.0.tgz > /dev/null 2>&1 && ${MESSAGE}; \
   ${.MAKE} umount_cdrom

Pour sauver il suffit de faire make save, pour installer la totalité on fait make install et pour installer un élément (par exemple PPP) on fait make install target=PPP. Voici le résultat de l'installation

(root@elrond) Save # make install
untar save_config.tgz in /tmp/save_config ...
etc/rc
etc/rc.conf
etc/rc.conf.local
etc/rc.local
etc/rc.vnc
etc/sysctl.conf
etc/fstab
etc/X11/XF86Config
etc/dhcpd.conf
var/named/named.boot
var/named/namedb/db.cache
var/named/namedb/db.local
var/named/namedb/db.127.0.0
var/named/namedb/db.192.168.0
var/www/conf/httpd.conf
var/www/conf/php3.ini
var/www/suexec.tgz
etc/postfix/aliases
etc/postfix/main.cf
etc/postfix/scanonical
etc/ppp/chap-secrets
etc/ppp/chat-free
etc/ppp/ip-up
etc/ppp/peers/free
usr/bin/ppp-on
usr/bin/ppp-off
etc/ppp/ppp.conf
etc/ppp/ppp.linkup
etc/ipf.rules
etc/ipnat.rules
etc/samba/smb.conf
usr/local/bin/smbprint
Installing RC config ... 
        etc/rc ...                             [  OK  ]
        etc/rc.conf ...                        [  OK  ]
        etc/rc.conf.local ...                  [  OK  ]
        etc/rc.local ...                       [  OK  ]
        etc/rc.vnc ...                         [  OK  ]
        etc/sysctl.conf ...                    [  OK  ]
Installing FSTAB config ... 
        etc/fstab ...                          [  OK  ]
Inserer le CD contenant les packages puis tapez sur 'Entrer'
Installing Xfstt program ... 
        xfstt-1.1.tgz ...                      [FAILED]
Installing XFree config ...                    [  OK  ]
Installing DHCPD config ...                    [  OK  ]
Installing Named config ... 
        var/named/named.boot ...               [  OK  ]
        var/named/namedb/db.cache ...          [  OK  ]
        var/named/namedb/db.local ...          [  OK  ]
        var/named/namedb/db.127.0.0 ...        [  OK  ]
        var/named/namedb/db.192.168.0 ...      [  OK  ]
Reloading Database
Installing PPP config ... 
        etc/ppp/ppp.conf ...                   [  OK  ]
        etc/ppp/ppp.linkup ...                 [  OK  ]
Installing IPnat config ... 
        etc/ipf.rules ...                      [  OK  ]
        etc/ipnat.rules ...                    [  OK  ]
Installing Postfix config ... 
postfix-script: stopping the Postfix mail system
        etc/postfix/aliases ...                [  OK  ]
        etc/postfix/main.cf ...                [  OK  ]
        etc/postfix/scanonical ...             [  OK  ]
        etc/postfix/aliases.db ...             [  OK  ]
        etc/postfix/scanonical.db ...          [  OK  ]
postfix-script: warning: /var/spool/postfix/etc/services and /etc/se
rvices differ
postfix-script: starting the Postfix mail system
Installing Suexec program ... 
        Compiling suexec ...                   [  OK  ]
        Installing suexec ...                  [  OK  ]
Installing httpd config ... 
        var/www/conf/httpd.conf ...            [  OK  ]
        var/www/conf/php3.ini ...              [  OK  ]
/usr/sbin/apachectl restart: httpd restarted
Installing Samba config ... 
        etc/samba/smb.conf ...                 [  OK  ]
        usr/local/bin/smbprint ...             [  OK  ]
removing /tmp/save_config ...
removing temp files ...
(root@elrond) Save # 

 

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Installation

Comment personnaliser son installation, les astuces sur les installations des distributions,...
Partitionner graphiquement
  Par : Alsim <al_simmons chez linuxmail point org>
  Dernière mise à jour : 05/06/2003

Vous voulez installer une distribution du style Slackware mais vous n'avez pas envie de partitionner avec fdisk (trop compliqué, je suis d'accord ;-) . Il existe une solution simple : procurez-vous un CD1 d'une Mandrake et bootez dessus. Allez jusqu'à l'étape du partitionnement. Redimensionnez graphiquement vos partitions (même les NTFS depuis la 9.1) et créez-en de nouvelles, puis écrivez la table des partitions et formattez celles que vous avez créé. Puis appuyez sur le bouton Reset de votre PC et lancez l'installation de Slackware. Vous n'avez plus qu'à choisir une installation depuis des partitions existantes...

Les puristes n'apprécieront pas, mais c'est bien utile pour un débutant !

 

Installer KDE 3.1 (pour Mandrake)
  Par : JJ <barretoi chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 06/04/2003

Malgré ce que disent les documentations, il peut y avoir des problèmes lors de l'installation de KDE 3.1 (conflits de paquetages, librairies non reconnues, etc...). Voici comment j'ai procédé :

Note de Jice : il suffit d'installer la Mandrake 9.1, KDE 3.1 est dedans... De plus, cette méthode me semble assez bourin : pour installer KDE 3.0 sur une Mandrake 8.2, j'ai simplement mis les rpm de KDE 3.0 dans un répertoire (sauf les -devel), et fait un urpmi * dessus. KDE 3.0 était disponible après avoir redémarré une nouvelle session graphique. Cela fonctionnait car KDE 3.0 s'installait à coté (dans /opt) et non par dessus KDE 2.

 

Changer de partition
  Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Il arrive de temps en temps, qu'après l'installation d'une distribution GNU/Linux, on veuille agrandir une partition ou changer un point de montage.

Dans le cas suivant, je pars de l'exemple où vous avez installé tout le système sur une seule partiton et que vous aimeriez mettre le /home sur une autre partition.

Le plus délicat ici, c'est de libérer une partition existante sur votre disque ou de créer une nouvelle partition sans détruire celles que vous voulez garder.
Je ne peux pas vous aider à choisir quelle partition existante à libérer. Mais pour redimensionner les partitions exsitantes afin d'en créer une nouvelle, sachez qu'il existe des utilitaires comme parted (Libre) sous GNU/Linux ou des produits propriétaires comme le célébricime Partition Magic.

Donc après avoir libéré ou créé une partition sur hdb, par exemple. Procédons pas en pas :
Rebootez sous GNU/Linux en init 3.pour ce faire, au prompt de lilo tapez :

Linux init 3

Ici, 'Linux' est le label de votre système GNU/Linux.

Loggez-vous avec un utilisateur normal, puis en root en faisant : su - root

Nous allons formater, vérifier et configurer cette nouvelle partition :


mke2fs -j /dev/hdbX
e2fsck /dev/hdbX
tune2fs -c 24

Où 'X' est votre future partition /home. De plus l'option -j de mke2fs formate la partition en EXT3.
La dernière commande indique que la partiton sera vérifiée automatiquement tout les 24 montages.

Nous allons monter cette partition sur un point de montage temporaire :


mkdir /mnt/home
chmod -R a+rwx /mnt/home
mount /dev/hdbX /mnt/home

Afin de mettre le contenu du /home dans le /home temporaire :

mv /home/* /mnt/home

Donc normalement /home est vide et /mnt/home contient tout le /home, ce qui nous arrange pour la suite.

Afin de poursuivre, il faut démonter le /home temporaire :

umount /mnt/home

Il faut maintenant modifier le fichier /etc/fstab afin de définir le nouveau point de montage.
Editez-le et ajoutez une ligne du genre :

/dev/hdbX /home ext3 defaults 1 1

Essayons de monter le nouveau /home :

mount /dev/hdbX

Et voilà ! Il ne reste plus qu'à rebooter en mode normal.

Note : Vous pouvez appliquer cette méthode pour n'importe quel répertoire, comme /usr/local, et quelque soit l'état d'encombrement de votre système. Car elle ne réclame pas d'espace disque supplémentaire.

 

Créer une disquette de boot
  Par : Léa (Fred) <fred chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

... depuis le CD de sa distribution ...
Ou comment installer une distribution quand son pc refuse de booter sur le CD-Rom.

Sur le cd de votre distribution linux se trouve plus que surement un utilitaire "DOS et/ou Windows" nommé "rawrite.exe". Cet utilitaire sert à copier une "image" de disquette. Vous trouverez aussi des images de disquette de boot, souvant dans le répertoire "D:\images\" du CD, ces images ont des noms se terminant par ".img", comme "boot.img".

Supposons que "rawrite.exe" soit dans le répertoire "D:\dosutils\", que les images soient dans "D:\images\", et que vous souhaitiez utiliser l'image "boot.img" de ce répertoire. Voilà, alors comment procéder, depuis une fenêtre de commandes MS-DOS :

C:\> d:
D:\> cd \images
D:\images> ..\dosutils\rawrite
Enter disk image source file name: boot.img
Enter target diskette drive: a:
Please insert a formatted diskette into drive A: and press --ENTER-- :

Et voilà, vous avez en votre possession une belle disquette de boot pour installer votre linux tout frais.

 

Voir ses logs en fond d'ecran
  Par : dave <dave chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Installez d'abord le logiciel root-tail

Une fois installé, connectez-vous en root et essayez ceci:
root-tail -g 100x25+0+400 -font fixed /var/log/message,green var/log/secure,red,'ALERT'

(vous pouvez remplacer /var/log/message par /var/log/xferlog, vous verrez qui fait quoi en ftp).

Tuez le shell qui lancer root-tail, ça continue

:)

 

install de plusieurs DD
  Par : knall <knall chez bzh point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Une info au sujet de Demolinux. Je l'ai téléchargé la semaine dernière pour effectuer une install de 10 DD, constitués de win98 et une redhat. Apres avoir fait une install type sur un disque dur avec les programmes (openoffice, scilab,...etc), j'ai installé mes disques durs tout fraichement sortis de leur emballage pour les installer sur 5 PC. J'ai ensuite gravé 5 CD Demolinux. Puis, après avoir récupéré l'exécutable de netcat. Je l'ai installé sur Demolinux. Ensuite tout a été très "vite", le 1er disque du 1er PC a été copié sur le 1er disque du 2eme pc. Puis sur le 1er PC a été copié le 2eme disque local. Pendant ce temps, le PC 2 a transféré la copie qu'il venait de recevoir au PC 3. Une fois ceci terminé, le PC 2 a copié son disque sur le second local et ainsi de suite jusqu'au 5eme....

Voici le détail des actions :

  1. mettre en commentaire dans le fichier hosts.deny la ligne ALL:ALL
  2. configurer le réseau si ça n'a pas été fait à l'install
  3. récupérer l'exécutable ncat
  4. ne pas oublier de faire un chmod u+x ncat
  5. exécuter les commandes suivantes :
    • sur le 1er PC :
      dd if=/dev/hda bs=1024 | gzip | ./ncat -o ip-adress:5001 &&\
      if=/dev/hda of=/dev/hdb bs=1024
    • sur le PC 2 :
      ./ncat :5001 | gunzip | dd of=/dev/hda &&\
      dd if=/dev/hda bs=1024 | gzip | ./ncat -o ip-adress:5001 &&\
      if=/dev/hda of=/dev/hdb bs=1024
    • sur le PC 3 :
      ./ncat :5001 | gunzip | dd of=/dev/hda &&\
      dd if=/dev/hda bs=1024 | gzip | ./ncat -o ip-adress:5001 &&\
      if=/dev/hda of=/dev/hdb bs=1024
    • sur le PC 4 :
      ./ncat :5001 | gunzip | dd of=/dev/hda &&\
      > dd if=/dev/hda bs=1024 | gzip | ./ncat -o ip-adress:5001 &&\
      if=/dev/hda of=/dev/hdb bs=1024
    • sur le PC 5 :
      ./ncat :5001 | gunzip | dd of=/dev/hda &&\
      if=/dev/hda of=/dev/hdb bs=1024

Il s'agissait de disques dur de 30 Go neufs. Quant aux machine, c'était des PII 450Mgz avec 64 de RAM. Temps total d'installation : 15 h environ. Tout fonctionne à merveille, après config du réseau.

Conclusion : c'est vraiment beaucoup de temps gagné pour ce type de manipulation... Et oui, j'ai pu passer une bonne nuit pendant ce temps ;o)

 

Désinstaller Linux
  Par : Marc <spi point mj chez wanadoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Si vous souhaitez désinstaller Linux, voici quelques conseils.
D'une façon générale, utilisez de préférence les outils Linux pour ce qui concerne Linux et les outils Dos pour ce qui concerne le Dos. Pour supprimer les partitions Linux et rétablir votre MBR choisissez une des trois méthodes suivantes.

Méthode 1 : difficulté variable, coût nul.
A partir du Dos rétablissez le MBR avec la commande : fdisk /mbr.
Procédez ensuite comme si vous souhaitiez (ré)installer votre distribution Linux. Poursuivez cette installation jusqu'à l'étape de partitionnement lors de laquelle vous en profitez pour supprimez vos partitions Linux (et éventuellement (re)créer des partitions Dos). Rendez effectif ce nouveau partitionnement puis quittez l'installation. Redémarrez votre ordinateur, tout doit être rentré dans l'ordre.
Cette méthode dépend de votre distribution et de ses outils de partionnement. Je ne peux donc la détailler plus ni même vous garantir qu'elle soit possible avec votre distribution. Si vous ne pouvez l'appliquer utilisez la méthode 2 ou 3.

Méthode 2 : difficulté moyenne, coût nul.
Procurez-vous une mini-distribution du type TOMSRTBT. Si vous ne savez pas ce que c'est ou comment l'utiliser, lisez l'article de Léa à ce sujet. Démarrez votre ordinateur à l'aide de cette mini-distribution puis une fois que vous avez le prompt entrez :
fdisk /dev/votre_disque_dur (exemple /dev/hda pour le premier disque dur IDE, /dev/hdb pour le second, etc.)

Les commandes dont vous pouvez avoir besoin ici sont :
m : affiche l'aide
p : affiche la table des partitions
d : supprime une partition
w : écrit les modifications et quitte
q : quitte sans écrire les modifications (si vous aviez soudainement des regrets :-)

Pour supprimer une partition vous entrez donc d, vous validez, puis vous entrez le numéro de la partition à supprimer. Vous procédez ainsi pour chaque partition Linux que vous voulez supprimer. Si vous hésitez sur les numéros des partitions, utilisez la commande p. Une fois que vous avez terminé quittez en entrant w.
Vous pouvez maintenant quitter définitivement Linux et redémarrer sous Dos. Pour rétablir le MBR et créer vos partitions Dos utilisez le programme fdisk du Dos. Pour restaurer le MBR et donc supprimer le chargeur Linux que vous y aviez installé, un simple fdisk /mbr suffit (notez que si vous le souhaitez, vous pouvez faire ceci avant de supprimer vos partitions Linux). Pour le reste, il s'agit de l'utilisation d'un programme Dos dans un cadre Dos, il vaut donc mieux vous reporter aux informations des sites sur ce sujet plutôt qu'à celles d'un site sur Linux.

Méthode 3 : difficulté faible, coût élevé.
Si vraiment rien de ce qui précède ne vous convient, vous trouverez chez votre revendeur habituel, et pour quelques centaines de francs, des programmes simples et performants, normalement dotés d'un manuel d'utilisation auquel vous n'aurez qu'à vous référer.

Merci à P* (puisse cet anonymat relatif préserver son honneur de Linuxien ;-) pour ses précieux conseils.

 

Comment avoir accès à d'autres options lors de l'installation de la Mandrake 7.2 - 8.0 - freq2
  Par : Pierrick <Pierrick tiret BERGER chez ifrance point com>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Voilà, un jour, on a voulu installer la mandrake 7.2, on fait une installation personnalisée, et vogue la galère, on installe et on configure le système.
Mais là, certains d'entre vous auront peut-être envie de ne pas prendre grub comme chargeur (cf lilo et loadlin)(pris par défaut), mais lilo.

Alors, on procède à l'installation de linux comme on a l'habitude (mode personnalisé) et on arrive à l'écran où on paramètre le chargeur. Ici, on ne continue pas, mais on va remonter dans les étapes de l'installation. On clique sur l'icône à coté de "Choix du type d'installation". On choisit, cette fois si, "Expert". On répond Expert à la question qui est ensuite posée, et, Oh miracle, on se retrouve avec le choix entre lilo et grub !!!

On peut faire pareil pour le serveur graphique : on peut alors choisir entre Xfree 3.3.6 et Xfree 4.01 (Attention : uniquement valable pour la Mandrake 7.2).

Si on a du courage, on peut se faire toute l'installation en mode expert, on a ainsi accès à plein d'autre options. Mais ATTENTION : ceci est risqué, car comme le dit l'aide pendant l'installation, on aura à répondre à des questions vraiment incompréhensibles pour les non experts que nous sommes !!!

Voilà, l'astuce est terminée.
Pour tout commentaire ou rectification, n'hésitez pas à me contacter : Pierrick-BERGER@ifrance.com

PS :
Cette astuce fonctionne aussi avec la Mandrake 8.0.

Encore une bonne nouvelle ! :o)
Ayant depuis peu la dernière des dernières version de la mandrake 8.0, à savoir la Freq 2 (MandrakeFreq-20010619), je confirme qu'encore on peut utiliser mon astuce!
Cette fois ci, on aura par exemple le chois entre XFree 4.1.0 et Xfree 3.3.6 .
On pourra aussi choisir le kernel 2.4.5
...
Il y a aussi des amélioration au niveau de la détection des périphériques...
Enfin, le freq2 est une distribution avec pratiquement tous les derniers trucs !!

Voilà, bonne chance avec l'installation :o)
Pierrick

 

Apache/php/gd/jpeg/png/zlib/freetype1 sur Slack7.1
  Par : Xavier <xgarreau chez club tiret internet point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Installation Apache/php/gd/jpeg/png/zlib/freetype1 avec une slackware 7.1 toute fraîche mais avec les packages devel installés les libs jpeg/png/zlib sont installées et apache également, dans /var/lib/apache.

La procédure qui suit a été menée avec le package apache fournie avec la slack7.1

Télécharger freetype1.3.1 chez www.freetype.org, gd1.8.4 chez www.boutell.com/gd/, php4.0.4pl1 chez www.php.net, mettre les tar.gz dans /usr/local/src

cd /usr/local/src
tar xfz freetype-1.3.1.tar.gz
cd freetype-1.3.1
./configure --prefix=/usr
make
make install
cd ..

tar xfz gd-1.8.4.tar.gz
cd gd-1.8.4/
Editer le Makefile Voici les bonnes valeurs :
COMPILER=gcc
AR=ar
CFLAGS=-O -DHAVE_LIBPNG -DHAVE_LIBJPEG -DHAVE_LIBTTF
LIBS=-lgd -lpng -lz -ljpeg -lttf -lm
INCLUDEDIRS=-I. -I/usr/include/freetype
LIBDIRS=-L.
INSTALL_LIB=/usr/lib
INSTALL_INCLUDE=/usr/include
INSTALL_BIN=/usr/local/bin
make
make install
cd ..

Si ce n'est pas fait, téléchargez apache.tgz (il est dans le répertoire n8,
si vous avez le cd de la Slack) Puis en étant dans le rep, tapez installpkg apache.tgz

tar xfz php-4.0.4pl1.tar.gz
cd /usr/local/src/php-4.0.4pl1/
./configure --with-gd=/usr --with-ttf=/usr --with-jpeg-dir=/usr --with-zlib=/usr --with-apxs=/var/lib/apache/sbin/apxs --enable-track-vars
make
make install

cp /usr/local/src/php-4.0.4pl1/php.ini-dist /usr/local/lib/php.ini

Editer /var/lib/apache/conf/httpd.conf

Ajouter là où sont les autres AddType (où au début ou à la fin ...), vous pouvez ajouter des extensions de votre choix comme .power ou .x, pour rire, ;-) ça marche aussi
AddType application/x-httpd-php .php .phtml
Je vous conseille également de trasformer la ligne
DirectoryIndex index.php
en
DirectoryIndex index.php index.phtml index.html
Pour pouvoir avoir des index en php

Terminez avec un :
/var/lib/apache/sbin/apachectl restart et ça devrait être bon.

Nota:
/usr/local est le prefix par défaut pour php, pour le changer,
vous pouvez ajouter --prefix=/usr par exemple.

Un petit script pour tester que ça marche :
header ("Cache-Control: no-cache, must-revalidate");
header ("Pragma: no-cache");
header ("Content-type: image/jpg");
$txtbbox = ImageTTFBBox (20, 0, "arial.ttf", "Page chargée à ".date("H")."h".date("i"));
$im = ImageCreate ($txtbbox[2]-$txtbbox[6] + 20,$txtbbox[3]-$txtbbox[7] + 10);
$black = ImageColorAllocate ($im, 0, 0, 0);
$yellow = ImageColorAllocate ($im, 255, 255, 0);
ImageTTFText ($im, 20, 0, 10, 20, $yellow, "arial.ttf", "Page chargée à ".date("H")."h".date("i"));

ImageJPEG ($im);
ImageDestroy ($im);
?>

Dans le même répertoire copiez par exemple depuis windows le fichier arial.ttf.
Accédez à la page depuis le navigateur et appréciez.

 

Comment je sais si mon système est basé sur libc5, Glibc 2.0...
  Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org tiret nospam>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour savoir sur quelle libc (la librairie des fonctions standard) votre Linux est basé, allez dans /lib et faites un "ls libc*", si vous voyez libc5, c'est la libc5, libc6 c'est la glibc et libc-2.xx c'est la Glibc 2.xx.

Les distributions suivantes utilisent la glibc2.1 : RedHat 6, Mandrake 6.0, Slackware 7...

 

SuSE 6.4 et Windows 2000
  Par : alain <alain point pulido chez waika9 point com>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Ce n'est pas à proprement parler une astuce mais une aide à l'installation. Il m'avait été fortement déconseillé d'installer Linux en cohabitation avec Windows 2000 car ce dernier, d'après les bruits de couloir, était vorace et ne supportait aucun autre OS. La solution c'est simplement de faire démarrer Linux sur disquette. Bill ne s'est aperçu de rien !

Note du modérateur: Dans tous les cas, quand vous faites cohabiter Linux et un autre OS, il suffit d'ajouter une entrée dans LILO pour avoir le choix de l'OS à démarrer (voir pour ça la rubrique LILO). Une disquette bootable LILO est fortement recomandée aussi dans le cas d'un problème, ainsi qu'une disquette DOS/WIN bootable avec les outils fdisk et sys pour restaurer un MBR.

 

Accéder à Linux pendant l'installation
  Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pendant l'installation de la plupart des distributions, Linux est déjà actif.

On peut donc accéder à une console pour, par exemple régler un problème, créer un lien etc.

Pour cela, c'est très simple il suffit de changer de console en utilisant les combinaisons de touches habituelles : ALT+CTL+Fn ou n varie entre 1 et 12.

(cela permet même d'avoir plus d'information sur les erreurs qui se produisent.)

 

haut


Matériel

Les petits trucs pour installer, configurer et utiliser les périphériques sous Linux.
joystick sur port jeu de SB Live 1024
  Par : kournikola
  Dernière mise à jour : 30/06/2003

Par défaut, MDK 9.1 ne me permettait pas de profiter de mon joystick sidewinder branché sur le port jeu de ma carte son SB Live 1024

Il faut simplement rajouter 3 lignes dans le fichier /etc/rc.d/rc.local.

Les voici donc :

/sbin/modprobe emu10k1-gp
/sbin/modprobe sidewinder
/sbin/modprobe joydev

À noter que ceci est a faire en root.

 

logitech quickcam 4000 pro sous Mandrake 9.1
  Par : r.daneel.sissaow <r point daneel point sissaow chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 14/05/2003

Pour ceux qui ont une webcam logitech quickcam 4000 pro sous mandrake 9.1

ENFIN, ÇA FONCTIONNE !

Remarque : testé sur un noyau non recompilé et sur une installation de base de la Mandrake 9.1
  1. Télécharger le fichier usb-pwcx-8.2.2.tar.gz à cette adresse :
    http://www.smcc.demon.nl/webcam/release.html
    (vers la fin de la page)
  2. Décompresser l'archive
  3. Copier le fichier pwcx-i386.o (ou /x86/gcc-3.2/pwcx-2.4.20.o) de l'archive dans /lib/modules/2.4.21-0.13mdk/kernel/drivers/usb (remplacer 2.4.21-0.13mdk par votre version de noyau)
  4. Renommer pwcx-i386.o en pwcx.o et faire depmod -a
  5. Faire un insmod -f pwcx

Et voila ! Ça marche super avec motion (détecteur de mouvement) : les images sont sauvées.

Remarque: Ne pas tenir compte des messages d'erreurs lors des commandes depmod -a et insmod -f pwcx

 

Reconnaître un joystick USB sous Mandrake 9.1
  Par : Yansolo <yannig point perre chez laposte point net>
  Dernière mise à jour : 09/05/2003

Vous avez un joystick USB sous Linux et malheureusement, la présence du périphérique laisse de marbre votre distribution Mandrake 9.1.

La solution consiste à rajouter sa reconnaissance automatique au démarrage de l'ordinateur. Pour cela, il faut éditer le fichier /etc/modules.conf et trouver la ligne suivante :

probeall usb-interface usb-uhci ehci-hcd

puis de la modifier pour :

probeall usb-interface usb-uhci ehci-hcd joydev

On redémarre l'ordinateur et hop ! le tour est joué !

Remarque : Pour les plus impatients, sans redémarrer, il est également possible de le faire reconnaître tout de suite à l'aide de insmod joydev.

 

Connexion disque dur Aten EH 132 sur port parallèle
  Par : Laurent Deschaumes <ldeschaumes chez free point fr>
  Dernière mise à jour : 17/03/2003

Sur RedHat 8 :

 

Monter un disque dur Archos (Jukebox)
  Par : Bertrand Delépine <bertrand chez web tiret fr point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Voici ce qu'il faut faire pour pouvoir monter un lecteur MP3 Archos, de la famille des Jukebox. (JukeboxRecorder 6Go pour moi)

Pour ce faire, il faut configurer votre noyau, et activer ce qui suit :

1 - SCSI Support (Rubrique SCSI Support)
2 - SCSI Disk support (Rubrique SCSI Support)
3 - Support for USB (Rubrique USB Support)
4 - USB Verbose Message, c'est conseillé (Rubrique USB Support)
5 - UHCI Support ou OHCI Support (selon votre machine) (Rubrique USB Support)
6 - USB Mass Storage (Rubrique USB Support)
7 - ISD-200 USB/ATA Bridge Support (Rubrique USB Support)

Je suggère de passer soit tout en module, soit tout dans le noyau.
Pour ma part, sur une machine, j'ai mis tout ça dans le noyau, ça fonctionne bien.
Sur une autre machine, j'ai tout mis en module, et ça fonctionne aussi bien.

Maintenant vous pouvez compiler, comme vous en avez l'habitude ;).
Rebootez et voilà.
Si vous avec tout mis dans le noyau, tapez simplement (en tant que root) :

bash-2.05a# mount /dev/sda1 /archos

Votre lecteur est alors monté sur /archos.

Pour ceux qui ont préféré utiliser les modules, il suffit de charger usb-uhci (ou ohci) puis usb-storage.
ATTENTION : Bien vérifier (par lsmod) que usb-storage a chargé le module SCSI Support (scsi_mod).
Si ce n'est pas le cas,ça ne fonctionnera pas.

Vous pouvez ensuite monter votre lecteur où bon vous semble, toujours avec la commande (en tant que root):

bash-2.05a# mount /dev/sda1 /archos/

Voilà.

Je vous conseille d'aller visiter le site de Rockbox. Ils font pleins d'expériences sur les Jukebox. Ils ont fait un nouveau Firmware libre !
Cela permet notamment d'avoir des jeux sur votre lecteur MP3...
http://rockbox.haxx.se/
Ce site m'a aussi permis de réparer mon Jukebox ;)
(A noter que le support ISD200 du noyau est fait par eux aussi)

Si probleme, m'envoyer un mail précis. (bertrand@web-fr.org)

 

Snapscan e25 sur MDK9 (et autre)
  Par : _Teotihuacan_ <???>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

MDK 8.2 et MDK 9 reconnaissent pas mal de scanners apparemment, mais pas le Agfa Snapscan e25 (ni le e20). Mais il est tout à fait possible de les faire marcher.

Voilà, je me souviens que pour MDK 8.2 la question s'était posée, et la manip étant un chouia différente, je me suis dit que ça pouvait intéresser quelques uns de savoir comment faire marcher le Snapscan e25 USB sur MDK 9 :

Voilà c'est, tout et vu que quand on branche son scanner MDK affiche automatiquement le racourci vers xsane sur le bureau, je trouve que ça en jette :)

J'espère que ça aura été utile à quelqun...

 

Utiliser un appareil photo numérique USB Scott APX 30
  Par : Kroc <david chez larochelle tiret innovation point com>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Matériel requis :
Condition de départ :
Un appareil photo numérique USB Scott APX 30 utilise un chipset Sound Vision (comme l'Agfa ePhoto CL18, le Tiger Fast Flicks, le Polaroid MP3, le Fuji Axia iX-100, etc..) qui n'est pas supporté par les noyaux. Un rapide contrôle au démarrage avec dmesg nous l'indique :
hub.c: USB new device connect on bus2/2, assigned device number 2
usb.c: USB device 2 (vend/prod 0x919/0x100) is not claimed by any active driver

Action :
Grâce au support Hotplug nous allons commencer par identifier ce chipset. La première chose à faire est de débrancher et rebrancher "à chaud" l'appareil tout en surveillant les messages système (avec tail -f /var/log/messages dans un terminal) pour repèrer les identifiants vendeur et produit du chipset :
HostName /etc/hotplug/usb.agent: ... no modules for USB product 919/100/100

Ensuite, il faut ajouter une ligne dans /etc/hotplug/usb.usermap :
scott-apx30 0x0000 0x0919 0x0100 0x0100 0x0000 0x00 0x00 0x00 0x00 0x00 0x00 0x00000000
"scott-apx30" étant le nom choisit pour le préphérique, on fait correspondre les valeurs 2, 3 et 4 du reste de la ligne à celles lues dans dmesg (919/100/100). Ceci va indiquer à Hotplug de charger le fichier /etc/hotplug/usb/scott-apx30 dès qu'il sera détecté. Pour les besoins de gphoto2 et de gtkam qui vont nous permettre d'utiliser cet appareil photo, tout le monde doit avoir un accès en écriture sur ce périphérique, c'est donc la seul action que nous
allons ajouter :

#!/bin/sh

# scott-apx30
# On rend l'appareil photo accessible pour gphoto2
chmod 0666 $DEVICE


On sauvegarde ce fichier, on le rend exécutable, puis on branche l'appareil pour tester, et là miracle :

HostName kernel: hub.c: USB new device connect on bus2/2, assigned device number 11
HostName /etc/hotplug/usb.agent: Setup scott-apx30 for USB product 919/100/100
HostName /etc/hotplug/usb.agent: Module setup scott-apx30 for USB product 919/100/100


Une petite vérif quand même :

HostName:~$ ls -al /proc/bus/usb/002/011
-rw-rw-rw- 1 root root 18 oct 22 21:16 011


Dernière étape, la plus facile, on lance gtkam (l'interface graphique de gphoto2). On ajoute un appareil avec "Add camera" en sélectionnant le "Tiger Fast Flicks" dans la liste sur "Universal Serial Bus (usb:)". À partir de là, l'appareil apparait dans la liste et vous pouvez récupérer vos photos : c'est gagné.

 

QuickCam Logitech et MDK8.2
  Par : Stel <BoxStel chez online fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003

Pour installer une WebCam USB Quickcam et qu'elle soit reconnue au démarrage ou à son branchement, il faut :

  1. récupèrer le package (driver normal qce-ga) indiqué dans la doc Webcam de Léa.
  2. Le compiler comme indiqué. Puis prendre le module "mod_quickcam" et le mettre dans /lib/modules/`uname -r`/kernel/3rdparty/mod_quickcam
  3. ensuite faire un "depmod -a" qui va mettre à jour le fichier "modules.usbmap" (si vous le visualisez vous trouverez deux lignes identiques pour le "mod_quickcam". Ce n'est pas grave ;-) mais une des lignes doit correspondre à votre cam (produce ID et ident ID))
  4. Faut aussi installer le "hotplug" et voilà.

C'est tout :)

NB:Il existe plusieurs type de QuickCam Express et le module de la MDK n'en reconnait qu'une seule :-((
Voili, voilà, A+

 

Faire reconnaitre son scanner SCSI par une mandrake 8.2 récalcitrante
  Par : Léa (Fred) <fred chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Je ne sais pas vous, mais lorsque j'ai installé ma Mandrake 8.2 toute neuve, mon scanner SNAPSCAN 310 SCSI n'a pas été correctement reconnu par scannerdrake.

J'ai réglé le problème en parcourant /dev/scsi/host0/bus0/ , là j'ai vu que j'avais 3 "target" (target1, target4 et target5, cela ne sera pas la même chose pour vous). Comment trouver celui qui correspond à votre scanner ? C'est très simple, faire :

[root@fourmies fred]# cat /proc/scsi/scsi
Attached devices:
Host: scsi0 Channel: 00 Id: 01 Lun: 00
Vendor: RICOH Model: MP6200S Rev: 2.40
Type: CD-ROM ANSI SCSI revision: 02
Host: scsi0 Channel: 00 Id: 04 Lun: 00
Vendor: AGFA Model: SNAPSCAN 310 Rev: 1.20
Type: Scanner ANSI SCSI revision: 02
Host: scsi0 Channel: 00 Id: 05 Lun: 00
Vendor: IOMEGA Model: ZIP 100 Rev: J.02
Type: Direct-Access ANSI SCSI revision: 02

Ce qui est important : "scsi0 Channel: 00 Id: 04 Lun: 00" qui correspond a votre scanner (à vous de voir), je peux donc en déduire que mon scanner est en réalité :

/dev/scsi/host0/bus0/target4/lun0/generic


Il suffit alors, d'ajouter dans le fichier /etc/sane.d/[nom de votre scanner].conf :
/dev/scsi/host0/bus0/target4/lun0/generic
et voilà, votre scanner est reconnu par Sane !

 

Problème avec un graveur de CD
  Par : Léa (Fred) <fred chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Votre graveur de CDR/RW fonctionnait avec un ancien noyau, il ne fonctionne plus maintenant que vous êtes passé à la version 2.4.x du noyau, alors qu'il est toujours supporté par cdrecord ? Ce truc ne fonctionnera peut-être pas pour tout le monde mais, personnellement j'ai résolu le problème en mettant à jour le firmware de mon graveur RICOH 6200S (S pour SCSI).

Le firmware est le programme qui gère un périphérique en interne (votre scanner en a un, votre graveur, sans doute votre disque dur etc...). Le mise à jour se passe en général sous DOS (FreeDOS fonctionne peut-être mais je n'ai pas essayé, honte sur moi). Il faut que votre carte SCSI (si c'est un graveur SCSI) soit reconnu sous DOS. Ensuite, il suffit de lancer le programme de mise à jour du firmware qui se charge de tout. Pour trouver le firmware cherchez : firmware +"<le nom de votre graveur avec son numéro>" sur un moteur de reherche comme google.

 

Impression canon avec MDK 8.0
  Par : jean luc <j point d181 chez libertysurf point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Ceux qui comme moi ont une impression reduite à un quart avec CUPS peuvent récupérer un driver payant sur www.turboprint.de. La démo est téléchargeable gratuitement. Mais, vous aurez un beau logo au milieu de la page si vous ne payez pas le logiciel.

 

un cadenas sur mon floppy et mon zip 250 parallèle
  Par : lanesrine <alaindesadrets chez libertysurf point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Sous mdk 8.0 freq 2 la mise à jour est ok.
Mais "impossible d'entrer dans /mnt/zip et /mnt/floppy"

Tapez dans une console (konsole, kvt, gnome-terminal et c.) sous root (su):
insmod floppy ,pour l'un et, insmod imm , pour l'autre.

 

Connecter un disque firewire
  Par : lanesrine <alaindesadrets chez libertysurf point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Dans le répertoire :
/lib/modules/2.4.5-mdk(ou autre version)/kernel/drivers/ieee1394/
détargzippez les fichiers ieee* ohci* sbp2*, puis insmodez les fichiers .o et enfin montez le périphérique.

Automatisez avec un script :

# lancer les drivers
insmod /lib/modules/2.x.y/kernel/drivers/ieee1394/ieee1394.o
insmod /lib/modules/2.x.y/kernel/drivers/ieee1394/ohci.o
insmod /lib/modules/2.x.y/kernel/drivers/ieee1394/sbp2.o
# monter
mount /dev/sda1 /mnt/firewire


Sauvegarder le fichier sous fire245 par exemple, et le placer dans le répertoire /usr/local/bin/.
Lancez fire245 : ça marche !
(Testé sur MDK8).

 

Rechercher quel driver il faut charger ...
  Par : Fred(de Léa) <fred chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
... pour prendre en charge tel ou tel matériel (ou fonction)
  1. Téléchargez les sources du noyau sur kernel.org.
  2. Décompressez les sources dans /usr/src/linux
  3. Placez vous dans /usr/src/linux/Documentation : cd /usr/src/linux/Documentation
  4. Utilisez Grep : grep . -r -i -e "matériel/ou/fonction"
  5. Lisez les fichiers trouvés par grep.

 

Changer pour une souris USB
  Par : Fred <fred chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Pour installer une souris USB, rien de plus simple :
  1. connecter là avant de démarrer l'ordi
  2. démarrer l'ordi en mode 3 (passer le parametre 3 à LILO au boot)
  3. editer le fichier /etc/X11/XF86Config (ou /etc/X11/XF86Config-4) pour changer le type de la souris : Section "InputDevice", Identifier "Mouse1" (dépend de votre configuration) pour qu'elle soit :
    Section "InputDevice"
    Identifier "Mouse1"
    Driver "mouse"
    Option "Protocol" "IMPS/2" # dépend de votre souris (ceci fonction avec les souris à roulette Microsoft et Logitech et sans doute d'autres)
    Option "Device" "/dev/usbmouse" # ou /dev/input/mouse0
    Option "ZaxisMapping" "4 5" # pour avoir l'utilisation de la roulette)
    EndSection
  4. passez en mode 5 (XWindow) : init 5
  5. c'est fait!

Pour utiliser votre souris USB en mode console (sous Mandrake) éditez le fichier /etc/sysconfig/mouse pour qu'il ressemble à :
MOUSETYPE=imps/2
XMOUSETYPE=IMPS/2
FULLNAME="Souris USB à roulette"
XEMU3=no
WHEEL=yes
device=usbmouse

et c'est tout !

 

carte SCSI Adaptec AVA1505
  Par : Jice <jice at lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Pour faire fonctionner la carte Adaptec AVA1505 (carte à un seul périphérique SCSI pour un graveur par exemple), il faut éditer : /etc/conf.modules pour y mettre :
options aha152x aha152x1=0x340,9
alias scsi_hostadapter aha152x

(remplacer 0x340 par l'adresse i/o utilisée par la carte et 9 par l'irq utilisée par la carte)

puis taper les commandes :
# modprobe aha152x
# cat /proc/scsi/scsi

pour voir si tout va bien.

Remarque : si vous ne disposez pas du module aha152x, vous devrez passer par l'étape de recompilation du noyau. Configurez ce module (SCSI low level drivers) et recompilez le noyau (vous pouvez essayer de ne recompiler que les modules, en ne faisant que make modules && make modules_install).

 

Zip 100 Mo parallèle
  Par : alaide <alaide chez nexen point net>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Je revient rapidement sur les généralités :

  1. Il faut charger les modules (si ce n'est déjà fait, utilisez lsmod pour consulter la liste des modules chargés) suivants : parport, parport_pc et ppa.
  2. Montez le ZIP. Par défaut c'est mount /dev/sda4 -t vfat /mnt/zip (n'oubliez pas de créer le répertoire /mnt/zip).

Vous constaterez que parfois ça ne marche pas, notamment dans le cas de vieux pc comme le mien.
C'est là qu'est l'astuce promise. Dans votre BIOS, choisissez comme protocole pour le port parallèle EPP1.9.

Ceci devrait régler vos problèmes. Peut être celà marche-t-il avec EPP1.7 mais avec SPP, ça ne marchera que très mal !

 

tablette Wacom PenPartner (MDK 7.2)
  Par : Fred <frederic_toulouse chez yahoo point fr>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
A la demande de certains lecteurs du forum voici comment j'ai paramétré Mandrake 7.2 pour faire fonctionner une tablette Wacom PenPartner (interface série).

Auteur: Fred (212.43.227.---)
Date: 12-23-00 11:07

Après maintes péripéties, j'ai ENFIN réussi à faire fonctionner ma tablette graphique Wacom PenPartner sous Mandrake 7.2 et voici en guise de cadeau de Noël à ceux qui comme moi ont eu quelques difficultés avec ce péripherique comment il faut faire :

Le fichier à modifier (dans mon cas) n'était pas XF86Config comme c'est dit partout mais /etc/X11/XF86Config-4 . Voir ci-dessous ce qu'il faut taper dans ce fichier. Ensuite il suffit de redémarrer et ça marche :-)). Sous Gimp le stylet fonctionne aussi sans recompiler GTK (par contre la gomme du stylet n'est pas reconnue en ce qui me concerne, il faut donc choisir l'outil "gomme" dans la palette) :-))

Bonnes Fêtes

Fred



# **************************************************************

# tablette graphique section (sur COM1)
# *********************************************************

Section "InputDevice"
Identifier "stylus"
Driver "wacom"
Option "Type" "stylus"
Option "Device" "/dev/ttyS0"
EndSection

Section "InputDevice"
Identifier "eraser"
Driver "wacom"
Option "Type" "eraser"
Option "Device" "/dev/ttyS0"
EndSection

Section "InputDevice"
Identifier "cursor"
Driver "wacom"
Option "Type" "cursor"
Option "Device" "/dev/ttyS0"
EndSection

Section "ServerLayout"
Identifier "layout1"
Screen "screen1"
InputDevice "Mouse1" "CorePointer"

InputDevice "stylus" "AlwaysCore"
InputDevice "eraser" "AlwaysCore"
InputDevice "cursor" "AlwaysCore"

InputDevice "Keyboard1" "CoreKeyboard"
EndSection

# ***************************************************

Et voilà !

Note du modérateur :
- si vous avez fait la même chose avec une tablette Wacom USB, merci de m'envoyer votre recette pour la faire partager !
- cette astuce peut aussi fonctionner avec d'autres distributions...
- s'il faut modifier le fichier /etc/X11/XF86Config-4 et pas /etc/X11/XF86Config c'est à cause de XFree 4.0.x qui par défaut utilise ce fichier (-4) par contre en cas d'absence de ce fichier, c'est /etc/X11/XF86Config qui sera utilisé

 

Accélérer un disque dur
  Par : eXistenZ <existenz chez zerezo point com>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Avant tout vérifions le mode de votre disque dur (on suppose que ce disque est /dev/hda) avec la commande "hdparm -c /dev/hda" (sans les guillemets ;-). hdparm vous affiche un truc dans le genre :
/dev/hda
I/O support = 0 (default 16-bits)


Si vous obtenez un message vous précisant que votre DD tourne en 32-bits, laissez tout tomber : cette astuce n'est pas pour vous.

Bon pour les autres, on va tester la vitesse du disque avec "hdparm -t /dev/hda". Chez moi j'obtiens 3.81 Mo/s.
Par défaut, Linux configure le disque en 16 bits, nous allons le configurer en 32 bits : pour cela taper "hdparm -c 1 /dev/hda".
Et voilagrave; ! Votre disque tourne en 32 bits, on a plus qu'à re-tester la vitesse de transfert : "hdparm -t /dev/hda" et la miracle j'obtient 6.52 Mo/s contre 3.81 avant !! Suivant votre disque l'accroissement de la vitesse peut être plus ou moins important, il paraît que l'on peut observer des triplements de vitesse... Si c'est votre cas, écrivez-moi !

N'oubliez pas de changer ce paramètre à chaque démarrage en rajoutant, par exemple, la ligne "/sbin/hdparm -c 1 /dev/hda" à la fin de /etc/rc.d/rc.sysinit (pour distribution Mandrake).

Note du modérateur : hdparm permet d'autres optimisations pour accélerer encore plus les disques durs. Pour les options les plus utilisées :

-c : mode 32 bits (1 On 0 Off)
-d : mode DMA (1 On 0 Off)
-p: PIO mode (de 0 à 5)
-t: Benchmark

Pour les disques récents (UDMA33 ou 66...), passez les options :
hdparm -c 1 -d 1 /dev/hdX

Pour les anciens disques (PIO 1,2,3...):
hdparm -c 1 -p y /dev/hdX (y=1 ou 2,... suvant le PIO de votre disque)

Pour tester la vitesse d'un disque:
hdparm -t /dev/hdX

Aujoutez les optimisation dans un fichier de démarrage (/etc/rc.d/rc.local par exemple).

 

La mémoire n'est pas totalement détectée
  Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
  Dernière mise à jour : 31/01/2003
Quand vous avez une certaine quantité de mémoire et que seulement une partie de celle-ci est détectée sous linux, cela peut venir de plusieurs choses différentes :
  • tout d'abord le BIOS de votre machine : vérifiez que les options du style "Memory hole at 16 Mo" ou "Limit 64 Mo" ou "64Mo OS2 limit" ou tout autre chose du genre ne soit PAS ACTIVES.
  • Si rien n'y fait, essayez en ajoutant dans votre /etc/lilo.conf une ligne append du style :
    append="mem=XXM"
    Avec XX= quantité en Mo de mémoire.

    Attention : ne pas oublier dans une console ou dans un xterm de taper la commande lilo pour faire prendre en compte les changements !
  •  

    Accélérer le swap
      Par : Fred <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour accélérer le swap de Linux, il suffit d'avoir plusieurs disques durs, et de laisser une partition de swap sur chacun d'eux (attention je parle de plusieurs disques, pas de plusieurs partitions, il faut des partitions sur des disques distincts !)

    supposons que vous ayez créé deux partions pour le swap, une sur :
    /dev/hda : /dev/hda5
    et une sur
    /dev/hdc : /dev/hdc2
    (il vaut mieux que les disques soient sur des nappes différentes)

    dans votre fichiers /etc/fstab vous devez avoir quelque chose comme :

    /dev/hda5 swap swap defaults 0 0

    il faut ajouter :

    /dev/hdc2 swap swap defaults 0 0

    après avoir tapé :
    mkswap /dev/hdc2

    et rebooter (ou mount -a) pour pouvoir bénéficier du swap supplémentaire.

    De cette façon Linux accédera en même temps au deux partitions de swap et doublera le vitesse de ses accès au swap (ou plutôt ajoutera la vitesse de chaque disque).

     

    haut


    Matériel>video

    Installation des drivers ATI sur une distribution sans RPM
      Par : Léa (Fred) <frederic point bonnaud chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    J'ai voulu tester les drivers ATI pour ma Radeon 8500 LE sur ma LFS, malheureusement, ils ne fournissent que des rpm.
    Voilà ce que j'ai fait pour passer outre cette limitation.

    Tout cela se passe en tant que 'root'

    Préparation  :
    1. récupérer  : rpm2cpio (moi j'ai pris celui de ma mandrake, en copiant les librairies nécessaires...)
    2. récupérer  : cpio (normalement dans tous les bonnes distributions)

    Décompression  :
    3. mkdir /tmp/ATIDRIVER
    4. cd /tmp/ATIDRIVER
    5. rpm2cpio /ou/est/fglrx-glc22-4.2.0-2.5.1.i586.rpm | cpio -i --make-directories

    Compilation du module pour le kernel  :
    6. cp -a /tmp/ATIDRIVER/lib/modules/fglrx /lib/modules
    7. cd /lib/modules/fglrx/build_mod
    8. ./make.sh

    Installation du module  :
    9. cd /lib/modules/fglrx/
    10. ./make_install.sh

    Installation des drivers X  :
    11. cp -a /tmp/ATIDRIVER/usr/X11R6/lib/modules/* /usr/X11R6/lib/
    12. mv /usr/X11R6/lib/libGL.so.1.2 /usr/X11R6/lib/old-libGL.so.1.2
    13. cp /tmp/ATIDRIVER/usr/X11R6/lib/libGL.so.1.2 /usr/X11R6/lib/

    Installation de quelques outils X  :
    14. cp /tmp/ATIDRIVER/usr/X11R6/bin/* /usr/X11R6/bin

    Configuration de X  :
    15. Ajouter une section "device" dans /etc/X11/XF86Config(-4)?  :
    Section "Device"
    Identifier "ATIDriver"
    VendorName "Hercules"
    BoardName "Radeon 8500 LE"
    Driver "fglrx"
    # === disable PnP Monitor ===
    #Option "NoDDC"
    # === disable/enable XAA/DRI ===
    Option "no_accel" "no"
    Option "no_dri" "no"
    # === Fire GL DDX driver module specific settings ===
    # === Screen Management ===
    Option "DesktopSetup" "0x00000000"
    # Option "Display2" "0"
    Option "HSync2" "unspecified"
    Option "VRefresh2" "unspecified"
    Option "GammaCorrectionI" "0x00000000"
    Option "GammaCorrectionII" "0x00000000"
    # === OpenGL specific profiles/settings ===
    Option "Capabilities" "0x00000000"
    # === Video Overlay for the Xv extension ===
    Option "VideoOverlay" "on"
    # === OpenGL Overlay ===
    # Note: When OpenGL Overlay is enabled, Video Overlay
    # will be disabled automatically
    Option "OpenGLOverlay" "off"
    BusID "PCI:1:0:0" # vendor=1002, device=514c
    # Screen 0
    EndSection
    16. ajouter dans la section "module"  :
    Load "glx"
    Load "dri"
    17. Créer la section  :
    Section "DRI"
    Mode 0666
    EndSection
    18. Modifier une section "screen" pour lui faire utiliser le nouveau driver, ex (Note: DefaultColorDepth est obligatoirement 24)  :
    Section "Screen"
    Identifier "screen2"
    Device "ATIDriver"
    Monitor "monitor2"
    DefaultColorDepth 24

    Charger les modules du kernel  :
    19. modprobe agpgart (note: semble inutile)
    20. modprobe fglrx

    Redémarrer X  :
    21. startx

    Nettoyage (facultatif)  :
    22. rm -rf /tmp/ATIDRIVER

    Note 1  : il faudra automatiser les chargements des modules pour le prochain démarrage, par exemple en ajoutant
    le nom des deux modules dans /etc/modules

    Note 2  : ces drivers semblent très performants en 2D et en 3D pour autant que je puisse en juger  !

    Note 3 : je n'ai pas réussi à activer la sortie TV Out ! Si quelqu'un a réussi, je suis preneur !






     

    nvtv-out pour la sortie TV des nvidia
      Par : dave <dave chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Télécharger le logiciel nvtv-out.
    Décompressezle, puis en tant que root lancer (dans /.../nvtv-out) ./nvtv.
    Rien de plus simple et configurable

     

    Compiler le driver NVidia avec un kernel > 2.4.9
      Par : Mimile <emile point c chez voila point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Si l'on regarde de plus près sur le site NVidia, on constate qu'ils ne livrent le binaire du "kernel driver" que pour une RedHat 7.2 (basique ou updatée en 2.4.9-13). Les kernels plus récents que 2.4.9 ne sont pas supportés hormis si l'on recompile le NVdriver pour l'occasion. Passer en 2.4.16 apporte un meilleur support de l'IEEE1394, entre autre avantage, et corrige certains trous de sécurité (je crois).
    1. Récupérer le source du driver "NVIDIA_kernel" ainsi que de la librarie NVIDIA_GLX correspondante sur http://www.nvidia.com/view.asp?PAGE=linux.
    2. Prendre les fichiers NVIDIA_kernel-1.0-XXXX.tar.gz et NVIDIA_GLX-1.0-XXXX.tar.gz ; aux dernières nouvelles XXXX=2313 à ce jour.
    3. Les installer comme ceci :
      $ tar zxvf NVIDIA_kernel-1.0-2313.tar.gz
      $ tar zxvf NVIDIA_GLX-1.0-2313.tar.gz
      $ cd NVIDIA_GLX-1.0-2313
      # make -n
          (juste pour vérifier!)
      # make    (être connecté root !)
      C'est tout pour la librarie NVIDIA_GLX qui permet le support de l'OpenGL ;-)
    4. Maintenant le "gros morceaux" avec le driver NVIDIA_kernel. Procéder ainsi :
      $ cd ../NVIDIA_kernel-1.0-2313/
      $ make

    Il faudra penser à positionner une variable IGNORE_CC_MISMATCH si l'on s'apprête à compiler le driver NVIDIA avec une version de gcc autre que celle qui a servi pour le noyau "/boot/vmlinuz-2.4.17" (à supposer que l'on soit booté avec ce niveau de kernel) :

    $ setenv IGNORE_CC_MISMATCH true    (en tcsh)
    $ export IGNORE_CC_MISMATCH=true    (en bash)

    Pour la suite, on supposera que l'arborescence /usr/src/linux a été conservée telle quelle (suite au "make modules_install"), c'est à dire que sous /lib/modules/2.4.17, le lien symbolique build ne pointe pas sur un répertoire inexistant... Si toutes ces conditions sont remplies, la compilation est une simple formalité :

    $ make
    rm -f nv.o os-interface.o os-registry.o  Module-linux nv_compiler.h
    NVdriver

    cc -c -Wall -Wno-unknown-pragmas -Wno-multichar -O -D__KERNEL__
    -DMODULE -D_LOOSE_KERNEL_NAMES -D_X86_=1 -Di386=1 -DUNIX -DLINUX -DNV4_HW
    -DNTRM -DRM20 -D_GNU_SOURCE -DRM_HEAPMGR -D_LOOSE_KERNEL_NAMES  
    -DNV_MAJOR_VERSION=1 -DNV_MINOR_VERSION=0 -DNV_PATCHLEVEL=2313  -I.
    -I/lib/modules/2.4.17/build/include nv.c

    cc -c -Wall -Wno-unknown-pragmas -Wno-multichar -O -D__KERNEL__
    -DMODULE -D_LOOSE_KERNEL_NAMES -D_X86_=1 -Di386=1 -DUNIX -DLINUX -DNV4_HW
    -DNTRM -DRM20 -D_GNU_SOURCE -DRM_HEAPMGR -D_LOOSE_KERNEL_NAMES  
    -DNV_MAJOR_VERSION=1 -DNV_MINOR_VERSION=0 -DNV_PATCHLEVEL=2313  -I.
    -I/lib/modules/2.4.17/build/include os-interface.c

    cc -c -Wall -Wno-unknown-pragmas -Wno-multichar -O -D__KERNEL__
    -DMODULE -D_LOOSE_KERNEL_NAMES -D_X86_=1 -Di386=1 -DUNIX -DLINUX -DNV4_HW
    -DNTRM -DRM20 -D_GNU_SOURCE -DRM_HEAPMGR -D_LOOSE_KERNEL_NAMES  
    -DNV_MAJOR_VERSION=1 -DNV_MINOR_VERSION=0 -DNV_PATCHLEVEL=2313  -I.
    -I/lib/modules/2.4.17/build/include os-registry.c

    ld -r -o Module-linux nv.o os-interface.o os-registry.o 
    ld -r -o NVdriver Module-linux Module-nvkernel
    size NVdriver
       text    data    
    bss     dec     hex filename

     659989   43936   52396  756321  
    b8a61 NVdriver

    Please run "make install" as root.
    $

    Si on lance le make sous root, l'installation se fera d'office et la recopie de NVdriver sous /lib/modules/2.4.17/kernel/driver/video sera elle aussi réalisée (make -n afficherait ce qui est à effectuer... sans rien faire pour autant). Votre driver est maintenant prêt à l'emploi ;-)

    Relancer le server X (Ctrl-Alt-BkSp) une fois votre fichier de config /etc/X11/XF86Config-4 adapté pour l'occasion (extraits) :

    ...
    Section "Module"
        #Load "GLcore"
        Load "dbe"
        Load "extmod"
        Load "fbdevhw"
        Load "pex5"
        #Load "dri"
        Load "glx"
        Load "pex5"
        Load "record"
        Load "xie"
    EndSection
    ...
    Section "Device"
        Identifier "vesa driver"
        Driver "vesa"
    EndSection
    Section "Device"
        Identifier "nvidia driver"
        Driver "nvidia"
        #Option "UseEdidFreqs" "on"
    EndSection
    Section "Screen"
        Identifier "Screen0"
        Device "nvidia driver"
        Monitor "Monitor0"
        DefaultDepth 16
        Subsection "Display"
            Depth 16
            Modes "1024x768"
        EndSubsection
    EndSection
    Section "DRI"
    Mode 0666
    EndSection
    ...


    That's all folks ;-) Bonne chance et contactez-moi pour plus d'infos...

     

    Chipset video NeoMagic
      Par : Jice <jice at lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Ce truc intéressera peut-être les utilisateurs des nombreux portables à chipset video Neomagic (Dell, Sony, IBM, etc.)

    Il m'a été transmis par Jean-Paul Smets Solanes <jp at smets point com> :

    Mon portable fonctionnait très bien sous XFree3. Sous XFree4, il se figeait de temps en temps avec un serveur X à 99% du CPU.

    Voici la solution : ajouter une option (Option "ShadowFB") dans le fichier de config XF86Config dont voici un extrait :

    Section "Device"
        Identifier  "Neomagic"
        Driver      "neomagic"
        Option      "ShadowFB"


    Source :
    http://lists.debian.org/debian-x/2001/debian-x-200106/msg00073.html
    voir également :
    http://lists.debian.org/debian-x/2001/debian-x-200107/msg00014.html

     

    Configuration d'une carte NVidia sous la Mandrake 8.0
      Par : jonesy <jonesy chez wanadoo fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Le HOWTO de Léa, http://lea-linux.org/hardware/nvidia.php3, sur les cartes NVidia est très bien fait ! Et il est donc recommandé de le suivre.

    Mais il y a un petit détail détail à savoir avec la Mandrake 8.0; qui permet de choisir d'installer deux XFree différents (3.3.6 et 4.0.3) donc il y a deux fichiers de configuration XFree, utilisez
    /etc/X11/XF86Config pour 3.3.6 et /etc/X11/XF86Config-4 pour 4.0.3

    De plus, dans /etc/X11/XF86Config-4, vous risquez de ne pas trouver la ligne à décommenter : #Load "glx"
    dans la section module. Il suffit de l'ajouter sans le #, bien sur ! ;))

    Merci à Michel pour l'info

     

    Utiliser la sortie TV-Out des cartes NVidia
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    D'abord, vous devez installer les drivers closed-source de NVidia voir l'article de Léa.

    Ensuite, éditez /etc/X11/XF86Config ou /etc/X11/XF86Config-4, ajoutez une section "Monitor" pour votre TV :
    Section "Monitor"
    Identifier "TV"
    VendorName "Daewoo"
    ModelName "50cm"
    HorizSync 30.0 - 50.0
    VertRefresh 60
    EndSection


    Puis, si vous avez une GeForce2MX (au moins) qui supporte l'option TwinView, modifiez votre section "Device" correspondant à votre carte NVidia pour qu'elle ressemble à (le BusId dépend de votre configuration):
    Section "Device"
    Identifier "RIVA TNT2"
    VendorName "Unknown"
    BoardName "Unknown"
    BusID "1:0:0"
    Driver "nvidia"

    Option "TwinView"
    Option "SecondMonitorHorizSync" "30-50"
    Option "SecondMonitorVertRefresh" "60"
    Option "MetaModes" "1024x768, 1024x768; 800x600, 800x600; 640x480, 640x480;"
    Option "TVStandard" "PAL-N"

    EndSection

    et c'est tout pour l'option TWinView.

    Et si vous avez une carte NVidia ne supportant pas l'option TwinView :
    Section "Device"
    Identifier "RIVA TNT2"
    VendorName "Unknown"
    BoardName "Unknown"
    BusID "1:0:0"
    Driver "nvidia"

    Option "ConnectedMonitor" "TV"
    Option "TVStandard" "PAL-N"
    EndSection


    si vous n'utilisez pas l'option TwinView, il faut ajouter une section "Screen" pour votre TV :
    Section "Screen"
    Identifier "Television"
    Device "RIVA TNT2"
    Monitor "TV"
    DefaultDepth 24
    SubSection "Display"
    Depth 1
    EndSubSection
    SubSection "Display"
    Depth 4
    EndSubSection
    SubSection "Display"
    Depth 8
    EndSubSection
    SubSection "Display"
    Depth 15
    EndSubSection
    SubSection "Display"
    Depth 16
    EndSubSection
    SubSection "Display"
    Depth 24
    Modes "1024x768" "800x600" "640x480"
    EndSubSection
    EndSection


    puis, remplacez l'option Screen de la section "ServerLayout" par :
    Screen "Television"

    Et voilà, il ne vous reste plus qu'a redémarrer votre server X.

    Note : Les TVStandard supportés sont :
    d'après http://www.linuxhardware.org/article.pl?sid=01/05/29/2147241&mode=thread .

     

    Aide pour améliorer les performances des drivers NVidia 0.9.6
      Par : Fred <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    J'ai obtenu un gain d'une vingtaine de FPS a quake3 avec les tweaks de ce site (modif des fichiers sources) : le lien.

    Voici quelques modifications qui m'ont bien aidé :

    Ouvrez le fichier os-registry.c dans les source de NVIDIA_kernel-0.9.6 et cherchez la ligne NVreg_SkipBiosPost. Changez y le #if 0 par un #if 1, cela a amélioré un poil les drivers chez moi.

    Voici quelques autres changement qui amélioreront aussi les drivers

    Et voici quelques changements apportés au fichier /etc/X11/XF86Config (testé sur XFree86 4.0.2)

    Option "accel"
    Option "FastVram"

    "FastVram" a l'air d'avoir bien aidé.

    J'ai une Geforce SDR, J'obtient une bonne moyenne de 70fps, en 1024x768 couleur 32 bits (au lieu de 60 fps auparavant).

    J'espère que ca aidera.
    (recopié sur le forum, message de : ztoonifik)

    Note du modérateur: Attention, apparement plusieurs personnes nous ont indiqué qu'aprés ces changement plus rien ne marchait (il ne faut donc utiliser ces tweaks qu'avec précaution : sauvegardez vos fichiers de configuration). Apparement ces optimisations sont assez dépendante de la carte que vous possédez, donc ça risque de ne pas marcher chez vous. Dans ce cas, reprenez la config de base de la rubrique Nvidia.

     

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    Matériel>son

    emu10k1 : réglages avancés
      Par : psychopathologic <psychopathologic chez caramail com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Au premier abord, les drivers Creative pour la Sound Blaster Live sont un peut légers, mais après quelques recherches sur le web, j'ai trouvé des outils qui permetent de mieux la configurer.
    Sur le site de creative, dans la "zone" opensource du site (http://opensource.creative.com), vous trouverez les sources des derniers drivers et les sources d'un paquet qui s'appelle "emu-tools" il s'agit des outils de configuration pour les cartes à base de emu10k1 (on peut aussi trouver des rpm pour plusieurs distributions sur rpmfind.net).

    Avant de les installer, il faut désactiver le module emu10k1 dans le kernel et recompiler celui-ci si le driver emu10k1 n'était pas compilé en module.

    Après les avoir installé (sans problème j'espère :) et chargé le driver, chercher le fichier "emu-script" qui se trouve dans le répertoire "/usr/local/etc/" (si vous avez laisser l'installation se dérouler normalement depuis les sources), lancez le et vous verrez des nouvelles options de réglage dans votre table de mixage OSS habituelle, les basses et les aigus (si tout c'est bien passé).

    En utilisant des paramètres, on peut configurer différentes options supplémentaires que voici :


    Il suffit d'ouvrir le fichier avec un éditeur de texte pour les voir, il y est aussi expliqué comment faire pour paramêtrer automatiquement tout ça au démarrage.

    Il y a aussi un script pour mieux utiliser les cartes audigy, mais je ne sais pas trop ce qu'il fait.

    Ces scripts lancent le programme emu-dspmgr qui charge des "patch"-s dans le processeur de la carte son (des effets dsp si j'ai bien compris), il permet aussi de charger d'autres effets (un peut comme ceux qu'on trouve avec les driver windows) mais je n'ai pas réussi à les faire fonctionner (harf !!!:-(

    D'après ce que j'ai vu dans les sources, une gui en gtk serai en développement, peut être que ça simplifira les choses.

    bonne chance (et désolé pour les fautes d'orthographe et la grammaire :)
    NDLR: j'en ai corrigé pas mal, mais je suis nul en orthographe moi aussi :)

     

    Obtenir du son d'un chipset SiS7012
      Par : tilt <thierrygrandjean chez hotmail point com>
      Dernière mise à jour : 09/03/2003

    Le son peut etre géré par une puce spécialisée directement fixée sur la carte mère.
    C'est le cas du chipset SiS7012 (Silicon Integrated System) sur une carte Elite K7S5A.
    Malheureusement, l'installation de la Mandrake 8.2 échoue à la reconnaissance de cette puce.
    Il faut donc déclarer les modules utilisés directement dans le fichier /etc/modules.conf
    en modifiant la ligne
    alias sound-slot-0 snd-card-intel8x0
    par
    alias sound i810_audio
    d'après ce que j'ai vu sur les forums dédiés à Mandrake, cette astuce fonctionne sur plusieurs autres cartes mères.

    Attention : l'utilitaire sndconfig détecte bien la puce mais indique quelle n'est pas supportée.
    Note de Jicé : cette manip consiste en fait à remplacer le support son Alsa (sound-slot-0) par le support son natif du noyau OSS (sound). Pitch nous informe que ce chipset est bien supporté par OSS au moins à partir du noyau 2.4.18.

     

    Probleme avec Mandrake 8 / Chipset son ESS solo1
      Par : Raidate <d point lucas chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    En fait, il arrive que la mandrake n'installe pas le bon module. Il me semble que le module installé est un pseudo pilote alsa, mais qui ne convient pas avec ce chipset! La solution est de decharger les modules alsa et sound du demarrage puis redemarrer (ou faire un rmmod lebidule_ke_pas_bon). Là, pas de module son, parfait! En ligne de commande , editer /etc/modules.conf avec les privileges root, puis à droite de sound_uhca (ou quelque chose du genre), mettez esssolo1. Reactiver le module son par le centre de controle mandrake. Redemarrez, y'a le son.
    CQFD

     

    Carte son Maxi Sound
      Par : David <david point laine chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    J’ai remarqué dans le forum, qu’un certain nombre de personne sont embêtés par les cartes sons Maxi Sound.

    Moi, j'ai MAXI SOUND Home Studio Pro 64, et j'ai galéré pendant des semaines pour avoir le son... Et puis, dans un forum (je ne sais plus où !), j'ai trouvé une solution (alléluia !) pour la faire marcher et elle marche depuis hier soir (d'ailleurs, elle est loin maintenant !) :

    Il faut se mettre sous DOS (atchoum !) et installer les drivers DOS livrés avec la carte son...

    Booter sous DOS pour que les drivers soit chargés (Y doit avoir du micro-code la dessous !).
    Démarrer Linux depuis le DOS avec LOADLIN (voir l’article sur LEA).

    Et la si la config IRQ,DMA,adresse est la même que DOS (voir l’article LEA sur le son pour configurer ces données) : ça doit marcher !

    David

     

    Carte son intégrée (ex : VIA 82c686) + noyau 2.4.x
      Par : Fred <frederic point bonnaud chez la poste point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Vous avez une carte mère ayant un chipset son intégrée (pour cet exemple, un chipset son VIA 82c686) et vous voulez en bénéficier sous Linux. C'est relativement simple :
    1. recompilez votre noyau, dans la rubrique Sound activez :
      • Sound Support (en module ça évite de surcharger votre mémoire)
      • VIA 82c686 Audio Codec (en module pour les mêmes raisons, choisissez le module correspondant à votre carte son)
      • et surtout rien d'autres (surtout pas d'opl3, mpu401 etc...)
    2. éditez le fichier /etc/modules.conf, commentez toutes les lignes du type alias sound-slot-x,alias midi, alias sound-slot-0, et ajoutez les lignes :
      alias sound-slot-0 via82cxxx_audio (ou le module de votre carte son)
    3. installez votre nouveau noyau (n'oubliez pas de relancer lilo)
    4. rebootez.
    5. le son est maintenant disponible sous Linux !

    Seconde solution, utilisez alsa et ajoutez :
    #-----------------------------------------------
    alias snd-card-0 snd-card-via686a
    # ou le module ALSA de votre carte son

    alias sound-slot-0 snd-card-0
    alias sound-service-0-0 snd-mixer-oss
    alias sound-service-0-1 snd-seq-oss
    alias sound-service-0-3 snd-pcm-oss
    alias sound-service-0-8 snd-seq-oss
    alias sound-service-0-12 snd-pcm-oss
    #-----------------------------------------------

    au fichier /etc/modules.conf

     

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    Matériel>modems

    Alcatel ST330 + LM9.1 = ca marche !
      Par : vidjone <vidjone chez yahoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/07/2003

    Pour les passionnés comme moi qui ont essayé tous les "How to" pour faire fonctionner leur modem SpeedTouch (patches....) sous Mandrake 9.0 sans succès; il y a quand même une solution !

    C'est très simple:
    -Procurez-vous la distribution LM 9.1 ( 2 CD suffisent) et le microcode "mgmt.o".
    -Installer la distribution avec modem branché !
    -Durant l'installation, activer l'accès internet ADSL (configurer l'assistant )pour que les pilotes soient installés correctement !!!!
    -Cochez pour l'activation de la connexion au démarrage !!!!
    -Démarrez en root
    -Copiez le "mgmt.o" (le système vous indiquera où..)
    -Utiliser le panneau de contrôle pour configurer votre connection en "mode Expert" (n'oubliez pas les adresses DNS de votre F.A.I.)
    -Redémarrez en utilisateur
    -Ouvrez Mozilla...

    Remerciements à : ahmad clement, christine noot.

     

    Alcatel Speedtouch USB sur Mandrake 9.1 (variante)
      Par : Benoit Montessinos <benoit point montessinos chez sesamath point net>
      Dernière mise à jour : 22/05/2003
    En lisant les différents articles de Lea sur l'installation, je me suis lancé. Sur la Mandrake 9.1, il y a quelques variantes dont je n'ai vu de trace nulle part.
    Je supposerais que toute la partie usb est correctement installée, sinon, voir les autres articles.

    Pour plus de détails : cet autre truc.

    Etant moi-même débutant, je ne garantis rien mais ça a marché chez moi.

     

    Résoudre les problèmes avec le DASUB du dirver Flashtux pour ECI USB
      Par : etienne courtehoux <etienne point courtehoux chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 18/04/2003

    Pour ceux qui ont encore des problèmes avec le dasub du drivers ECI, j'ai trouvé une petite manip qui marche à tous les coups pour le désinstaller. Pour ma part je suis resté 2 mois sans arriver à enlever ce module, même avec les conseils de flashtux.org

    Voici peut-être une manip qui fera des heureux. Elle se fait en 3 temps après avoir installé le driver avec le modem débranché :

    1. lancer eciconftxt.sh avec le modem toujours débranché et choisir l'option 2. Il vous dit "dasub not loaded"
    2. rebrancher votre modem et refaire la même manip, il vous dit de débrancher le modem.
    3. débrancher votre modem, et refaire la manip. Là il vous dit "dasub not loaded"

    Vous n'avez plus qu'à rebrancher le modem et lancer la commande startmodem dans un terminal.

    Et c'est tout , you are connected :-))))))

     

    Problèmes sur la ligne ADSL
      Par : Thierry <hauterrien chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 05/02/2003

    Après un mois de recherche et de galère pour se connecter via un modem ethernet sur le réseaux des réseaux, après quelque Email au FAI et quelque coups de téléphones. J'ai enfin réussi a avoir un technicien de chez FRANCE TELECOM, celui-ci m'a enfin confirmé la cause de mon impossibilité de me connecter à Internet. Depuis quelque temps je soupçonnais un filtre radio (aucune fréquences de coupure n'est mentionnée) qui faisait interface entre la ligne extérieure de FRANCE TELECOM et le téléphone.

    Ce filtre est dans un petit boitier blanc électrique (tableau FRANCE TELECOM) ; il suffit de débrancher les quatres fils et de les relier entres eux en respectant les couleurs (bien sûr).

    Pour plus d'infos, ce filtre est posé chez les abonnés par FRANCE TELECOM, suite à un problèmes de voies dans le téléphone dû à un émetteur de radio proche. Logique : la ligne de téléphone sert alors d'antenne de réception (Fin du cour de radio).

    Je remercie au passage tous ceux qui m'ont aidé à résoudre mon problème.

     

    Modem ECI ADSL : problème au bloc 259 lors d'un startmodem
      Par : Soucindar HOCHE <pseudopourri chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Ce problème est du à une erreur au niveau de la synchronisation du modem. En effet, la façon dont un modem va synchroniser la connection depend de la region où vous vous situez.

    Le fichier par defaut nommé eci_wan3.bin est celui qui permet au modem de synchroniser la connection ADSL(pour que la diode verte ne clignote plus et que le modem puisse se connecter à Internet).
    Ce fichier .bin est celui par defaut, et il se peut donc qu'il ne fonctionne pas dans votre région. Le but de la manipulation est donc de changer de .bin et d'en utiliser un qui soit adapté à votre connection ADSL.

    Il y a plusieurs possibilités pour résoudre ce problème :

    a)- soit vous utilisez un des .bin mis à votre disposition sur le site FLASHTUX : http://eciadsl.flashtux.org/download.php
    b)- soit vous créez vous même votre propre .bin (Tout vous est expliqué ici : http://eciadsl.flashtux.org/docbin-fr.txt)

    Essayez d'abord la solution a) en testant chacun des .bin avant de créer son propre fichier de synchronisation.
    Vous trouverez sûrement votre bonheur dans les fichiers .bin déjà créés !!! Cependant, si vous ne trouvez aucun .bin qui marche chez vous, essayez la solution b) en créant un .bin et soumettez le aux créateurs du site FLASHTUX.
    Si il marche, ils pourront ainsi le mettre sur le net et cela facilitera la vie d'autres utilisateurs ;)

    Démarche à suivre pour utiliser un autre .bin

    Téléchargez l'archive dans la page suivante qui contient des fichiers de synchronisation (.bin) déjà crées : http://eciadsl.flashtux.org/download.php
    Décompressez tous les fichiers de l'archive dans un repertoire.

    Avec toute version de driver supérieure ou égale à 0.6, changez le nom du .bin dans le fichier eciconftxt.sh.

    Sinon, pour toute version, vous pouvez aussi écraser le fichier /etc/eciadsl/eci_wan3.bin par un autre .bin.
    Si vous voulez tester le fichier synch04.bin par exemple et que ce fichier se trouve dans le chemin "/home/blablabla/", il faudra faire :
    cp /home/blablabla/synch04.bin /etc/eciadsl/eci_wan3.bin

    Maintenant il faut tester tout ça et voir si ca marche :)
    Si vous avez lancé un "startmodem" depuis un terminal, tuez le processus en cours.
    Debranchez, puis rebranchez le modem, on sait jamais. Cela permet de tout réinitialiser.
    Et maintenant, faites "startmodem" depuis un terminal.
    Si vous avez utilisé le fichier correct, il devrait passer sans aucun problèmes le bloc 259, et vous devriez avoir se message à la fin :

    "... Connect Modem OK"

    A partir de là, vous êtes logiquement connecté au Net ;)

    Si ca ne marche pas, réessayez la manipulation précedente en remplaçant le fichier de synchronisation par un autre :)
    Si à un moment ou à un autre vous recevez un message du type "permission denied", lancez "startmodem" en tant que root !

    Pour plus d'info, jetez un coup d'oeil sur le site des créateurs de ce driver trèèèèèès utile :)))
    Il s'agit de http://www.flashtux.org (site en Français en plus ;) Il y a notamment une FAQ ainsi que de la documentation
    très utile !

    Voir l'article à propos de ce modem sur Léa.

    Testé sur :
    MANDRAKE 9.0 + MODEM ECI USB (pack Xtense 500 chez Wanadoo) + CM de chipset VIA
    Version du driver utilisé : Driver version 0.5, 15/05/2002 téléchargé sur www.flashtux.org

     

    Modems internes Olitec PCI HSF (V92, 56Kv2, etc.)
      Par : Jean-Jacques Freulon <jeanjacques point freulon chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Des drivers disponibles sous forme de source viennent de sortir pour ces modems. Il était temps, et ce n'est pas grâce à Olitec, qui continue à fournir sous forme binaire les drivers pour noyaux 2.2.17 !
    Mise à jour : Olitec distribue des pilotes pour Mandrake 8.0 et RedHat 7.1 sur cette page. Par contre, les pilotes pour noyaux 2.2 ont disparu...

    1) Assurez vous que vous avez le modem adéquat en tapant la commande : lspci (en étant root). Vous devez obtenir une ligne du genre :
    00:0f.0 Communication controller: CONEXANT: Unknown device 2f00 (rev 01)
    et en tapant la commande : lspci -n
    00:0f.0 Class 0780: 14f1:2f00 (rev 01)

    Vous devez obligatoirement obtenir 14f1:2f00 (ou un identifiant PCI compatible : voir ci-dessous) pour installer les drivers qui suivent.

    En tapant la commande : more /proc/pci vous devez obtenir un périphérique du type :
      Bus 0, device 15, function 0:
        Communication controller: Conexant HSF 56k HSFi Modem (rev 1).
          IRQ 10.)
          Master Capable. Latency=32.
          Non-prefetchable 32 bit memory at 0xdd020000 [0xdd02ffff].
          I/O at 0xc400 [0xc407].

    Si vous obtenez un type de modem HCF, inutile de continuer, ce qui suit ne marchera pas. Mise à jour 25/3/2002 : des drivers pour les modems HCF viennent de voir le jour : http://www.mbsi.ca/hcflinux/.
    Note de Jicé : j'ai lu sur le site de ce driver que certains modems étaient dits HCF par Linux alors qu'ils sont en réalité HSF. Si vous n'avez pas peur de perdre un peu de temps, vous pouvez toujours tester si ce qui suit fonctionne chez vous !

    Voici une liste d'identifiants PCI de modems qui fonctionnent avec ce driver :
    HSFi (D420)
        PCI ID 14F1:2F00, Subsystem ID 2002:14F1
        PCI ID 14F1:2F00, Subsystem ID 2003:14F1
        PCI ID 14F1:2F00, Subsystem ID 2004:14F1
    HSF (D480)
        PCI ID 14F1:2013
        PCI ID 14F1:2014
        PCI ID 14F1:2015
        PCI ID 14F1:2016
        PCI ID 14F1:4311 (RIPTIDE - sound not supported)
        PCI ID 127A:1025
        PCI ID 127A:2013
        PCI ID 127A:2014
        PCI ID 127A:2015
        PCI ID 127A:2016
        PCI ID 127A:4311 (RIPTIDE - sound not supported)
    Intel SmartMC (ICH)
        PCI ID 8086:2416
    Basic2 / SmartDAA (D840)
        PCI ID 14F1:2043
        PCI ID 14F1:2044
        PCI ID 14F1:2045
        PCI ID 14F1:2046
        PCI ID 14F1:2443
    Athens (Yukon)
        PCI ID 14F1:1631

    2) Récupérer les sources sur le site : http://www.mbsi.ca/hsflinux (pas la peine d'utiliser les rpm, ils ne contiennent que les sources et vous rajoutent des étapes supplementaires).

    POUR TOUT SE QUI SUIT, JE CONSIDERE QUE VOUS AVEZ UN KERNEL EN PHASE AVEC VOTRE ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL ET QUE VOUS POINTEZ CORRECTEMENT DESSUS


    Vous devez trouver les modules dans /lib/modules/KERNEL/misc
    Je vous conseille de taper la commande : depmod -a

    Vous devez trouver un nouveau device qui s'appelle : /dev/ttyHSF0 et un lien /dev/modem pointant dessus :
    crw-rw-rw- 1 root root 240, 64 Jan 16 21:16 ttyHSF0
    lrwxrwxrwx 1 root root 12 Jan 16 21:16 modem -> /dev/ttyHSF0
    crw-rw-rw- 1 root root 241, 64 Jan 16 21:16 cuaHSF0

    le périphérique cuaHSF0 est à conserver, ne le supprimez pas!!!

    Note de Jicé : si vous utilisez devfs (Mandrake 8.1 par exemple), le nom du périphérique peut varier, regardez dans le répertoire /dev/tty/.

    Les fichiers de config se trouvent sous /etc/hsf

    Dans le fichier /etc/modules.conf, plusieurs lignes ont été ajoutées :
    alias /dev/ttyHSF* hsfserial
    alias char-major-240 hsfserial
    alias /dev/ttyCUA* hsfserial
    alias char-major-241 hsfserial
    alias /dev/modem hsfserial
    options hsfserial serialmajor=240 calloutmajor=241


    Bon, maintenant que tout est en place, tapez la commande : modprobe hsfserial
    Sur mon système, j'obtiens :
    Warning: loading /lib/modules/2.4.16NO_SMP/misc/hsfosspec.o will taint the kernel: non-GPL license - license=Copyright (C) 1996-2001 Conexant Systems Inc. All Rights Reserved.
    Warning: loading /lib/modules/2.4.16NO_SMP/misc/hsfengine.o will taint the kernel: non-GPL license - license=Copyright (C) 1996-2001 Conexant Systems Inc. All Rights Reserved.


    Là on s'aperçoit que deux modules ne sont GPL !!!
    Note de Jicé : bien que les sources soient disponibles, la license n'est pas libre stricto sensu. Cependant, ce package permet de faire fonctionner votre modem, et les sources sont quand même disponibles, ce qui permettra la montée de version pour les futures version du noyau. Alors...

    En tapant la commande : lsmod
    hsfbasic2      92352   2  (autoclean)
    
    hsfserial 16744 0 (unused)
    hsfengine 907844 0 [hsfserial]
    hsfosspec 12408 0 [hsfbasic2 hsfengine]

    Vous venez de charger les modules hsfbasic2, hsfserial, hsfengine et hsfosspec
    Tapez la commande : tail /var/log/messages
    Jan 16 21:27:20 jjf kernel: PCI: Found IRQ 10 for device 00:0f.0


    J'obtiens la confirmation que les modules sont en phase avec le modem (IRQ10 device 00:0f.0)
    Vous pouvez (normalement) désormais lancer une connection vers internet et surfer.

    ATTENTION POUR LES POSSESSEURS DE CONFIGURATION MULTIPROCESSEUR : la version actuelle ne la supporte pas (j'ai du compiler un kernel sans SMP - 2.4.16NO_SMP)

     

    Alcatel Speedtouch USB facile (MDK8.1)
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Je viens d'installer le modem Alcatel Speedtouch USB sur ma Mandrake 8.1 en pas plus d'un quart d'heure (cela peut fonctionner avec d'autres distributions, merci de me tenir au courant).

    Remarque : la méthode proposée ci-dessous est une méthode alternative à la façon normale de procéder avec la Mandrake 8.1, avec laquelle vous pouvez installer ce modem depuis le centre de contrôle DrakConf (voir l'introduction de l'article sur le speedtouch ADSL).
    1. Récupérez le driver Alcatel speedmgmt.tar.gz, décompressez-le, puis copiez le fichier mgmt.o (ou mgmt ou alcaudsl.sys, si vous avez configuré votre modem adsl sous windows ce fichier se trouve dans c:\windows\system\alcaudsl.sys) vers (par exemple) /usr/local/share/speedtouch/mgmt.o (ce fichier contient le microcode du modem, c'est à dire le programme du microprocesseur interne du modem). On, trouve l'archive sur le site d'Alcatel.
    2. Récupérez la dernière version du driver de Benoît Papillaut ici.
    3. décompressez-le, puis ./configure && make, et enfin su puis make install
    4. Configurez la connexion en lancant le script speedtouch-20011007/doc-linux/adsl-conf-pppd. Répondez aux questions : login, password, vpi et vci (j'utilise 8.35) et enfin 'Y' aux autres questions (lisez-les quand même !)
    5. enfin copier speedtouch.conf (qui est dans doc-linux) dans /etc/ , apres l'avoir modifier pour qu'il charge 'n_hdlc' mais pas le support usb (qui est déja chargé sur une mandrake), mettez =0 partout sauf pour LOAD_NHDLC=1

    C'est fini ! Pour lancer la connexion, il ne reste plus qu'à :
    1. Charger le microcode dans le modem par la commande :
      /usr/local/bin/modem_run -f /usr/local/share/speedtouch/mgmt.o -m
    2. démarrer la connexion par "pppd call adsl"
    ou alors : /etc/init.d/speedtouch start

    Remarques :
    PS : si vous avez des problèmes pour installer ce modem, lisez l'article sur l'Alcatel Speedtouch USB.

    Bon surf ! Une autre manière de procéder, si celle-ci ne fonctionne pas.

     

    Olitec 56kv2 sous MDK 8.0 et 8.1
      Par : jld <j d181 chez lsurf fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Un canadien vient de développer un "patch" pour les drivers officiels Olitec. Le "patch" est récupérable sur son site www.mbsi.ca/hsfcompat/ le fichier hsfcompat_24 comporte un makefile devant être adapté à votre distribution (tout est dit dans le readme).

    janvier 2002 : cette astuce est rendue obsolète par la mise à disposition de nouveaux drivers sous forme de sources. Voir cette astuce.

    Après un mois d'utilisation de mon modem Olitec sous Mdk 8.0 je viens d'installer la Mandrake 8.1.

    Récuperer :Décompresser les fichiers dans /lib/modules.
    Interroger la console avec la commande lspci -n afin de vérifier la compatibilité modem.
    Sur les deux machines où j'ai intallé le driver, la réponse correspondant au modem est "Class ffff: 127a:2014".
    Editer la makefile de hsf_compat et modifier les lignes 28 et 38 en remplaçant Class 0780 par Class ffff. Ligne 43 , indiquer le chemin du driver Olitec, présentement /lib/modules/PCI_56K_V2.2.17/.
    Enregistrer la modif et fermer l'éditeur.
    Chez moi emacs trouve une suspicion ligne 183 mais j'enregistre malgré tout.
    Dans une console se placer dans hsfcompat_24-1.0d.
    Lancer la commande make suivie de la commande make install sans tenir compte des remarques.
    Supprimez le lien /dev/modem

    (ensuite je me suis arraché les cheveux quelques heures).
    Avec MDK 8.0 créez un lien vers hsf0 par la commande ln -s /dev/hsf0 /dev/modem
    Avec MDK 8.1 (qui utilise devfs), le modem est accessible aussi sur /dev/ttyS0... qui est un lien vers /dev/tts/0
    Si non créer un pointeur vers /dev/tts/0 par la commande ln -s /dev/tts/0 /dev/modem (/dev/hsf0 n'apparaît pas sous MDK 8.1).

    Vous pouvez lancer hsf au démarrage avec ntsysv. Toutefois si l'ordi se bloque après quelques secondes, abstenez-vous de lancer hsf au démarrage : à la console, en tant que root, lancer service hsf start avant d'utiliser internet.

    J'ai installé ppp2.4.1, le controle de flux est sur CRTSCTS, terminaison de ligne CR, vitesse de connection 230400.
    Bon surf !

     

    Modem Kortex PCI 56000 ki marche :-)
      Par : Mitrendir <Mitrendir chez aol point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Je vous explique comment j'ai réussi à installer mon modem 56000 PCI de Kortex sous une RedHat 7.1 (ca doit marcher sur d'autres distributions sans problèmes).

    Tout d'abord : chargez les drivers generiques PcTel sur :
    http://www.medres.ch/~jstifter/linux/pctel.html
    (prendre la dernière version)

    Prenez aussi le README et la FAQ.
    tar xvfz pctel-2.4.tar.gz
    cd pctel-2.4
    make
    make install


    Les drivers se chargent par insmod pctel, puis insmod ptserial country_code=2 (pour la France)
    pour automatiser le tout avec module.conf : lire la FAQ.

    Il faut ensuite créer les périphériques :

    mknod /dev/ttyS15 c 62 79
    chgrp uucp /dev/ttyS15
    chmod 666 /dev/ttyS15
    ln -s /dev/ttyS15 /dev/modem


    Et ca marche (tout du moins chez moi ;-).
    Avec mon winmodem et pengaol, ca commence à être le bonheur :-).

    Voir aussi le PCTel mini-HOWTO.

     

    Alcatel SpeedTouch USB
      Par : Léa <lea chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 07/02/2003

    Installer et configurer un modem ADSL SpeedTouch USB
    (toute distribution, surtout celles qui ont un outil spécifique qui ne marche pas...)

    Rappel : pour devenir <root>, se logguer en tant qu'utilisateur normal (fred par exemple), puis lancer un terminal (konsole par exemple), puis à l'invite [fred@localhost fred] taper : su

    Bien que non recommandé pour des raison de sécurité, il est plus simple de faire toute la procédure d'installation en tant que root.

    D'abord, il faut vous procurer le "firmware" du modem. Le firmware est le logiciel qui tourne à l'intérieur de votre modem. Vous avez plusieurs possibilités :

    Voilà, nous sommes fin prêts à installer le driver pour Linux.

    Ensuite il nous faut télécharger les drivers sur le site : http://speedtouch.sourceforge.net/index.php?/index.fr.html. La version que j'utilise est la 1.1, mais le principe de fonctionnement est le même si vous avez une version 1.2 (dernière en date...)
    Je supposerai que votre archive (tarball) s'appelle : speedtouch-1.2-beta1.tar.bz2 (ou speedtouch-1.2-beta1.tar.gz). Vous devez avoir installé, avant les paquets make, gcc et autoconf (au moins !) avant de commencer.

    Allons-y, c'est parti :

    root@localhost # tar xjvf speedtouch-1.2-beta1.tar.bz2
    ou alors tapez : tar xzvf speedtouch-1.2-beta1.tar.gz, vous devez, dans les deux cas obtenir :
    speedtouch-1.2-beta1/
    speedtouch-1.2-beta1/AUTHORS
    speedtouch-1.2-beta1/COPYING
    [.../...]

    root@localhost # cd speedtouch-1.2-beta1
    root@localhost # ./configure --sysconfdir=/etc/ --prefix=/usr/local
    root@localhost # make && make install

    À ce stade, le driver est installé, mais pas configuré. Pour le configurer, vous devez créer/modifier 5 fichiers : /etc/ppp/options, /etc/ppp/chap-secrets, /etc/ppp/pap-secrets, /etc/ppp/peers/adsl et /etc/resolv.conf.

    D'abord le fichier /etc/ppp/options (vous pouvez copier/coller ce qui suit dedans) :

    lock
    noauth
    noipdefault
    usepeerdns

    Cette étape est sûrement faculative, mais mieux vaut prévenir que guérir...

    Ensuite, le fichier /etc/ppp/peers/adsl (vous pouvez copier/coller ce qui suit dedans) :

    # remplacez fti/identifiant@fti par votre identifiant de connection,
    # tel que fourni par votre provider
    user "fti/identifiant@fti"
    # modifier les vpi et vci suivant votre provider
    # ceux-la devraient convenir en france
    # si ça ne marche pas, demandez sur un forum les valeurs
    # qui conviennent pour votre pays/provider
    pty "/usr/local/sbin/pppoa3 -c -m 1 -vpi 8 -vci 35"
    sync
    noauth
    noipdefault
    noaccomp
    nopcomp
    noccp
    novj
    persist
    holdoff 4
    maxfail 25
    usepeerdns
    defaultroute

    Ensuite les fichiers /etc/ppp/chap-secrets et /etc/pap-secrets (qui sont identiques, et contiennent une seule ligne utile ; les lignes commençant par '#' étant des commentaires) :

    "fti/identifiant@fti" "*" "motdepasse" "*"

    Où vous remplacez fti/identifiant@fti par votre identifiant de connection et motdepasse par votre mot de passe (tel que fournis par votre fournisseur d'accès). Prenez soin de respecter la présence des guillemets : ".

    À ce stade cela doit marcher dans la plupart des cas. Pour tester, il suffit de faire (toujours dans un terminal en tant que root) :

    root@localhost # modprobe n_hdlc
    Cela ne doit rien renvoyer.
    root@localhost # /usr/local/sbin/modem_run -f /usr/share/speedtouch/mgmt.o
    Cela ne doit rien renvoyer, ou alors un ou deux "TIMEOUT" (messages qui ne compromettent pas le bon fonctionnement). Cela met un certain temps.
    root@localhost # pppd call adsl

    Là vous êtes, sauf mega-loose, connecté. Pour le vérifier tapez : root@localhost # /sbin/ifconfig ppp0 qui doit retourner quelque chose ressemblant à :

    ppp0 Lien encap:Protocole Point-à-Point
       inet adr:81.48.215.226 P-t-P:81.48.215.1 Masque:255.255.255.255
       UP POINTOPOINT RUNNING NOARP MULTICAST MTU:1500 Metric:1
       RX packets:24880 errors:0 dropped:0 overruns:0 frame:0
       TX packets:24964 errors:0 dropped:0 overruns:0 carrier:0
       collisions:0 lg file transmission:3
       RX bytes:11315872 (10.7 Mb) TX bytes:2635953 (2.5 Mb)

    Si c'est le cas, vous êtes connecté ! Même si vous n'arrivez pas (encore) à joindre un site web !

    Dans ce dernier cas, c'est que votre provider est "méchant" et ne fournit pas les DNS à la connection (de plus en plus rare). Il faut alors enlever du fichier /etc/ppp/peers/adsl la ligne "usepeerdns" et éditer à la main le fichier /etc/resolv.conf pour qu'il resemble à :

    search nomdedomainedemonprovider.com
    nameserver xxx.xxx.xxx.xxx
    nameserver yyy.yyy.yyy.yyy

    Où vous devez remplacer xxx.xxx.xxx.xxx et yyy.yyy.yyy.yyy par les IP des DNS de votre fournisseur d'accès (ils doivent vous être fournis avec vos paramètres de connection, sinon demandez-les à votre fournisseur d'accès ou sur un forum). Cette modification ne nécessite pas de rebooter, ni de relancer la connection.

    Dernière étape, faire en sorte que cette connection s'établisse au démarrage (l'option 'persist' dans /etc/ppp/peers/adsl nous assure que la connection sera maintenue en cas de déconnection). Il suffit de mettre dans /etc/rc.d/rc.local (ou bien dans le script qui démarre votre ordinateur) les lignes (ajoutez les en fin de script) :

    modprobe n_hdlc
    /usr/local/sbin/modem_run -f /usr/share/speedtouch/mgmt.o
    pppd call adsl

    Il peut être nécessaire de remplacer "pppd call adsl" par "/usr/sbin/pppd call adsl" ou par "/sbin/pppd call adsl". Voilà c'est fini !

    Vous pouvez également copier les 3 lignes précédentes dans un fichier "/usr/bin/start_modem", commençant par la ligne :
    #!/bin/sh
    et le rendre exécutable par la commande :

    root@localhost # chmod +x /usr/bin/start_modem
    Afin de lancer la connexion à la main par :
    root@localhost # /usr/bin/start_modem

    J'espere que vous avez trouvé cette documentation utile et claire. Si ce n'est pas le cas, je suis ouvert à vos remarques et critiques

     

    Installation du modem Alcatel Speedtouch USB (MDK 8.0 et autres distributions...)
      Par : philou_a7 <sarazinp chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Voila plusieurs howtos que je croise concernant l'installation de ce modem, et tous demandent une recompilation de noyau, l'installation des drivers Alcatel, etc...

    Il est bon de savoir que pour une distribution Mandrake 8.0, il n'y a quasiment rien a faire ! Un driver opensource est disponible avec toute la procedure d'installation sur cette page.

    Ecrit par Benoit Papillault, son installation sur la MDK 8.0 est directe, car cette dernière inclut deja le patch du noyau, le module compilé et le pppoa.

    Il suffit donc de compiler et d'installer son application, et la connexion se fait directement dès le boot. De plus, d'experience, ce driver est BEAUCOUP plus stable que celui d'Alcatel, qui avait un peu tendance à freezer mon PC.....

    NB : Ce driver est aussi utilisable avec toute autre distribution, mais dans ce cas, les patches noyau et ppp sont necessaires.

     

    Modem 3Com PCI 56K Fax
      Par : Flipper <flipper chez globetrotter point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour ceux qui auront la chance de trouver un modem interne PCI US-Robotics ou 3Com (pas le winmodem) 56k, il faut savoir que ce modem est configuré pour le port COM5 (i.e. 5ème port série) sous Win.

    Pour le faire fonctionner sous Linux, voici une petite astuce:

    faire un cat /proc/pci pour obtenir la valeur IRQ et celle du port.

    Ensuite effacez /dev/modem avec rm -f /dev/modem

    Faites un lien avec ln -s /dev/ttyS4 /dev/modem

    Enfin, mettez dans votre /etc/rc.local (sur une seule ligne)

    setserial /dev/ttyS4 irq <votre valeur> port <votre valeur> autoconfig

    En faisant un test avec minicom, tout devrait marcher.

    Si vous utilisez Kppp, vérifiez que vous utilisez bien /dev/modem.

    Voilà :)

     

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    Matériel>wifi

    D-link DWL 520+ et DWL 650+
      Par : Loïc <loic_kij chez yahoo point com>
      Dernière mise à jour : 26/06/2003

    Il y a du nouveau, pour cette carte (PCI) et son amie la DWL650+ (pcmcia). Ce sont donc des cartes wifi 802.11b.

    On peut trouver des drivers ici (ces drivers ne sont pas 'reconnus' officiellement par DLink, de plus ils ne sont pas fournis avec leurs sources) : http://www.ivor.it/wireless/acx.html.

    Ils ont été testés sous : Mandrake 9.1, Mandrake 9.0, RedHat 9.0, RedHat 8.0, Debian 2.4.18, Mandrake 8.1, Suse 8.1, Suse 8.2, Gentoo 1.4.

    Pour ma part j'ai fait l'installation sur une mandrake 9.1 et ça marche très bien.... Il y a juste deux trois feintes :

    en particulier il faut faire 2 fois l affectation de l essid pour que ça marche à tous les coups...

    pour que la carte marche et démarre automatiquement sous la Mandrake, faire l'install telle que spécifié sur le site (ça impique d avoir le compilateur installé, les wireless-tools etc...)

    puis j ai modifié dans /etc/sysconfig/network-scripts les fichiers suivants :

    ifup-wireless à la fin du fichier un copier coller :

    if [ -n "" ] ; then
        iwconfig essid ""
    else
        # use any essid
        iwconfig essid any
    fi
    sleep 5
    if [ -n "" ] ; then
        iwconfig essid ""
    else
        # use any essid
        iwconfig essid any
    fi

    (un vilain copier/coller pour qu'il fasse deux fois l'affectation du ESSID.)

    et ifcfg-eth1 :

    DEVICE=eth1
    TYPE=wireless
    ONBOOT=yes
    CHANNEL=10
    ESSID=monESSID
    BOOTPROTO=dhcp

    bon là je suis en dhcp. Voilà ! Ca démarre tout proprement...

     

    Le NetGear 824M et sa carte PCMCIA Wireless
      Par : Mimile <emile point c chez voila point fr>
      Dernière mise à jour : 31/03/2003

    A l'intention des heureux adhérents FNAC qui ont su profiter de l'offre du mois de Mars 2003 (et des autres ;), j'ai écrit ce petit HowTO qui comblera je l'espère les lecteurs de lea-linux.org.

    Prérequis d'usage :
    RedHat 7.3 rpm : wireless-tools-23-2

    À noter que la base (DG824M) a une adresse IP du type 192.168.0.1 par définition ...

    Télécharger le fichier :
    # wget ftp://ftp.linux-wlan.org/pub/linux-wlan-ng/linux-wlan-ng-0.2.0.tar.gz

    Installez-le :
    # cd linux-wlan-ng-0.2.0 ; make config && make all && make install

    Ajouter dans /etc/pcmcia/config :

    card "NETGEAR MA401RA Wireless PC"
    manfid 0x000f, 0x7300
    bind "prism2_cs"

    Redémarrage du service pcmcia :
    # /etc/rc.d/init.d/pcmcia restart

    Adapter le fichier /etc/wlan/wlan.conf :

    # WLAN_SCAN=y
    # SSID_wlan0="Maison"
    # ENABLE_wlan0=y
    # -------------------
    # cp -p /etc/wlan/wlancfg-DEFAULT /etc/wlan/wlancfg-Maison

    Configurer le point d'accès :
    # netscape http://192.168.0.1, adapter le "Wireless setup" afin que l'on ait bien SSID = "Maison" puis Apply en bas !

    On peut ENFIN insèrer la carte MA401 dans le slot PCMCIA

    Le script de démarrage de l'interface wifi :

    #!/bin/csh -fx

    ###################################################
    #
    # NETGEAR DG824M et PCMCIA MA401RA Wireless - HowTO
    #
    # E.CARCAMO - le 30 Mars 2003
    ###################################################
    #

    # Avant ... on passait par le cble réseau :-(
    #
    # Routage par RJ45 sur NetGear : Le laptop est en config DHCP
    # ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    # Kernel IP routing table
    # Destination Gateway Genmask Flags MSS Window irtt Iface
    # 192.168.0.0 0.0.0.0 255.255.255.0 U 40 0 0 eth0
    # 127.0.0.0 0.0.0.0 255.0.0.0 U 40 0 0 lo
    # 0.0.0.0 192.168.0.1 0.0.0.0 UG 40 0 0 eth0
    #
    ifconfig eth0 down

    # Après ... on a une liaison sans fil ;-)
    #
    # Routage par MA401 vers le NetGear
    # ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    # Kernel IP routing table
    # Destination Gateway Genmask Flags MSS Window irtt Iface
    # 192.168.0.0 0.0.0.0 255.255.255.0 U 40 0 0 wlan0
    # 127.0.0.0 0.0.0.0 255.0.0.0 U 40 0 0 lo
    # 0.0.0.0 192.168.0.1 0.0.0.0 UG 40 0 0 wlan0
    #
    ifconfig wlan0 192.168.0.13 netmask 255.255.255.0 broadcast 192.168.0.255 multicast -trailers
    route add -net 0.0.0.0 gw 192.168.0.1 metric 1 dev wlan0

    # On change la config de DNS/sendmail, et on désactive certains services.
    #
    cp -p resolv.conf-netgear resolv.conf
    cat /etc/mail/sendmail.cf | \
    sed -e "s/^DS (.*)/#DS /" \
    -e "s/#DS smtp.wanadoo.fr/DS smtp.wanadoo.fr/" > /etc/mail/sendmail.cf_
    mv /etc/mail/sendmail.cf_ /etc/mail/sendmail.cf

    /etc/rc.d/init.d/named reload >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/sendmail restart >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/cups stop >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/nfs stop >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/sshd stop >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/smb stop >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/lpd stop >& /dev/null
    /etc/rc.d/init.d/nfslock stop >& /dev/null

     

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    Noyau

    Comment jouer avec les paramètres du noyau et des modules, les personnaliser pour ses besoins.
    Récupérer le fichier .config
      Par : anne <anne at lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Les paramètres de compilation sont récupérés dans le fichier /usr/src/linux/.config.
    Le problème se pose si vous effacez ce fichier par erreur ou bien lorsque vous compilez le noyau pour la première fois pour une Redhat par exemple. Tous les paramètres détectés à l'installation ne sont pas sauvegardés.

    Pour éviter de refaire toute la config, une commande bien utile :
    # /usr/src/linux/make oldconfig

    NDM (Jice) : il est toujours bon de conserver une copie du fichier .config histoire de pouvoir le réutiliser pour compiler un autre noyau par exemple. Copiez-le donc dans votre répertoire-maison sous le nom (par exemple) kernel-config-2.4.18. Lorsque vous voudrez le réutiliser, par exemple pour compiler un 2.4.19, vous n'aurez qu'à le recopier (sous le nom .config !) dans /usr/src/linux-2.4.19...

     

    Alléger son noyau en utilisant les modules
      Par : Fred <frederic point bonnaud chez la poste point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Cette manipulation demande à ce que vous connaissiez bien votre matériel (carte réseau, son, disque dur, carte SCSI, etc.), le but de cette manoeuvre étant de passer les principaux drivers en modules pour alléger votre noyau (le kernel) et aussi le rendre plus rapide. Malheureusement vous ne pouvez pas TOUT passer en module, autrement vous ne pourrez même pas booter votre Linux...

    Tout d'abord nous allons "optimiser" la compilation du kernel et des modules. Cela va dépendre de la mémoire que vous avez sur votre machine. Regardons ce petit tableau :
    - 16 Mo : 3
    - 24 Mo : 4
    - 32 Mo : 5
    - 40 Mo : 6
    - 48 Mo : 7
    - 56 Mo : 8
    - 64 Mo : 9
    - 80 Mo : 11
    - 96 Mo : 13
    - 112 Mo: 15
    - 118 Mo: 17

    Nous allons permettre la compilation en parallèle de plusieurs modules à la fois. N'augmentez pas le chiffre de plus de ce qui est dans ce tableau, sinon vous ralentirez la compilation au lieu de l'optimiser. Pour ce faire, aller dans le répertoire /usr/src/linux, éditez le fichier Makefile, cherchez la ligne " MAKE=make"et faites ce changement :

    MAKE=make -j N

    avec N le nombre du tableau qui correspond à votre config mémoire.
    Si vous avez plus de 118Mo, le calcul est simple, vous trouvez N= (mémoire/8) +1.

    Attention, cette manip est pour une compilation sous la console (pas sous X !) et va vous bouffer 100% des ressources pour la compilation (ce qui n'est pas grave si vous ne désirez rien faire d'autre en même temps) ! De même si votre systême swappe comme un fou, stoppez la compilation par Ctrl-C et baissez le nombre N ! De même si votre processeur est overclocké ça risque de planter !

    Bon maintenant passons à ce qui peut être compilé en modules. Déjà tout ce qui permet d'accéder au /(racine) ne doit pas être compilé en module sous peine de ne plus pouvoir booter le systême, c'est à dire que si votre racine est sur un disque IDE, il ne faut pas mettre le support IDE en module, et de même si il est sur un disque SCSI, le SCSI ne dois pas être passé en module. Pour la même raison, le systême de fichiers "ext2fs" (ou ext3fs, etc.) ne doit pas être non plus compilé en module. Si votre partition racine est montée par le réseau et NFS (cas des stations diskless par exemple), ne mettez pas le support de la carte réseau et le support NFS en modules.

    En effet, les modules sont chargés APRES le noyau, et si les modules IDE sont sur un disque IDE, il faut d'abord les charger avant de pouvoir accéder au disque, mais pour les charger, il faut avoir accès au disque et donc les avoir chargés avant... vous voyez le cercle vicieux ?

    Tout le reste peut être compilé en modules, c'est à dire carte son, carte réseau (sauf si la racine est en NFS, voir ci-desus), port parall&èle, ppp support, slip support, CD-ROM, etc. Si vous avez du matériel PnP et que vous voulez utiliser le support PnP, passez également tous les drivers pour ces cartes en modules et configurez votre PNP (voir rubrique PnP).

    Je vous conseille aussi pour plus de facilité d'inclure le chargement auto des modules par le kernel (kerneld Y), le support des modules bien sûr.

    Pour plus de détails sur la compilation du noyau, voyez la rubrique compilation du noyau.

    <

    Après la compilation et l'installation, éditez le fichier /etc/conf.modules et passez les options et alias de vos modules (voir aussi dans la rubrique PnP, cela y est expliqué).

     

    Noyau 2.4.x et Supermount
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Les noyaux d'origine 2.4.0-final et 2.4.1 n'intègrent pas automount qui permet au démon autofs ou autofs4 (pour la dernière version) de monter simplement et rapidement à la demande des systèmes de fichiers amovibles (cdrom : iso9660, disquette : vfat).
    Je n'ai pas vu à ce jour de noyau 2.4.x patché chez Mandrake ou ailleurs ce qui est le cas pour les noyaux 2.2.xx-mdk.

    POUR LE NOYAU 2.4.0 FINAL il existe un patch supermount : on peut le trouver à (entre autres) : http://www.geocities.com/SiliconValley/Lab/8144/supermount.html

    POUR LE NOYAU 2.4.18 : on peut trouver le patch sur le site de Mandrake.

    On récupère (c'est minuscule) on décompresse et on patche (voir rubrique noyau sur Lea)
    La sélection de supermount dans le noyau nécessite la sélection de NFS (c'est ce qui est écrit dans l'aide en ligne : rubrique Filesystem de xconfig). Il y a deux versions de supermount : si on utilise la nouvelle en modules et que le démon autofs ne la reconnaît pas, il faut faire un alias autofs autofs4 dans /etc/modules.conf (C'est dans la doc).

    Il faut qu'il y ait un répertoire /.automount à la racine du système de fichiers et un démon autofs actif ainsi qu'un /etc/fstab qui contienne les options supermount pour /mnt/cdrom et /mnt/floppy (et vos autres périphériques amovibles, zip, etc.).
    Attention la syntaxe n'est pas la même que pour le montage classique, par exemple pour un lecteur de CD :
    /mnt/cdrom /mnt/cdrom supermount fs=iso9660,dev=/dev/cdrom 0 0
    (voir aussi man supermount et info supermount)

    SURTOUT n'oubliez pas de relancer lilo (ou grub ou autre chargeur de boot) après compilation et installation du noyau (sans ça kernel panic :o( ).

    Si un noyau qui ne prenait pas en charge supermount a été lancé, /etc/fstab a été modifié au premier démarrage du système en ce qui concerne le montage du lecteur de CD-ROM et du lecteur de disquettes : il faut donc y réintégrer supermount (je vous conseille de le sauvegarder pas loin si vous voulez éviter de le retaper souvent ainsi que le fichier /usr/src/linux/.config du noyau et /etc/lilo.conf, ça gagne du temps). Ne pas oublier de conserver dans lilo ou grub un démarrage possible sur l'ancien noyau en cas de problème : (cf rubrique noyau de Lea).

    POUR LE NOYAU 2.4.1 le patch n'est pas encore sorti : il faudra attendre (c'est donc ce que je fais...) mais dès qu'il sortira ce sera la même chose sans doute.

    On récapitule : ( après récupération des sources kernel-2.4.0 et supermount-0.5.3-2.4.0.diff.zip) en root :

    1. Décompresser le noyau dans /usr/src (pour une archive compressée xxxx.tar.bz2 avec l'option -I (i) de tar à la place de -z qui est pour une archive compressée xxxx.tar.gz)
    2. Décompresser le patch dans /usr/src.
    3. Renommer le noyau (qui a pris le nom linux) en linux-2.4.0 (par exemple) :
      # mv linux linux-2.4.0
    4. Créer le lien symbolique 'linux' vers 'linux-2.4.0' :
      # ln -s linux-2.4.0 linux
    5. Patcher le noyau :
      # cd linux
      # patch -p1 < /usr/src/ supermount-0.5.3-2.4.0.diff
    6. Si un noyau de même numérotation avait déjà eté installé, renommer /lib/modulesxxxx et nettoyer les sources dans /usr/src/linux avant (les fichiers de /boot seront, eux, renommés automatiquement avec le suffixe .old lors de l'installation ce qui permet entre autre de booter en cas de problème en ajoutant une entrée qui pointe vers eux dans /etc/lilo.conf) :
      # cd /lib
      # mv modules-2.4.0 modules-2.4.0.old
      # cd /usr/src/linux
      # make mrproper
    7. Configurer le noyau :
      # make xconfig (sous X)
      ou bien
      # make menuconfig (en console)
      ou alors
      # make config (à l'ancienne !)
    8. On peut repasser en niveau trois pour compiler plus vite selon sa machine : (voir dans le LeaBook)
      # init 3
    9. Compiler et installer noyau et modules :
      # make dep && make clean && make bzImage && make install && make modules && make modules_install
    10. Faire prendre en charge le nouveau noyau par lilo (ou par grub ou autre.) :
      # lilo
    11. Éventuellement ajouter une entrée vers l'ancien noyau qui fonctionne attendez avant de le jeter surtout!) et refaire une disquette de boot pour le nouveau noyau.
    12. Vérifier /etc/fstab et l'installation de autofs :
      # emacs /etc/fstab (si on utilise emacs)
      [(faire les modifications nécessaires (par exemple)]
      /mnt/cdrom /mnt/cdrom supermount fs=iso9660,dev=/dev/cdrom 0 0
      /mnt/floppy /mnt/floppy supermount fs=vfat,dev=/dev/fd0 0 0
      C-x C-s (sauve le fichier) C-x C-c (ferme emacs) *
    13. Si les choix de configuration le rendent nécessaire (voir la doc et l'aide en ligne), ajouter un alias dans /etc/modules.conf :
      # emacs /etc/modules.conf
      alias autofs autofs4
      C-x C-s C-x C-c

      Remarque : Si vous faites ça APRÈS avoir redemarré (oubli par exemple) faire un 'depmod -a' sous root en mode console (init 3) pour la prise en compte des modifications.
    14. Redémarrer :
      # reboot
      ou bien
      # init 6
    15. Par précaution démarrer en niveau 3 :
      # linux 3
    16. Si tout va bien passer sous X (connecté sous root)
      root
      **********
      # init 5

      * C-x = touche Ctrl ET touche x en même temps etc...

    Voilà ce que j'ai trouvé mais pas essayé parce que je suis sous 2.4.1 qui va bien, même très bien et que j'y reste. Mais je ne pense pas qu'il y ait d'erreur à part problème de patch.



    Si quelqu'un veut passer à 2.4.0 merci de me dire si le patch supermount fonctionne.

    Remarque : Cette astuce fonctionne avec MDK 7.1 et 7.2 qui sont paramétrées avec supermount à l'origine). Dans le cas contraire (c'est à dire pour des distributions comme Suse ou d'autres) ajouter l'installation et la configuration du démon 'autofs'

    (astuce transmise par André Salaün)

     

    Utiliser vos disques Ultra-ATA
      Par : Fred <frederic point bonnaud chez la poste point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour utiliser le mode Ultra-ATA(66 ou 100 si votre carte est supportées par le kernel) il faut :

    1. recompiler votre kernel avec le support de votre carte Ultra-ATA, cela se trouve dans ATA/IDE/MFM/RLL support, puis ATA, IDE and ATAPI block devices, enfin il faut sélectionner Include IDE/ATA-2 disk support, et le support du chipset de votre carte (moi j'ai une carte mere freetech avec un chipset VIA KT133 j'ai donc inclu le support VIA82cxxx chipset support.
    2. vous ajoutez une ligne : append="ide0=ata66 ide1=ata66" (ou ata100 si votre disque/chipset le supporte) dans /etc/lilo.conf pour le nouveau noyau que vous venez de compiler. Puis vous rebootez votre systeme (garder votre ancien noyau actif, au cas ou).

    Après le reboot, vous pouvez vérifier que votre système utilise bien l'Ultra-ATA66 en faisant :
    dmesg | grep -i -e dma

    Moi j'obtiens :

    VP_IDE: VIA vt82c686a IDE UDMA66 controller on pci0:20.1
    ide0: BM-DMA at 0xd400-0xd407, BIOS settings: hda:DMA, hdb:pio
    ide1: BM-DMA at 0xd408-0xd40f, BIOS settings: hdc:DMA, hdd:DMA
    hda: 39102336 sectors (20020 MB) w/2048KiB Cache, CHS=2434/255/63, UDMA(66)
    hdc: 8467200 sectors (4335 MB) w/96KiB Cache, CHS=8400/16/63, DMA
    hdd: ATAPI 32X CD-ROM drive, 256kB Cache, UDMA(33)

    j'ai donc un disque Ultra-ATA66 et un disque standard.

     

    Patcher le noyau
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour patcher le noyau, vous avez deux solutions.
    Soit en utilisant la commande patch, soit le script /usr/src/linux/scripts/patch-kernel.
    (Voir la fin de l'astuce "Mise à jour du noyau")

     

    Mise à jour du noyau : conserver la config de votre distrib
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Méthode très simple pour mettre à jour votre noyau avec par exemple un noyau de tests ou une version plus récente, en conservant la configuration du noyau de votre distribution (Mandrake dans cet exemple) :
    Il suffit de recopier l'ancien fichier .config dans les nouvelles sources, et de recompiler.

    Détail de la "méthode" :
    (ici, on passe du noyau 2.2.17-mdk au 2.4.0-test11, voir la remarque 2 ci-dessous pour les "petites" montées de version)

    # cd /usr/src
    # rm linux
    # tar xvzf /le_chemin/linux-2.4.0-test11.tar.gz
    # mv linux linux-2.4.0-test11
    # ln -s linux-2.4.0-test11 linux
    # cp linux-2.2.17-mdk/.config linux-2.4.0-test11

    Bien sûr, il faut auparavant avoir installé les sources du noyau 2.2.17-mdk et récupéré le tar.gz ou tar.bz2 su nouveau noyau.

    Il suffit ensuite de faire :
    # cd linux
    # make dep
    # make bzImage
    # make modules
    # make install
    # make modules_install

    et la config mdk sera conservée tout en upgradant le noyau.

    Remarque : vous pouvez vérifier/modifier la configuration du noyau en tapant make xconfig avant le make dep ci-dessus.

    Merci à Manuel Flury

    Remarque 2 : Si la montée de version n'est pas très grande (ex : 2.2.16 -> 2.2.18), plutôt que de télécharger toutes les sources du nouveau kernel (au moins 12 Mo quand même), vous pouvez récupérer simplement les patches qui séparent la version de votre kernel actuel de la nouvelle version (p.ex. 2,4 Mo pour passer du noyau 2.2.17 au 2.2.18, 2,4Mo+736Ko pour passer du 2.2.16 au 2.2.18, etc.), puis les appliquer un par un. Ensuite, il ne vous reste plus qu'à le recompiler !
    Le patch pour passer de la version 2.x.y à la version 2.x.y+1 a pour nom patch-2.x.y+1.bz2. Ainsi, pour passer de la 2.2.16 à la 2.2.18, téléchargez patch-2.2.17.bz2 et patch-2.2.18.bz2, appliquez les dans cet ordre sur les sources du 2.2.16 (ce qui vous donne les sources du 2.2.18 en fait), entrez dans les sources (cd linux), puis recompilez-les comme ci-dessus (make dep, etc.).

    Afin de patcher le noyau :

    New : Yves Perrey m'a transmis cette astuce pour patcher facilement le noyau :
    Pour patcher un kernel, il suffit de stocker les divers patches du noyau dans un répertoire (/usr/src/linux peut faire l'affaire) et de taper la commande depuis le répertoire ou sont les patches :
    # /usr/src/linux/scripts/patch-kernel
    ça se débrouille avec les diverses versions des patches - dans le cas de patches multiples pour upgrader de plus d'une version - et les diverses compressions utilisées pour lesdits patches - pas besoin de décompresser avant d'appliquer le script, que les patches soit au format gzip ou bzip2 (voire plain text, i.e. non compressés).

    C'est valable pour les distributions noyau prises chez kernel.org et mirroirs. Pour les distros type RedHat, il y a de fortes chances que les patches échouent car les sources du noyau livré par RedHat ne concernent que la plateforme de la distro (i.e. i386 par exemple) et pas les autres (si i386, exit le code bas niveau pour PPC, Alpha, ARM, etc...), en tout cas en RH5.2 - depuis je ne suis pas allé fouiller sous /usr/src/linux/*/asm...

    Hyperefficace en tout cas que ce script patch-kernel ;-)
    En esperant que ça aide ou informe (un peu :) )

     

    Surveiller les messages de syslog
      Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour surveiller en permanence les messages de syslog, j'ouvre
    une fenêtre terminal et dedans je tape :

    tail -f /var/log/messages

    comme ça dès qu'en message arrive il s'affiche dans ce terminal !

    on peut même taper :

    tail -f /var/log/messages > /dev/tty11 &

    et les messages s'affiche sur la console 11 (accessible par CTRL+ATL+F11 depuis X, ALT+F11 depuis la console)

     

    haut


    Noyau>Noyau 2.4

    Astuces propres aux spécificités du kernel 2.4
    Migrer vers un kernel 2.4.x
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Attention, avant de migrer vers la version 2.4.x du kernel, vérifiez bien vos versions de libraires/logiciels :

    autoconf-2.13
    automake-1.4
    binutils-2.10
    e2fsprogs-1.19
    ksymoops-2.4
    make-3.79
    mkinitrd-2.6
    modutils-2.4.3
    utils-linux-2.10.s
    pppd-2.4

    Note: vous devez avoir au moins ces versions, si vous avez une version supérieure, ça marche aussi, bien sûr :)

     

    Support PPP
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Beaucoup de personnes ont des problèmes ppp sous le noyau 2.4.x, ils ont souvent une erreur comme quoi le support ppp est manquant alors qu'il a été compilé (soit en module soit dans le kernel).
    Pour palier à ce probléme, après avoir compilé votre noyau, assurez vous que :
    - pppd a comme version 2.4 minimum

    Puis:

    - mettre ces alias dans /etc/modules.conf :

    alias char-major-108 ppp_generic
    alias /dev/ppp ppp_generic
    alias tty-ldisc-3 ppp_async
    alias tty-ldisc-14 ppp_synctty
    alias ppp-compress-21 bsd_comp
    alias ppp-compress-24 ppp_deflate
    alias ppp-compress-26 ppp_deflate


    - Recréer le device ppp :

    mknod /dev/ppp c 108 0

     

    haut


    Au secours

    Que faire quand plus rien ne marche, quand Linux ne démarre plus, que X plante...
    Dernière chance
      Par : Alsim <al_simmons chez linuxmail point org>
      Dernière mise à jour : 02/06/2003

    Quand PLUS RIEN ne marche, il existe une petite combinaison de touches utile : alt + Syst (souvent la même touche qu'impression écran) + une lettre. Cette astuce ne marche que sur certaines distributions, dont la Mandrake 9.1 :

    alt + Syst + S pour vider le cache disque,
    alt + Syst + U pour démonter vos partitions et vos systèmes de fichiers puis :
    alt + Syst + O pour redémarrer.

    Ca vous évitera un long scan au redémarrage si vous êtes en ext2 ...

    Voir le truc Sortir élégamment d'un plantage pour plus de détails.

     

    Reconstruire sa partition /boot sur Redhat / Mandrake
      Par : lea(anne) <anne chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 15/04/2003

    Vous venez pour une raison ou pour une autre de perdre tout ou partie de votre partition /boot. Pas de panique, il vous reste une solution avant la réinstallation complète. Attention ceci ne fonctionnera que dans le cas où vous avez prévu un système de fichiers dédié à /boot.

    Exemple : extrait du fichier /etc/fstab :

    /dev/hda7 / ext3 noatime 1 1
    /dev/hda5 /boot ext3 noatime 1 2
    none /dev/pts devpts mode=0620 0 0
    /dev/hda10 /home ext3 noatime 1 2
    /dev/hda8 /usr ext3 noatime 1 2
    /dev/hda9 /var ext3 noatime 1 2
    /dev/hda6 swap swap defaults 0 0

    Quelques conseils à suivre pour vous faciliter la vie dans ce genre de situation (à prévoir avant le plantage bien sûr :p) :

    Les étapes pour restaurer /boot :

     

    En cas de perte d'un mot de passe (bis)
      Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Voici une deuxième méthode pour récupérer le mot de passe du root lorsque vous l'avez oublié ou perdu. (c.f. La première méthode)

    Cette fois-ci, vous n'avez pas besoin d'un autre système d'exploitation. Nous allons utiliser des options disponibles.

    La première chose à faire, c'est de rebooter !
    Lorsque votre loader (lilo, grub, ...) affiche les choix, passez l'option suivante au noyau :
    init=/bin/bash

    Par exemple avec Lilo, cela donne :


    Si votre loader ne permet pas de passer des options au noyau, soit vous utilisez la première méthode, soit il faut vous débrouiller pour changer de loader. Pas évident sans root.

    Une fois là, le système va démarrer et vous vous retrouverez dans une session shell bash en tant que root sans avoir eu à taper le moindre mot de passe.

    Si votre clavier est mal configuré, il est vivement conseillé de configurer votre clavier en francais, en faisant :
    /usr/bin/loadkeys fr-latin1.map
    Pour faciliter la suite et surtout parce que l'on va ressaisir le mot de passe root et il serait dommage de le saisir en anglais...

    Ensuite, il nous faut remonter la partition / en lecture/écriture, car elle est montée en read-only (lecture seule). Pour ce faire :
    mount -o remount,rw /

    Maintenant, nous pouvons saisir le mot de passe du root, en faisant :
    passwd
    Saisissez votre nouveau mot de passe, c'est fait ?! Vous avez presque fini.

    Afin de faire les choses proprement, nous remontons la partition en lecture seule :
    mount -o remount,ro /

    Et voilà, vous avez fini ! Il ne reste plus qu'à rebooter.

     

    En cas de perte d'un mot de passe
      Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Il peut vous arriver de perdre d'une façon ou d'une autre le mot de passe (password) d'un de vos utilisateurs (user).

    Si cet utilisateur n'est pas l'utilisateur root
    C'est le cas le plus simple. Il vous suffit de vous loguer en root et vous affectez directement un nouveau mot de passe idiot à l'utilisateur en faisant :
    passwd toto
    Puis là, l'utilisateur 'toto' pourra rechanger son mot de passe comme il l'entend.

    Si cet utilisateur est le root ( aie ! Ca fait mal... :-) )
    Dans ce cas, cela se complique un peu. Ce que je propose impose d'avoir un accès physique à la machine, si ce n'est pas le cas je ne sais pas comment faire.

    Vous pouvez vous en sortir si :

  • Vous avez un autre système d'exploitation sur votre machine capable de lire et écrire sur la partition /
    Cet autre système d'exploitation peut etre un autre GNU/Linux, un BSD Libre (NetBSD, FreeBSD, OpenBSD, ...) ou un MS Windows avec les outils nécessaires et si votre partition / est en EXT2.
  • Vous avez une mini-distribution ou une distribution sur CDROM
    Une mini distribution genre : Tom's RtBt (voir cet article)
    Une distribution sur CDROM genre : DemoLinux.
  • Votre distribution fournit sur l'un de ses CDROMs un mode 'rescue' (secours)
    Pour accéder au mode 'rescue' sur le CDROM d'installation de la Mandrake, par exemple, il suffit d'appuyer sur la touche 'F1', au lieu de 'entrée', à la première invite puis de taper 'rescue' et de valider. A la fin du processus d'initialisation vous vous retrouverez avec une invite de commande, comme sous un terminal ou lorsque vous bootez en mode non graphique.
  • La procédure à suivre

    Pour l'explication, je pars du principe que votre partition / est sur le disque dur maitre de la nappe IDE 1 sur la deuxième partition principale, soit /dev/hda2. De plus, je suppose aussi que vous utilisez un autre système GNU/Linux pour réparer. Ceci pour faciliter l'explication et pour qu'elle reste claire.
    A vous d'adapter la suite en fonction de votre cas particulier... Mais l'idée générale est là.
    Pour finir avec les conventions, les commandes dans VI sont des séries de lettres à taper à la suite sans appuyer sur la touche 'entrée' entre les lettres et sans les espaces, qui ne sont là que pour regrouper les commandes logiquement.

    La première chose à faire est de rebooter sur le système (autre GNU/Linux, DemoLinux, CD de rescue, ...) vous permettant ainsi de lire et d'écrire sur votre partition /.

    Une fois que vous êtes sous une invite de commande...

    Il vous sera peut être nécessaire de configurer votre clavier en francais, pour cela faites :
    /usr/bin/loadkeys fr-latin1.map

    Après, il vous faut monter votre partition / avec les commandes suivantes :
    mkdir -p /mnt/mysys
    mount /dev/hda2 /mnt/mysys

    Si votre partition a un système de fichiers particulier, ou que la commande mount ne marche pas, alors utilisez l'option -t <type> afin de spécifier votre système de fichiers. Si cela ne marche toujours pas, cela signifie que le noyau du système que vous utilisez pour réparer n'a pas le support de votre système de fichiers.
    Note : A l'heure actuelle c'est souvent EXT3.

    Maintenant que la partition est montée, nous allons modifier le fichier /etc/passwd afin de supprimer le mot de passe root en enlevant l'étoile :

    cd /mnt/mysys/etc
    vi passwd
    #---- Dans VI ----
    #----
    Sur la ligne : root:x:0:0:,,,:/root:/bin/ksh
    2w x :wq<la touche entrée>
    #---- Hors VI ----
    cd /
    umount /mnt/mysys

    Remarque : Nous utilisons ici l'éditeur 'vi', car c'est le seul éditeur de texte que nous sommes sûr de trouver quelque soit le système utilisé, sauf MS Windows :-). De plus généralement, l'utilisateur root est la première ligne du fichier /etc/passwd.

    >Enfin, il ne vous reste plus qu'à rebooter sur votre système "malade".
    Une fois connecté à votre système avec un utilisateur normal, faites :

    su - root
    #
    Normalement aucun mot de passe ne vous sera demandé.
    cd /etc
    vi passwd
    #---- Dans VI ----
    #----
    Sur la ligne : root::0:0:,,,:/root:/bin/ksh
    w ax<la touche escape> :wq<la touche entrée>
    #---- Hors VI ----
    passwd

    Une fois ici, il va vous demander le nouveau mot de passe du root. Une fois le mot de passe défini, ça y est, vous avez fini ! Le système est réparé, vous pouvez vous déconnecter et reconnecter en root sans problème. Ouff ! :-)

     

    Sortir élégamment d'un plantage
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Ca y est. C'est arrivé. Pourtant on vous avait dit que Linux était stable, mais cette fois, "il" s'est planté.
    NOOON ! pas de panique ! ne pressez pas tout de suite le bouton reset ! Oubliez cette mauvaise habitude héritée de votre ancien système d'exploitation (z'avez vu, je ne cite personne ;).
    Commencez par mesurer l'étendue des dégats.
    Le noyau de Linux bloque extrêmement rarement, et vous pouvez sans doute encore entendre le mp3 qui était en train de jouer, ou voir les diodes du graveur clignoter pendant le gravage en cours (d'ailleurs, si aucune des solutions ci-dessous ne fonctionne, attendez au moins la fin de la gravure - qui sera bonne ! - pour rebouter "à la barbare").

    1. seule une application est plantée.
    Si vous avez encore accès aux autres applications, que la souris bouge, etc., vous pouvez simplement "tuer" l'application plantée.
    a) Pour une application graphique, la solution la plus simple consiste à utiliser xkill. Ce petit utilitaire transforme le curseur de la souris en une cible ou une tête de mort, et il suffit de cliquer sur la fenêtre de l'application plantée pour la faire disparaître. Sous KDE, lancez-le en tapant simultanément : Control-Alt-Echap. Sinon, tapez xkill dans un shell (ligne de commande).
    b) une solution valable pour toute application, graphique ou non, consiste à la tuer en utilisant son numéro de processus, ou PID. Ouvrez un shell, et tapez "ps x", vous voyez défiler la liste des applications, avec leur numéro de processus correspondant. Si vous avez plus d'une page, utilisez "ps x | less", et récupérez le numéro correspondant à l'application plantée (son PID). Tapez ensuite : "kill PID" en remplaçant PID par le numéro trouvé. Si l'application ne se ferme toujours pas, essayez plus violent : "kill -9 PID".

    2. la souris ne répond plus
    Le cas est plus grave mais pas désespéré, et nécessite en général le redémarrage de X, la couche graphique de Linux.
    a) méthode n°1
    La façon la plus simple de faire pour tuer X, est de presser simultanément les touches Control-Alt-Backspace. Si cela ne fonctionne pas, essayez ensuite la méthode suivante.
    b) méthode n°2
    Nous allons essayer de passer sur une console texte. Tapez Control-Alt-F1 (ou de F2 à F6), et connectez-vous en tant que root : utilisateur root, suivi de son mot de passe.
    De la même façon que ci-dessus, nous allons tuer X : "ps x | grep X" vous donne son PID, il ne vous reste plus qu'à le tuer par "kill PID_de_X" ou "kill -9 PID_de_X".
    c) redémarrage de X
    Si vous démarrez habituellement directement en mode graphique, il va se relancer tout seul, pour retourner dans la console graphique tapez Control-Zlt-F7 ; sinon, tapez "startx".
    Si cela ne fonctionne pas mais que vous avez accès aux consoles texte par Control-Alt-Fn, vous pouvez redémarrer proprement en vous connectant en tant que root, et en tapant la commande "reboot" ou "shutdown -r now".
    Note : malheureusement, les documents non sauvegardés risquent alors fort d'être perdus. Avant de redémarrer X, vous pouvez éventuellement tenter un "kill" (pas -9 !) sur l'application contenant votre document, et voir si cela fait quelque chose, en revenant en mode graphique par Control-Alt-F7...

    3. pas moyen d'aller dans une console texte avec Control-Alt-Fn
    Le clavier ne semble plus répondre, éventuellement l'écran est tout noir, ca va mal... Pourtant vous pouvez essayer trois choses :
    a) Vous connecter "en aveugle" : l'écran est noir par suite d'un plantage video. Vous pouvez tenter de basculer sur une console virtuelle par Control-Alt-Fn, vous connecter en root : tapez root, [Entrée], mot_de_passe, [Entrée] (vous ne verrez rien, faites bien attention à ce que vous tapez), puis tapez reboot. Le PC devrait rebouter. Si rien ne se passe... passez à la suite !
    b) Les touches magiques de requête système (merci à Michael Scherer et Lenny Cartier de m'avoir rappelé ce point) :
    Si votre noyau est compilé avec les bonnes options (dans "Kernel Hacking", cocher "Magic Sysreq Key" - voir la doc dans /usr/linux/src/Documentation/sysrq.txt), vous disposez de séquences de touches pour rebouter, pour synchroniser le cache disque, et remonter tous les disques en lecture seule.
    Utilisation : tapez simultanément Alt-PrintScreen-S ou Alt-ImprEcran-S pour vider le cache sur le disque (afin d'éviter la vérification du disque au redémarrage), suivi de Alt-PrintScreen-U pour remonter le disque en lecture seule (même raison), suivi enfin de Alt-PrintScreen-B pour redémarrer. Si cela ne fonctionne pas, c'est que votre noyau n'est pas compilé avec la bonne option.
    c) Si vous avez un réseau local, connectez-vous en telnet ou ssh sur la machine plantée : 'telnet ma_machine' ou 'ssh ma_machine' (sous windows, HyperTerminal (tm) permet aussi de se connecter en telnet à la machine plantée).
    Si la machine plantée répond au telnet ou au ssh, connectez-vous en root, et essayez de la rebouter proprement par la commande "reboot" ou "shutdown -r now".

    4. rien ne marche :-(
    Alors vous allez être obligés de redémarrer à la barbare, c'est à dire par le bouton reset ou par un cycle extinction/allumage...
    Pour éviter dans ce cas un test souvent assez long du disque lors du redémarrage, il est conseillé d'utiliser un système de fichier journalisé (ext3, Reiserfs, etc.) à la place de l'ancien ext2.

     

    S'en sortir quand on débarque sur Linux
      Par : Philippe <superjoker chez club tiret internet point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Je débarque sur Linux, je ne pige rien ;-(

    Ou trouver de l'aide en général ?

    J'ai lu 10 Kg de docs, mais j'ai rien trouvé.

    Je galère complétement :-(( : poster sur le BON forum (et seulement celui-la) en précisant clairement

    1. le problème
    2. la question (des fois on sait pas trop quelle est la question ;-)
    3. sa configuration (disque, carte vidéo, carte son)
    4. sa distribution de Linux (Mandrake 8.0, Slackware 4.0, etc.)
    5. toute information utile (version du noyau...)

    Petit rappel de la netiquette : les gens qui vous lisent sont parfois (souvent ?) succeptibles, alors un petit "bonjour" pour commencer, et un merci après la (les) réponse(s) ne fait jamais de mal... et parfois ça fait plaisir ;-)

    D'ailleur, la consultation de ce document est chaudement recommendée. On peut aussi lire ça ou ça, pour savoir comment poser une question si l'on veut une réponse sensée.

     

    Comment faire quand on n'arrive plus à booter ?
      Par : Fred <frederic point bonnaud chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Beaucoup de monde risque un jour d'être confronté à ce problème. Plusieurs méthodes existent suivant le problème exact.

    Le système bloque pendant l'initialisation du kernel, mais passe bien l'invite LILO

    Dans la plupart des cas, on peut résoudre le problème en tapant à l'invite lilo: "linux 1", ou "linux single" (si linux est le mot que vous tapez pour lancer Linux ! voir votre install de LILO) ce qui permet d'arriver à un shell de commande et de modifier vos fichiers de démarrage, bref de régler le problème.
    Si vous utilisez LOADLIN, ajoutez "1" au bout de votre ligne de commande. Par exemple :
    C:>LOADLIN C:LINUXVMLINUZ root=/dev/hdb1 ro 1

    Le noyau démarre, le système s'initialise bien, mais à la fin, l'écran devient noir et clignote

    Vous vous trouvez sans doute devant un problème dù à X Window. Le dépannage est décrit dans la rubrique correspondante et dans ce truc.

    Disquette RESCUE

    Lire le truc correspondant.

     

    Codes d'erreur de LILO (L, LI, LIL, LIL-, 01 01 01 etc.)
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    La question des codes d'erreurs au démarrage de LILO revient assez souvent dans le forum ou vos mails, aussi voici un extrait du Bootdisk-HOWTO qui traite de ce problème.


    Les questions sur ces erreurs sont posées si souvent sur Usenet que nous les incluons ici en tant que service public. Ce résumé est extrait de la Documentation Utilisateur de LILO de Werner Almesberger, disponible ici.

    Quand LILO se charge, il affiche le mot "LILO". Chaque lettre est imprimée avant ou après l'exécution d'une action spécifique. Si LILO échoue à un moment donné, les lettres affichées jusque là peuvent être utilisées pour identifier le problème.

    Le second morceau du chargeur d'amorce a été chargé à un adresse incorrecte. C'est en général causé par une subtile incohérence de géométrie, ou par le déplacement de /boot/boot.b sans lancer l'installateur de carte.
    (rien) Aucun morceau de LILO n'a été chargé. Soit LILO n'est pas installé, soit la partition sur laquelle son secteur d'amorce se trouve n'est pas active.
    L Le premier morceau du chargeur d'amorce a été chargé et démarré, mais il ne peut charger le second morceau. Les codes d'erreur à deux chiffres indiquent le type de problème. (Voir également la section "Codes d'erreur disque".) Ce cas indique en général une panne de périphérique ou une incohérence de géométrie (c'est à dire de mauvais paramètres disques).
    LI Le premier morceau du chargeur d'amorce a pu charger le second morceau, mais n'a pas réussi à l'exécuter. Cela peut être causé par une incohérence de géométrie ou par le déplacement de /boot/boot.b sans lancer l'installateur de carte.
    LIL Le second morceau du chargeur d'amorce a été démarré, mais il ne trouve pas la table de descripteurs dans le fichier carte. C'est en général dû à une panne de périphérique ou une incohérence de géométrie.
    LIL?
    LIL- La table de descripteurs est corrompue. Cela peut être dû à une incohérence de géométrie ou au déplacement de /boot/map sans lancer l'installeur.
    LILO Tous les éléments de LILO ont été correctement chargés.

    Si le BIOS signale une erreur lorsque LILO essaye de charger une image d'amorce, le code d'erreur correspondant est affiché. Ces codes vont de 0x00 à 0xbb. Reportez-vous au Guide Utilisateur de LILO pour leur explication.


    Merci à Gérald (g-eaux@wanadoo.fr) pour son astuce, que j'ai augmentée ici.

    Bref, si votre ordinateur ne boote pas, et qu'au lieu de LILO vous avez :
    LI 01 01 01 01 --- 01 ou l'un des codes d'erreur ci-dessus, ne paniquez pas :
    il suffit de réinstaller le chargeur de LILO (en tapant /sbin/lilo en root) après avoir vérifié que sa configuration est bonne.
    La plupart du temps, ces erreurs proviennent du fait que vous avez modifié quelque chose dans l'organisation de vos disques durs (ajout ou suppression d'un disque ou d'une partition, etc.), et il suffit alors de réinstaller le chargeur.

    Le problème sera de booter sous Linux afin de réinstaller le chargeur de LILO.
    Si vous avez une disquette de boot, c'est le moment de l'utiliser. Sinon, vous pouvez passer par le mode "rescue" de votre distribution en bootant sur le CD de celle-ci. Sinon, vous pouvez utiliser des mini-distributions qui tiennent sur une disquette, faites pour ces cas désespérés où on ne sait plus comment démarrer son système (voir l'astuce correspondante).
    Enfin, une fois sous Linux, il ne vous reste qu'à vous connecter en root, à vérifier la config de LILO, et à taper /sbin/lilo pour réinstaller le chargeur. Vous pouvez ensuite rebooter (mais profitez-en pour faire une disquette de sauvegarde si jamais cela ne fonctionnait pas...).

     

    remettre la touche CR en fonction sur un clavier québécois
      Par : RickyBoy <ricky point boy chez videotron point ca>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Si par malchance vous êtes Québécois (comme moi ;-) et que vous utilisez la distribution Mandrake 7.2, il y a fort à parier que votre lilo.conf ait une ligne vous empêchant de démarrer correctement un autre mode que celui défini par défaut ; c'est dû au fait que la touche "CR" (enter ou return) n'a aucun effet !

    La ligne est la suivante et se trouve (en principe) à la 6 ou 7ème ligne :

    Pour remédier à ce problème, vous n'avez qu'à commenter avec le caractère "#" cette ligne et à taper "lilo" (afin de réinstaller le bootloader) dans un terminal pour retrouver votre touche "CR".

    Note du modérateur :
    1. je ne trouve pas que ce soit une malchance d'être Québécois !
    2. il doit y avoir moins bourrin comme solution, peut-être corriger ce fichier qc-latin1.klt ? Le premier qui me donne la correction aura gagné... le droit d'être publié ici ;)

     

    L'écran clignotte et Linux ne démarre plus
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Cela provient d'un problème de configuration de votre serveur X (c'est à dire l'environnement graphique).

    Pour le résoudre, vous devez redémarrer votre ordinateur en mode texte.
    Tapez Ctrl-Alt-Del et attendez que la procédure de reboot se termine.

    Lors du boot, si vous utilisez LILO pour démarrer, vous avez un prompt "LILO" qui s'affiche.
    À ce prompt, tapez "linux 3" puis [Entrée].
    (Attention, si lors de l'installation, vous avez choisi un autre nom que "linux" pour booter, vous devez remplacer le "linux" ci-dessus. Pour voir les noms possibles, tapez [Tab] au prompt LILO.)

    Ainsi, l'ordinateur démarre en mode texte. Vous devrez alors vous loguer en root pour résoudre le probléme (voir les autres astuces, ou l'article Régler les problèmes avec X Window).
    Attention : Lorsque vous pensez avoir réglé le problème, avant de rebouter, n'oubliez pas de tester si X démarre, en tapant "startx" !

    Bon courage !

     

    Disquette rescue
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    La solution ultime est la disquette "RESCUE", lorsque même LILO ne démarre plus. A ce moment là, cette disquette de sauvegarde permet de charger une mini distribution Linux en mémoire (nommée TOMSRTBT), qui comprend tous les outils de maintenance (vi, mount, lilo, fdisk, emacs, etc.). Il suffit alors de monter la partition qui contient votre Linux en panne (mount -t ext2 /dev/hda2 /mnt par exemple) et de travailler sur les fichiers en cause ou de réinstaller LILO... suivant le problème exact.
    Suivre le lien suivant pour récupérer le fichier qui va vous permettre de créer la disquette :
    http://www.toms.net/rb/home.html
    Pour créer la disquette :
    - sous Linux : dd if=tomsrtbt.gz of=/dev/fd0
    - sous DOS : dézipper et lancer install.bat (pas dans une fenêtre Windows, mais en redémarrant en mode DOS !)

    mise à jour du 3/10/2001 : lisez l'article sur la distribution TOMSRTBT !

     

    Linux ne démarre plus !
      Par : Fred <frederic point bonnaud chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Quand Linux ne démarre plus, il peut y avoir plusieurs raisons.
    Une raison relativement courante : vous avez modifié d'une manière quelconque le chemin des polices, et au démarrage, votre écran clignote : il y a une erreur dans les différents chemins des polices.

    La solution est simple : enlever le mauvais chemin. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire : votre écran ne cesse de clignoter. Pour cela il faut dire à Linux de démarrer en mode texte ! C'est simple, à l'invite de LILO :

    LILO:

    tapez sur la touche (les deux flèches inversées à gauche du clavier), vous verrez apparaître la liste des systèmes que Lilo est capable de démarrer :

    LILO:
    linux windows floppy linux2216

    LILO:

    Tapez alors le nom d'un des systèmes linux disponibles suivi de "3" :

    LILO: linux 3

    et votre linux démarrera en mode texte ("3" signifie "mode console") ; si cela ne fonctionne pas, vous pouvez essayer de remplacer "3" par "single" ou "1" pour démarrer en mode mono-utilisateur (aucune protection)

    Note du modérateur: Les chemins de polices se trouvent dans le fichier /etc/XF86Config (ou /etc/X11/XF86Config) sous la forme :

    FontPath "chemin"

    Attention au chemin du style:

    FontPath "unix/:-1"

    Ce chemin permet de se servir d'un serveur de fonte local. Si c'est ce chemin qui est en erreur, lisez la rubrique X troubleshooting de ce site.

    Voir aussi l'astuce sur les codes d'erreur de LILO au boot.

     

    haut


    Au secours>documentation

    Trouvez des fichiers ou articles exclusivement linux/unix
      Par : fpussault <fpussault chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour éviter certaine pollution dans les résultats des moteurs de recherche, utilisez google qui a un module linux : http://www.google.fr/linux

    Exemple, si vous demandez : '+sed +syntaxe +exemples -perl' :


    Requète :

    + active un mot
    - desactive un mot (ici on ne veut pas le mot perl)

    et on a seulement 48 reponses !!!!
    c'est egalement pratique pour rechercher un fichier

     

    Faciliter la recherche sur Léa
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Avec Galéon

    Télécharger l'icone de Léa, mettez là dans un répertoire quelconque.

    >Cliquez sur la barre de recherche de Galeon avec le bouton droit, et choisissez "Editer..." (Edit... en anglais).
    Puis cliquez, sur le premier bouton (Créer un nouveau signet).
    Puis, remplissez le formulaire de la manière suivante :

    Nom: Léa
    URL: http://lea-linux.org
    URL paramétrée: http://lea-linux.org/search/?searchtext=%s

    Pour certaines versions (anciennes) de galeon vous ne pourrez pas entrer d'URL paramétrée, il faudra remplir le formulaire de la maniére suivante :
    Nom: Léa
    URL: http://lea-linux.org/search/?searchtext=%s

    Puis cliquer sur "Parcourir..." et choisissez l'icône de Léa que vous venez de télécharger.

    Vous pouvez ajouter n'importe quel moteur de recherche en procédant de même.

    Avec Konqueror

    Dans Konqueror (KDE3) cliquez sur Configuration puis Configurer Konqueror choisissez ensuite Navigation avancée.
    Validez ensuite Activer les racourcis web, puis cliquez sur Ajouter. Remplissez alors les champs de la maniére suivante :

    Nom du moteur de recherche: Léa
    URI de la recherche : http://lea-linux.org/search/?searchtext=\{@}
    Raccourcis URI : lea

    A partir de maintenant pour chercher quelque chose sur Léa, il suffit de taper dans l'url : "lea:usb" pour rechercher toutes les pages contenant le mot usb sur Léa.

     

    Consulter le manuel (pages man) avec Konqueror
      Par : LittleBoy_raidate <d point lucas chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour consulter les pages de manuel avec Konqueror, il suffit de taper dans la zone d'adresse : "man:" suivi du nom de la page.

    Par exemple : man:tcpdump

     

    Utiliser Konqueror/khelpcenter pour lire les pages de manuel
      Par : Léa <frederic chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Si vous utilisez KDE, vous pouvez utiliser le KDE-Help Center (l'aide de KDE, l'icone en forme de bouée) ou simplement Konqueror pour parcourir les page de manuel et les pages info.

    Pour cela tapez comme URL : man:/commande (pour lire la page de manuel concernant la commande : "commande") ou info:/commande (pour lire la page info concernant la commande "commande").

    Pour avoir la liste des pages man ou info, tapez juste man:/ ou info:/.

     

    haut


    Shell

    Les commandes du shell, leurs paramètres, les scripts...
    Récupérer la sortie standard redirigée vers un fichier
      Par : Matthieu Cargnelli <m point cargnelli chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 23/07/2003

    Lorsque vous voulez lancer un job long, par exemple une compilation de programme complexe (KDE ?), vous pouvez avoir envie de le faire à distance, via ssh. Problème : comment contrôler l'état d'avancement de la compilation à la connexion suivante ?

    Une solution simple consiste à lancer la compilation avec la commande nohup (no hang up, commande qui permet de continuer l'action même après déconnexion).

    Par exemple : nohup make &
    La sortie de la compilation est dirigée par défaut vers un fichier nohup.out

    Pour consulter l'état d'avancement il suffit d'utiliser la commande : tail -f nohup.out
    Vous verrez alors la fin du fichier, raffraichie automatiquement dès qu'une nouvelle ligne s'y ajoute -> vous récupérez votre affichage standard (ctrl+c pour sortir)

    Note de Jice : on peut aussi utiliser l'utilitaire screen pour récupérer des sessions (et accessoirement avoir plusieurs écrans virtuels sur un seul terminal).

     

    Que faire si updatedb/locate omet certains repertoires/fs
      Par : Jean-Thomas MUYL <jtmaston chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 17/06/2003

    Par défaut, updatedb va ommetre certains filesystem et certains repertoires lors de la construction de la base de donnée.

    Pour changer cela, il vous faut éditer /etc/update.conf, et modifier les lignes "PRUNEPATH=" et "PRUNEFS=".

    Attention cependant, inclure /home dans la base de donnée pourrait permettre à n'importe quel utilisateur de voir le nom des fichiers des autres. Utilisez donc cette option avec parcimonie pour des raisons de sécurité.

     

    Avoir des informations sur une fenêtre
      Par : Jonesy's
      Dernière mise à jour : 04/05/2003

    Pour avoir des informations sur une fenêtre ouverte quelconque :

    xwininfo
    ou
    xprop

    Ces commandes sont à lancer en ligne de commande sous un terminal. Une fois, la commande lancée, le pointeur de la sourie change, alors cliquez sur la fenêtre qui vous intéresse et les informations sur cette fenêtre seront affichées dans le terminal d'où vous avez lancé la commande.

    Entre autres informations sur la fenêtre vous avez sa position dans l'environnement graphique (coordonnées X,Y) et sa taille.

     

    Enregistrer tout ce que vous faites
      Par : Jonesy\'s
      Dernière mise à jour : 04/05/2003

    Voici une commande peu connue permettant d'enregistrer dans un fichier tout ce que vous faites en ligne de commande sans rien changer à vos habitudes :

    script nom-fichier

    Cela enregistrera toutes les commandes que vous tapez ainsi que leurs sorties d'écran. Le fichier résultat peut être très intéressant dans plusieurs cas :

    Pour ne plus enregistrer dans le fichier, il suffit de taper :
    exit

     

    Ejecter en ligne
      Par : Jonesy's
      Dernière mise à jour : 04/05/2003

    Vous ne vous êtes jamais demandé comment ouvrir et fermer votre lecteur CDROM en mode console ?
    Ejecter son CDROM ou DVD en mode console, impossible ? Et bien non !

    Pour éjecter le CDROM. S'il est monté, il sera démonté automatiquement puis éjecté :

    Si vous avez un CDROM à tiroir, voici comment refermer le tiroir :

    Consultez le man de la commande eject pour en savoir plus.

    Dernier petit truc, si vous gravez en ligne de commande, cdrecord a une option pour éjecter le CDROM une fois la gravure finie.

     

    Re-initialiser un terminal
      Par : merlin <xion point y chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 17/04/2003

    Il arrive parfois que le terminal se mette à mal afficher les caractères, par exemple lorsque l'on fait un more d'un fichier binaire.
    Si un [CTRL] + [l] ne rafraichit pas le terminal, il suffit de re-initialiser le terminal en tapant à l'aveugle :

    echo [CTRL] + [V]
    [ECHAP]
    [C]
    [ENTREE]

     

    Retour de script par mail
      Par : kneko <wall7 chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 16/04/2003

    Améliorer la présentation des resultats dans les script les logs ou même les emails
    Utilisez les commandes tput et banner si vous avez (selon la distribution utilisée)

    bold=`tput smso` offbold=`tput rmso`
    echo $bold "toto" $offbold

    Voir le man pour les autres options de présentation

     

    Grep : chercher un texte dans plusieurs fichiers
      Par : tchoyy <tchoyyfr chez yahoo point fr>
      Dernière mise à jour : 08/04/2003

    Je trouve que cette commande n'est pas très utilisée mais elle est très puissante. Comment faire pour rechercher un texte alors qu'on ne connait pas le fichier d'où il provient ?

    C'est simple. Il faut utiliser la commande grep. Si tous les fichiers sont dans le même répertoire, pour rechercher la chaîne "montexte", il suffit de faire :

    grep montexte *

    Sinon, si les fichiers sont dans une arborescence :

    find . -type f -exec grep montexte {} \;

    Explications :

    Voila

     

    Tester sa connexion internet
      Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Voici un petit script pour tester votre connexion internet :


    -------------------------
    #!/bin/bash

    ping -q -c 2 <site> >/dev/null 2>&1
    if [ $? -eq 0 ]; then
      echo "Vous êtes connecté."
    else
      echo "Vous n'êtes pas connecté."
    fi
    -------------------------

    Remplacez <site>, par un site internet qui accepte le ping, comme Google (www.google.fr).

    En modifiant un peu ce script, vous pouvez l'utiliser pour d'autres tests une fois que vous êtes sûr d'être connecté.
    Vous pouvez afficher votre IP ou mettre votre machine à l'heure.

    Le script modifié :


    -------------------------
    #!/bin/bash

    for (( ; ; )); do
      ping -q -c 1 <site> >/dev/null 2>&1
      if [ $? -eq 0 ]; then
        <actions que vous voulez>
        break
      fi
    done
    -------------------------

    Remarque : Pour que ces scripts fonctionnent, il est impératif que vous configuriez vos DNS. Pour ce faire, vérifiez le contenu du fichier /etc/resolv.conf, qui doit contenir les DNS de votre provider.

     

    Retrouver efficacement une ancienne commande.
      Par : nykola <nykola chez iteam point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Le Bash offre une fonctionnalité interessante pour retrouver une ancienne commande (présente dans le bash_history).

    Tapez : Ctrl^R

    Ca lance le reverse search. Il suffit alors de taper le début d'une commande et de la compléter jusqu'à la trouver.
    Je trouve le mécanisme de complession assez efficace.

    Nyko.

     

    lancer plusieur appli de la console
      Par : bradX <bradi point 51 chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    c'est tout simple, à la fin de la commande placer un " & "
    Exemple :
    $ xine&
    xine se lance et on a de retour la main pour faire autre chose.

     

    Extraire les fichiers d'un paquet rpm
      Par : nootuy <noothuy chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Comment extraire les fichiers provenant d'un rpm paquet.rpm ?
    Faire rpm2cpio paquet.rpm > paquet.cpio, pour transformer le package en archive cpio.
    Il faut ensuite extraire les fichiers de l'archive cpio avec la commande cpio :
    cpio -i --make-directories < paquet.cpio

    Et le tour est joué !

     

    Afficher joliment le PATH
      Par : Berthold Jean <jean point berthold chez eos tiret gd point ch>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pas indispensable, mais le PATH est quand même plus facile à lire...

    echo $PATH | tr ":" "\n"

    NDLR:
    Un petit script est le bien venu, éditez '/usr/bin/jpath' (comme joli - path) et mettez-y :
    ---------------coupez là----------------
    #!/bin/sh
    echo $PATH | tr ":" "\n"
    ---------------coupez là----------------

    puis un petit chmod +x /usr/bin/jpath le rendra exécutable par jpath

     

    Laisser tourner un processus même si on ferme le terminal
      Par : Jonesy <jonesy chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Il m'arrive souvent de lancer une application X (gtfp, emacs, ...) sous un terminal. Puis j'oublie et je ferme le terminal et cela ferme l'application X aussi !

    Note du modérateur (Jicé) : la raison est que Linux considère le processus lancé dans le terminal comme un "fils" du processus du terminal ; de plus, lorsqu'on arrête un processus, tous ses processus "fils" sont automatiquements terminés.

    Pour éviter cela, il suffit de lancer votre application "sans père". En faisant comme ceci :
    nohup votre-appli-x &

    N'oubliez pas le &, sinon il ne vous rend pas la main sous le terminal et vous ne pourrez le fermer sans fermer l'application X.
    Donc par exemple, pour lancer emacs :
    nohup emacs &
    Bien sûr, si l'application réclame des paramètres il suffit de les mettre avant le &, comme ceci :
    nohup emacs toto.txt &

    Ceci est applicable à tous les processus que vous voulez laisser tourner même si vous fermez le terminal.

    Note : Suivant le terminal que vous utilisez, il ferme quand même le processus si vous fermez le terminal avec la "croix" (en haut à droite). Pour sortir du terminal, préférez :
    exit

     

    Déterminer son adresse IP
      Par : Jonesy <jonesy chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Voici une ligne de commande shell pour connaître votre addresse IP :

    /sbin/ifconfig | grep P-t-P | cut -d' ' -f 12 | cut -c5-99
    ou mieux
    /sbin/ifconfig | grep P-t-P | sed "s/.*r:\(.*\) P.*/\1/"

    Cette commande peut être lancée par n'importe quel utilisateur et/ou par un script si vous le désirez.

     

    Yes !
      Par : Raidate <d point lucas chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Un petit truc marrant :
    tapez : yes "Léa est le meilleur site du monde de l'univers !" !

     

    Compression simultanée du tar au gz / bz2
      Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    #! /bin/sh

    # ---------------
    # SCRIPT DE COMPRESSION DE DONNEES D'UNE ARCHIVE TAR EN BZ2 ET GZ
    # TUX PUNX
    # 2001-04- 22
    # ---------------

    # $1 est le nom de l'archive tar à compresser.

    # Test de l'existence du paramètre 1 ($1)
    if [ $# -lt 1 ]
    then
    echo "NB paramètre : NOT OK"
    echo "Spécifier le nom de l'archive tar"
    exit
    else
    echo "NB paramètre : OK"
    fi

    # Le paramètre existe. Test de sa validité.
    if [ -f $1 ]
    then
    echo "Archive [$1] existante : OK."
    else
    echo "L'archive spécifiée [$1] n'existe pas."
    exit
    fi

    # Réalisation d'une sauvegarde
    cp $1 $1.bak
    echo "Sauvegarde : OK [$1.bak]"

    # On la compresse au format bz2
    # ----- Ne détruit pas les fichiers d'origine,
    # ----- Taux de compression : 9,
    # ----- écrasement fichier existant
    bzip2 -k9fv $1
    echo "Compression format bz2 : OK"

    # On la compresse au format gz
    # ----- Taux de compression 9
    gzip -9v $1
    echo "Compression format gz : OK"

    # On restaure l'archive tar originale
    mv $1.bak $1
    echo "Rétablissement archive tar originale : $1"

    # ------------------ Fin du script ---------------------
    # --------- Tux Punx ----------
    # ------------------------------------------------------

     

    Rechercher/remplacer
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    La commande shell qui permet d'effectuer un rechercher/remplacer dans un fichier est sed.

    Exemple :

    sed "s/ChaineRecherchee/Remplacement/g" le_fichier > le_nouveau_fichier

    Remarque : la chaîne qui suit sed est une expression régulière, c'est à dire qu'elle offre de nombreuses possibilités (jokers, etc.), trop longues à expliquer ici (mais un man regexp ou man -k regexp devrait vous renseigner)

     

    Convertir les pages man en pdf
      Par : Xavier <xgarreau chez club tiret internet point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Vous voulez vous initier au bash (par exemple) et on vous a dit de faire man bash, seulement voilà, vous êtes allergique aux pages de manuel !

    Cette astuce va vous permettre de vous faire un pdf à partir de la page de manuel.

    Tapez :
    man -t bash > bash.ps
    ps2pdf bash.ps && rm -f bash.ps

    Vous aurez ainsi un fichier bash.pdf que vous pourrez lire, comme un autre, avec xpdf, Ghostview ou Acrobat reader par exemple..

     

    Supprimer un fichier commençant par
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Qui n'a jamais fait une fausse manipulation dans ses commandes shell et se retrouve avec un fichier ayant un nom "-s" par exemple.
    Un rm -s se marchera pas (rm croyant qu'on lui passe l'option -s).

    Il alors faut utiliser l'option "fin de commande" symbolisée par "--". Pour notre exemple alors il suffit de faire:
    rm -- -s

    Note : -- est utilisable pour toutes les commandes shell.

     

    Rechercher du texte dans une page man
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Ctrl+F ne donnera rien ;-).
    Si votre PAGER1 est less, vous pouver chercher du texte en tapant :
    /texte puis [Entrée]
    Puis :
    * chaque pression sur la touche [n] (comme next) ira à la prochaine occurrence de texte,
    * chaque pression sur la touche [N] ira à l'occurrence précédente de texte.

    1Note du modérateur :
    * pour connaître votre pager (i.e. le programme qui permet d'afficher du texte page par page), tapez echo $PAGER.

    * cette astuce fonctionne également avec le pager more, cependant pour chercher la prochaine occurence, tapez simplement / puis [Entrée].

     

    Sections de manuel ?
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Si vous vous servez un tant soit peu des pages de manuel (et c'est conseillé !), vous avez déjà du rencontrer le problème :

    Vous êtes en train de développer un ptit truc en C et vous ne vous rappelez plus de la syntaxe de la fonction read.
    Vous tapez donc man read et ...
    ... Vous tombez sur bash built-in commands. ARRGH, déception et peste la vérole.

    La solution est toute simple, les pages de manuel sont réparties en sections numérotées de 1 à 9 plus la section n.

    Pour consulter une page d'une section particulière, il faut le dire à man.

    Chez moi :
    - man read me donne read dans les Bash built-in commands,
    - man 2 read me donne read, en C,
    - man n read me donne read, en TCL.

    Note de Le Felis (LeFelis chez bigfoot com):
    La commande man -a la_commande, qui affiche toutes les pages
    que man dispose sur le sujet. On passe d'une section a l'autre par la touche q.

    Note du modérateur :
    Sans argument de section, man renvoie la première page trouvée.
    les différentes sections sont :

    1 - Commandes Generales (comme cd, ls, echo, etc.)
    2 - Appels Système (fonctions en C)
    3 - Sous-routines (fonctions en C)
    4 - Fichiers spéciaux
    5 - Formats de Fichiers (fstab, crontab, hosts, etc.)
    6 - Jeux
    7 - Macros et Conventions
    8 - Commandes de Maintenance (chmod, chown, init, lpd, mount, reboot, mk*fs, etc.)
    9 - Interface du Kernel (fonctions en C)
    n - Nouvelles Commandes (dont pas exemple les fonctions TCL)

    Vous pouvez trouver les pages de man sur le web à l'adresse http://www.openbsd.org/cgi-bin/man.cgi (ces pages de manuel sont destinées à OpenBSD mais la plupart du temps valables aussi pour Linux)

     

    ls en couleurs
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour avoir ls en couleur il faut taper ls --color. C'est bien me direz vous mais c'est chiant au possible à taper à chaque fois !

    CERTES. Les solutions :
    Ou alors, ce n'est que pour vous et vous ajoutez une ligne dans ~/.bashrc,
    Ou alors votre root bien aimé vous ajoute gentiment une ligne dans /etc/bashrc (si on utilise bash comme shell et qu'il est bien rangé là)

    Voici la ligne en question :
    alias ls="ls --color"

    Vous allez vous empresser de me répondre : "oui mais quand je pipe1 le résultat de ls dans autre chose, j'obtiens des caractères bizarres.

    J'ai pensé à vous et les concepteurs de linux aussi (bien avant moi).
    Remplacez donc la ligne sus-mentionnée par :
    alias ls="ls --color=auto" et le tour est joué !

    Faites un ls | less dans les deux cas pour vérifier, euh, si vous avez less (sinon utilisez more...) ;-)

    tshaw, a+

    1Note du modérateur : le pipe est le caractère "barre verticale" ou '|'. Ce caractère spécial permet de faire des redirections de la sortie d'une commande dans l'entrée d'une autre.
    (voir dans l'article sur le shell, les redirections).

     

    Exécuter une succession de commandes dépendantes
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Tapez vos commandes dans l'ordre séparées par &&.
    Elles seront ainsi traitées dans l'ordre jusqu'à ce qu'il y ait une erreur.

    Ex : ./configure && make && make install

    Vous pouvez ainsi vous faire un café en installant The GIMP1.2 (merci papa Noël)

     

    Naviguer dans le résultat d'une commande
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour ça tapez la commande suivie de "| less".
    Vous pouvez alors :
    - naviguer dans la sortie grâce aux touches haut et bas.
    - rechercher du texte en tapant : / mot_à_chercher puis [Entrée]
    Note du modérateur : si less n'existe pas sur votre système, essayez more

     

    Un rpm est-il installé (version console)
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour savoir si un rpm est installé, tapez dans un shell (une console) :
    $ rpm -qa | grep nom_ou_partie_du _nom_du_rpm_recherché

    Par exemple, pour savoir si vous avez kde et les rpm contenant "kde", tapez :
    $ rpm -qa | grep kde

     

    Trouver dans quel package rpm se trouve un fichier donné
      Par : Fred <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Vous avez une liste de RPMs dans /mnt/cdrom/Mandrake/RPMS (le cd d'installation de la Mandrake par exemple) et vous souhaitez installez le RPM contenant le fichier 'bidule', mais vous ne savez pas dans quel RPM celui-ci se trouve...

    La solution :

    for i in /mnt/cdrom/Mandrake/RPMS/*rpm ; do if rpm -qpl $i | grep bidule > /dev/null ; then echo $i ; fi ; done

    et voilà ! vive le shell !

    Note du modérateur : selon les distributions, les RPMs peuvent se trouver dans d'autres répertoires. Par exemple, pour une Redhat : /mnt/cdrom/Redhat/RPMS, etc.

     

    Taper les nom de fichiers contenants des espaces
      Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Supposons que vous ayez un fichier nommé : "Mes documents" (par exemple y celui de win$$$) et que vous souhaitiez le déplacer vers /bidule

    Si vous tapez:

    mv Mes documents /bidule vous obtenez une erreur !

    Il faut en fait taper :

    mv "Mes documents" /bidule
    ou
    mv Mes\ documents /bidule

    Ceci fonctionne aussi avec d'autre caractères spéciaux comme '\' ,'/' etc.

     

    Travailler sur un ensemble de fichiers
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Remarque : les commandes qui suivent sont à taper sur une seule ligne de commande.

    Comment rechercher dans /home/jice (par exemple) tous les fichiers plus récents qu'une date donnée ?
    Créez un fichier temporaire (on l'effacera par la suite) à la bonne date par :
    touch -t 199912251615 fichier.tmp
    (cela crée le fichier fichier.tmp, avec comme date de dernière modif le 25/12/1999 à 16h15).
    Ensuite, tapez :
    find /home/jice -newer fichier.tmp -print
    pour en afficher la liste (voir man find pour les autres options de find).

    Comment travailler (copier, renommer, etc.) sur des fichiers de façon globale ?
    C'est en même temps moins simple que sous DOS (où un simple "ren *.htm *.php3" suffit, mais beaucoup plus puissant car cela permet de faire des choses totalement innaccessibles avec DOS).
    La syntaxe générale est assez simple à se souvenir, car la structure de la commande est toujours la même :
    on utilise soit une boucle for (pour un travail cantonné au même répertoire) soit la commande find (pour un travail récursif sur les sous-répertoires), puis on exécute la commande voulue sur chaque fichier.
    Par exemple, pour renommer tous les fichiers .htm en .php3:
    for i in *.htm; do mv $i `echo $i | sed "/.htm/s//.php3/"`; done
    ou
    find . -name "*.htm" -exec mv {} `echo {} | sed "/.htm/s//.php3/"` \;
    Equivalent DOS :
    ren *.htm *.php3

    Explications :


    De même, pour renommer tous les fichiers commençant par "toto" en fichiers commençant par "titi" :

    for i in toto*; do mv $i `echo $i | sed "/^toto/s//titi/"`; done
    (ren toto*.* titi*.* en DOS)

    Pour changer le "toto" présent dans le nom des fichiers en "titi", où qu'il se trouve (début, fin, ou milieu) :
    for i in *toto*; do mv $i `echo $i | sed "/toto/s//titi/"`; done
    (pas d'équivalent en DOS)

    Pour copier tous les fichiers finissant par .htm ou .html vers le même nom auquel on ajoute .bak :
    for i in *.htm*; do cp $i $i.bak; done
    la même chose, mais récursivement sur tous les répertoires :
    find . -name "*.htm*" -exec cp {} {}.bak \;
    (pas d'équivalent en DOS)

    Bref, la structure qui modifie le nom du fichier est globalement toujours la même : "commande $i `echo $i | commande_qui_transforme_$i`" (pour modifier la valeur de $i, voir les pages de man de sed, tr...), ou "commande $i append$iprepend" (pour ajouter avant et/ou après $i). Voir également ci-dessous :

    Comment renommer automatiquement des fichiers de manière à remplacer les espaces par des underscores, et supprimer les accents en conservant les majuscules ?
    Tapez sur une seule ligne de commande :
    for i in * ; do mv "$i" `echo $i | tr "àçéèêëîïôöùüÂÇÉÈÊËÎÏÔÖÙÜ " "aceeeeiioouuACEEEEIIOOUU_"` ; done
    (merci à Charles Goyard pour ses remarques)
    Un bon exercice peut être de trouver comment faire la même chose mais sur les fichiers du répertoire et de ses sous-répertoires (utilisez find !)

    Comment effacer tous les fichier *.tmp dans un répertoire et ses sous-répertoires ?
    Nous allons utiliser find :
    find . -name "*.tmp" -exec rm -f {} \;
    (les accolades {} sont remplacées par le nom du fichier en cours).

     

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    Logiciels

    Des trucs et astuces sur les logiciels.
    Utiliser Mozilla en local
      Par : J-Michel Fayard <jean tiret michel point fayard chez moufrei point de>
      Dernière mise à jour : 13/02/2003

    Supposons que vous vouliez consulter la documentation de mplayer. En gourou d'Unix, vous faîtes :

    $ cd /usr/share/doc/mplayer-*/French/

    L'aide se trouve être au format html. Pour l'afficher, vous tentez :

    $ mozilla index.html

    Le résultat bien décevant est : www.index.html not found

    La commande correcte permettant d'ouvrir le fichier dans une nouvelle tabulation si mozilla est lancée est :

    mozilla -remote "openfile( /usr/share/doc/mplayer-0.90/French/documentation.html, new-tab) "

    Pratique, mais un peu long. Nous avons trouvé là un prétexte pour faire un script shell.

    Enregistrez le script suivant dans un dossier se trouvant dans votre variable PATH, modifiez-en la troisième ligne, puis rendez-le exécutable grace à la commande :

    $ chmod u+x html

    Dorénavant, la commande html un_fichier.html lance mozilla pour afficher ce fichier, ou l'affiche dans un nouvel onglet si un navigateur est déjà lancé.

    Le script html :

    #!/bin/bash
    # Script "html" : ouvre un fichier html dans mozilla dans un nouvel onglet.
    export mozilla=/usr/local/bin/phoenix

    # ESR veut une variable BROWSER comme il existe déjà
    # $EDITOR et $VISUAL : http://www.tuxedo.org/~esr/BROWSER
    test -x "$BROWSER" && mozilla="$BROWSER"

    # Vérifions que le mozilla est bien un éxécutable:
    test -x "$mozilla" || {
       echo "Impossible d'éxécuter le navigateur \"$mozilla\". Veuillez positionner la variable \$BROWSER"
    exit 1
    }

    case "$1" in
       "" ) # pas de fichier
          echo "Usage : $0 fichier_html.html"
          exit 2 ;;
       /* ) # nom absolu
          fichier=$1 ;;
       * ) # nom local
          fichier=$PWD/$1 ;;
    esac

    # Vérifier que le fichier spécifié existe bien
    test -r $fichier || {
       echo "Le fichier $fichier n'existe pas" ;
       exit 3 ;
    }

    $mozilla -remote "ping()"
    if [ "$?" -eq 0 ]
    then
       # un mozilla est déjà lancé : on ouvre le fichier dans une tabulation
       $mozilla -remote "openfile( $fichier , new-tab) "
    else
       # on lance mozilla
       $mozilla "$fichier" &
    fi

     

    Capturer l'écran (même celui du display manager - kdm, gdm...)
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 10/03/2003

    La méthode est simple, mais il faut en avoir l'idée ;)

    Cela nécessite que ImageMagick soit installé sur votre système.

    Démarrez votre système ou terminez votre session afin d'afficher l'écran de démarrage. Passez sur une console texte ([Ctrl]-[Alt]-[Fn], où n est 1, 2, ... 6) et connectez-vous en root.

    Dans cette console, tapez :
    # ps axw | grep -- "-auth" | grep -v grep
    9263 ? R 0:19 /usr/X11R6/bin/X -auth /var/run/xauth/A:0-pmbpGb
    Cette dernière ligne peut varier, ce qui est important est en gras, il faut recopier très précisément le votre dans la ligne suivante :
    # xauth merge /var/run/xauth/A:0-pmbpGb
    # export DISPLAY=":0.0"
    # import -window root image.ext

    image.ext est le nom de l'image que vous voulez enregistrer.

    Là, vous entendez quelques bips, si import ne rend pas la main, retournez sous X ([Ctrl][Alt][F7]) et cliquez n'importe où.

    Si votre image ne comporte que des parasites, essayez plutôt dans la console :
    import image.ext
    Puis retournez sous X, et cliquez sur le fond d'écran.

    Note 1 : import de ImageMagick reconnaît l'extension et enregistre le fichier au bon format (png, jpg...). Vous pouvez remplacer ":0.0" par ":0.1" pour copier votre deuxième écran en mode "multihead".

    Note 2 : on peut aussi capturer l'écran de fin de session de KDE ou Gnome (et des autres ;) avec cette méthode.

    Note 3 : Cette méthode peut aussi servir dans un script et donc permettre par exemple de faire des copies d'écran à intervalles réguliers en mettant un script dans la crontab de root.

    Note 4 : durant mes tests, il m'est arrivé d'être bloqué sous X : la souris transformée en croix, et plus rien ne répond. Retournez alors dans une console et répétez la manip avec import, cela règlera le problème.

     

    Entrer du texte japonais avec un Mandrake 8.2 configurée pour le français
      Par : Jérôme <jerome point blanc chez nerim point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour pouvoir entrer du texte en japonais, il faut tout d'abord installer quelques paquetages. Il faut au minimum installer les suivants :

    locales-ja
    FreeWnn
    kinput2-wnn4
    fonts-ttf-japanese

    Ensuite, il faut lancer le serveur FreeWnn puis kinput2-wnn4.
    Il faut également que 2 variables d'environnement soient définies :
    XMODIFIERS="@im=kinput2"
    LC_CTYPE=ja_JP

    Ensuite, il suffit de taper SHIFT-Espace pour taper en japonais. Se reporter au manuel de Kinput et FreeWnn pour plus de détails et pour connaître leur mille et une facettes.

     

    Maple7 et Linux Mandrake 8.1 et suivantes
      Par : noothuy <noothuy chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Merci à Rutger Noot pour son aide.

    Après l'installation, vous remarquerez peut-être que Maple marche mais pas xmaple, qui plante tout de suite, après des messages d'erreurs du style :
    /usr/local/maple_su/bin.IBM_INTEL_LINUX/maplew: Symbol `__vt_8iostream.3ios' has different size in shared object, consider re-linking.

    Sur le site de Maple, le problème est connu : c'est la librairie libstdc++ de LM 8.1 qui est incompatible avec Maple 7. En revanche, la librairie qui vient avec LM 7.2 marche convenablement.
    Le problème est que si l'on remplace le package lidstdc++ par celui de LM 7.2, on la remplace pour tout le système, ce qui risque de le rendre instable.

    Il faut utiliser la variable d'environnement LD_PRELOAD pour éviter ce problème. Je suppose que Maple est installé dans /usr/local/maple_su.

    Téléchargez la librairie libstdc++-3-libc6.1-2-2.10.0.so qui vient avec LM 7.2. (A partir de ma page web: http://noothuy.free.fr/LM81, ou à partir d'un site distribuant le rpm de libstdc++ de LM 7.2).
    Installez-la par exemple dans /usr/local/maple_su/bin.IBM_INTEL_LINUX.

    Il faut maintenant que xmaple charge d'abord cette librairie plutôt que celle du système. Editez pour cela le script xmaple qui se trouve dans /usr/local/maple_su/bin.

    Juste après les commentaires du début, rajoutez les deux lignes (la première est un commentaire):
    # First define path to convenient c++ library
    export LD_PRELOAD=/usr/local/maple_su/bin.IBM_INTEL_LINUX/libstdc++-3-libc6.1-2-2.10.0.so

    Et le tour est joué, xmaple fonctionne.

     

    Comment créer des fichiers postscripts ou PDF sans latex
      Par : raidate <raidate chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    L'usage de Latex est vivement conseillé pour la création de fichiers au format PDF ou PostScript. Cependant, il est complexe de le maîtriser. Par contre, il est possible de créer des fichiers de ce type avec des logiciels wysiwig (par ex. traitement de texte). Je prendrai l'exemple d'Abiword.

    Niveau: débutant
    Temps: quelques secondes
    Logiciels:
    - Linux + X
    - Abiword
    - Ghostscript
    - Un logiciel de visualisation
    recette:

    1. Ouvrir Abiword
    2. Tapez sur le clavier de telle sorte que des mots s'affichent (pas le plus compliqué), voire juste des lettres
    3. Emmenez votre souris sur "fichier" en haut à droite, puis appuyez sur le bouton gauche de la souris
    4. Cliquez sur imprimer
    5. Cochez la case en bas "imprimer dans un fichier"
    6. Vous pouvez alors choisir "Postscript ou imprimante virtuelle PDF", choississez ce que bon vous semble
    7. Si postscript, appuyez sur imprimer, et là, un fichier nommé arbitrairement avec l'extension ps est créé dans votre repertoire /home, si PDF, entrez le nom du fichier, puis sur imprimer, et là, le fichier PDF est créé.

     

    Installation de perl5.6
      Par : alaide <alaide chez nexen point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Lors du make test (après avoir tapé ./configure et make), si vous avez des erreurs sur certaines fonctions réseau, vérifiez que vous pouvez faire sans erreur un ping au moins sur votre machine.
    Sinon, activez l'interface loopback en tapant ifup lo (faut être root ?).

     

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    Logiciels>bureautique

    Utiliser xdvi (ou kdvi) en liaison avec l'éditeur du document source latex ou tex
      Par : noothuy <christine point noot chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Ce qui suit marche pour les versions suivantes de linux (Mandrake 9.0 ou Red Hat 8.0 (non testé) et sans doute debian unstable). Il s'agit d'expliquer comment faire interagir xdvi (ou kdvi) avec tout éditeur acceptant un comportement client-serveur (Emacs, nedit, gvim (ou vim compilé avec la bonne option)). L'éditeur kile (ex ktexmaker) a un comportement analogue à celui de kdvi. Faute de connaître les autres éditeurs, les exemples sont donnés avec gvim (ou vim).

    1-Configuration du fichier source.

    Si nécessaire mettre les fichiers srcltx.sty et srctex.sty dans le même répertoire que le document source.
    (Cela ne devrait pas être nécessaire ! et ce ne l'est pas sous Mandrake et Red Hat ou debian)

    Ensuite, mettre la ligne suivante au début du document latex:
    \usepackage[active]{srcltx}

    Pour un fichier teX:
    \include{srctex}

    2-Configuration de xdvi.

    Lancer xdvi avec l'une des commandes suivantes:
    xdvi -editor 'editor' file.dvi &
    où 'editor' a l'une des valeurs suivantes (dépendant de votre
    éditeur) :
    emacsclient --no-wait +%l %f pour emacs
    gnuclient -q +%l %f
    nc +%l %f (nedit)
    gvim --remote-wait +%l %f (gvim)
    xterm -e vim --remote-wait +%l %f (vim compilé avec l'option client-serveur)

    Dans le fichier xdvi, cliquer sur CTRL+bouton gauche de
    la souris et le curseur de votre éditeur se positionne à l'endroit
    correspondant.

    Pour automatiser cela, on peut définir une variable shell XEDITOR
    ou une variable de .Xdefaults xdvi.editor. Par exemple, si on
    ajoute la ligne suivante dans le .Xdefaults, xdvi se lance automatiquement avec l'option -editor (gvim ici).
    xdvi.editor: gvim --remote-wait +%l %f
    On rappelle que tout changement de .Xdefaults doit être suivi de la
    commande 'xrdb -load ~/.Xdefaults' pour être suivi d'effets.

    Ce genre d'interactions est souvent exploité par les virus. Pour désactiver ce comportement de xdvi (par exemple sur un fichier dvi téléchargé sur le web),
    Il suffit d'invoquer
    xdvi -safer file.dvi

    Réciproquement:

    3-Configuration de l'éditeur.

    Inversement, si on appelle xdvi dans l'éditeur, alors que le curseur
    est situé ligne l colonne c par la commande:
    xdvi -sourceposition l:cfile.tex file.dvi
    la fenêtre xdvi déjà ouverte se positionne à l'endroit correspondant du fichier dvi. (Attention: file.tex est bien collé à 'c', même si c'est bizarre). Il faut donc configurer l'éditeur

    3.1-gvim
    Par exemple, pour gvim (ou vim), la macro suivante nous envoie à l'endroit correspondant du fichier dvi.
    Créer un fichier qui s'appelle xdvi_source.vim avec le contenu suivant:

    " This script calls xdvi source
    "
     :let $LINE = line(".")
     :let $COL = col(".")
     :exec "silent !xdvi -sourceposition ".$LINE.":".$COL."%".' '."%:r.dvi"


    Pour l'éxécuter, lancer:
     :so xdvi_source.vim
    dans votre fichier.
    Le raccourcis suivant a pour effet d'invoquer xdvi au bon endroit
    en pressant simultanément sur les touches CTRL et ->
     :noremap  :so xdvi_source.vim




     

    Accélérer le lancement de OpenOffice
      Par : SuperJoker <superjoker chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Le principe est de charger une partie de OpenOffice (qui sera donc résident en mémoire) afin d'accélérer le chargement des applications. Un peu de temps gagné si vous utiliseez fréquement OpenOffice, mais aussi un peu de mémoire occupée ;-)

    Chargement en mémoire (à mettre dans le dossier de démarrage de Kde, Gnome, ou ~/GNUstep/Library/WindowMaker/autostart si vous êtes sous WindowMaker)

    /chemin_vers_OO/OpenOffice.org1.0.1/soffice -plugin -quickstart &


    Puis, pour charger une application OpenOffice:

    swriter
    /chemin_vers_OO/OpenOffice.org1.0.1/soffice private:factory/swriter &

    scalc
    /chemin_vers_OO/OpenOffice.org1.0.1/soffice private:factory/scalc &

    simpress
    /chemin_vers_OO/OpenOffice.org1.0.1/soffice private:factory/simpress &

    sdraw
    /chemin_vers_OO/OpenOffice.org1.0.1/soffice private:factory/sdraw &

    Note: si vous êtes sous WindowMaker, utilisez plutot le dockapp Woo.

     

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    Logiciels>multimedia

    Gestion des accents sous X-chat
      Par : tidiable <tidiable chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 19/07/2003
    Aller dans le menu déroulant X-chat / liste des serveur. Quelque part à l'écran, un menu déroulant proposant des jeux de caractères...
    Sélectionner iso 8859-1 (western Europe), fermer le xchat, et le relancer. Le tour est joué. Merci martial pour l'astuce ! ;o)
    Hop!

     

    Avoir TOUS ses mp3/ogg dans sa playlist XMMS simplement
      Par : Jean-Thomas MUYL (maston28) <jtmaston chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 17/06/2003

    Si vous etes comme moi, vous devez avoir une dizaine de répertoire pour les mp3 qui se promenent un peu partout, sur des disques différents, avec des File Systems différents, etc. Voici la solution pour pouvoir les rassembler rapidement et facilement...

    Je pars du principe que vous avez locate et que la base de donnée est à jour et contient bien les répertoires en question.

    #!/bin/sh
    IFS='
    '
    for i in `locate -i *.mp3`
    do
    i=`echo $i | tr " " "\\ "`
    ln -s $i /home/maston28/listemp3/
    done

    Vous n'avez plus qu'à exécuter le script ! et à faire "+dir" dans xmms, puis choisir le répertoire ou sont tous les liens symboliques (ici /home/maston28/listemp3).
    Bons MP3s !!

     

    Convertir la piste son d'un DVD en CD audio (2)
      Par : Zragg <zragg point tazz chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 22/05/2003

    L'astuce d'Olivier m'a intéressée mais ce qui me génait, c'était de passer par une compression avec perte non libre.
    J'ai donc cherché et voilà ma trouvaille.

    Logiciel indispensable : mplayer

    Logiciel utile : de quoi graver ;-p

    Pour récupérer les pistes, il suffit de taper une ligne de commande du type :

    mplayer -vo null -aid <<piste audio>> -ao pcm -aofile Fichier.wav -dvd <<titre>> -chapter <<chapitre de debut>>-<<chapitre de fin>>

    Par exemple pour extraire la piste son japonais (160) du chapitre 3 du titre 1 du dvd (/dev/dvd)

    mplayer -vo null -aid 160 -ao pcm -aofile Final_Distance.wav -dvd 1 -chapter 3-3

    Il ne reste plus qu'à graver les wav-s obtenus

     

    Economiser de la place pour ses skins xmms et winamp 2.x ...
      Par : The Nasty Boy <thenastyboy chez gruik point net>
      Dernière mise à jour : 21/04/2003

    C'est extrêmement simple mais il fallait y penser, lol !

    Il suffit de créer un lien symbolique dans le dossier Skins de Xmms, lequel pointe vers un skin Winamp 2.x .

    Exemple :

    # cd /usr/share/xmms/Skins
    # ln -s /mnt/nt/Program\ Files/Winamp/skins/Barbare.wsz Barbare.wsz

    Et voilà! Tous vos skins Winamp dispos sous Xmms sans avoir à copier les fichiers, d'où un certain gain de place, si comme moi vous avez beaucoup de skins...

    Version de Xmms avec laquelle a été testée cette astuce :
    xmms-1.2.7-13mdk

    NB : vous devez avoir accès au dossier /usr/share/xmms/Skins en écriture et accès au dossier Skins de Winamp en lecture (au moins). Si besoin, passez en root.

    Pour aller plus loin il est possible de supprimer carrément le répertoire Skins de Xmms, et de créer un lien symbolique nommé Skins qui pointe vers le dossier Skins de Winamp 2.x ... cela donne donc pour la manip :

    # cd /usr/share/xmms/
    # ln -s /mnt/nt/Program\ Files/Winamp/Skins Skins

    NB: il faut bien entendu avoir l'accès écriture au dossier de Xmms et en lecture pour celui de Winamp/Skins. De plus il ne faut pas oublier de supprimer le répertoire Skins de Xmms ! Et pour une idée de la place économisée :
    Taille du répertoire /mnt/nt/Program\ Files/Winamp/Skins : 6.7 Mo
    Taille du lien symbolique : 34 octets !

    Qui dit mieux ?

     

    Faire fonctionner GnomeMeeting avec sa camera video est une carte TV
      Par : Dan Carbone <dan point carbone chez netcourrier point com>
      Dernière mise à jour : 30/03/2003
    Avec une caméra vidéo analogique ou numérique(avec sortie analogique) et une carte tuner TV avec entrée vidéo, il est possible de faire de la video conférence grâce à GnomeMeeting; il suffit simplement de régler le canal vidéo sur 2 et l'image apparaitra!

     

    Ripper des CD avec les noms des pistes, en ligne de commande (script)
      Par : Mimile <emile point c chez voila point fr>
      Dernière mise à jour : 20/02/2003

    Dans un premier temps on lit un CD Audio via xcdroast en prenant soin de ne pas oublier le "Query CDDB" au passage. Ensuite, viennent les choses sérieuses avec le p'tit script Rename_tracks qui permet de convertir en MP3 (facile!) et dans la foulée de renommer le fichier résultat de bladeenc sous la forme Artist_Numéro-Du-Morceau_Titre.mp3. Bonne lecture et à vos CD's !!!

    PS : Bladeenc se trouve sur le site WEB http://bladeenc.mp3.no.

    ----------------- cut here -----------------
    
    #!/bin/csh -f
    ######################################################################
    # On suppose que l'utilisateur est connecté à Internet lorsqu'il lance
    # xcdroast et peut ainsi faire un QUERY CDDB lorsqu'il lit le CD audio
    # d'origine. Le but de la manip consiste à renommer le fichier MP3
    # (track-01.mp3, une fois le format WAV encodé) en quelque chose de +
    # compréhensible "Artist_Track#_Title.mp3" pour tous les titres d'un
    # album !! On part du principe que bladeenc est DEJA installé sous le
    # répertoire /usr/local/bin. Enjoy,
    #
    # E.Carcamo - Wed Feb 19 19:54:53 CET 2003
    ######################################################################
    
    rm -f track*.inf >& /dev/null
    foreach morceau ( track*.wav )
      echo "/usr/local/bin/bladeenc $morceau $morceau:r.mp3 && rm $morceau"
      sleep 1
      /usr/local/bin/bladeenc $morceau $morceau:r.mp3 && rm $morceau
    
      set fichinfo = `echo $morceau:r.xinf`
      set artiste = `grep ^cd_cddb_dtitle $fichinfo | awk -F= '{print $2}' |
    sed -e "s/\/.*//" -e 's/"//g' -e "s/ /_/g" -e "s/^_//"`
      set titre = `grep ^cddb_ttitle $fichinfo | awk -F= '{print $2}' | sed -e
    's/"//g' -e "s/\///g" -e "s/ /_/g"`
      set rank = `grep ^track $fichinfo | awk -F= '{print $2}' | sed -e "s/
    //g" -e "s/of/-of-/" -e "s/\(.*\)/_\1_/"`
    
      echo "mv $morceau:r.mp3 ${artiste}${rank}${titre}.mp3 && rm $fichinfo"
      sleep 1
      mv $morceau:r.mp3 ${artiste}${rank}${titre}.mp3 && rm $fichinfo
    end
    ----------------- cut here -----------------

    Note du modérateur : il faut avoir au préalable récupéré les noms des pistes avec xcdroast.

    Note 2 : il existe des scripts tout faits : abcde par exemple (disponible sous Debian).

     

    Convertir la piste son d'un DVD en CD audio
      Par : Olivier <olivier67 chez libertysurf point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Afin de pouvoir écouter un DVD d'un concert dans ma voiture ( mon autoradio refuse de lire les DVD ... ), voici la petite astuce utilisée :

    A l'aide de chaplin , repérer l'ensemble des chapitres à convertir.

    Ensuite, à l'aide de transcode, encoder le titre/chapitre en mp3. Dans l'exemple suivant, la piste son est encodée en 256 kb/s et il s'agit du chapitre 3 du titre 1 du dvd :

    /usr/bin/transcode -b 256,0,5 -p /dev/dvd -T 1,3 -y raw -m track101.mp3

    Convertir ensuite en wav le mp3 généré :

    mpg123 -v -r 44100 -w waves/02.wav track101.mp3

    Et graver les wav obtenus avec gtoaster par exemple.

     

    Ecouter Oui FM, Fun Radio, Skyrock...
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 24/06/2003

    Pour écouter une radio diffusant au format windows media player, il faut récupérer l'adresse commençant par mms:// dans le code html du player (pas évident car il y a souvent plein de cadres, ou des sous-fichiers .asx à ouvrir...), et le lancer avec mplayer *.
    Par exemple, pour écouter Oui FM :
    $ mplayer -nocache mms://vipbu.yacast.fr/encoderouifm
    Et ça marche !!!

    Liste d'adresses mms://

    Oui FM mms://vip7.yacast.fr/encoderouifm
    mms://vipbu.yacast.fr/encoderouifm
    Fun MP3 mms://vip2.yacast.fr/encoderfun1
    mms://vipbu.yacast.fr/encoderfun1
    Fun Radio mms://vip2.yacast.fr/encoderfun
    Skyrock mms://vipbu.yacast.fr/encoderskyrock
    mms://vip3.yacast.fr/encoderskyrock
    NRJ mms://vip1.yacast.fr/encodernrj
    mms://vipbu.yacast.fr/encodernrj
    Nostalgie mms://vip1.yacast.fr/encodernostalgie
    Radio Nova mms://wmbcast.tvradio-global.speedera.net
    /wmbcast.tvradio-global/wmbcast_tvradio-global_mar062002_0531_12963
    Chérie FM mms://vip1.yacast.fr/encodercheriefm
    Le Mouv' mms://viptvr.yacast.fr/encoderlemouv
    RFM mms://wmbcast.rfm.speedera.net
    /wmbcast.rfm/wmbcast_rfm_nov292001_1220_12958
    Europe 2 mms://a1234.m.akastream.net/D/1234/5905/001/reflector:21100
    RTL2 mms://vipbu.yacast.fr/encoderrtl2

    Voir ce site ou celui-ci pour une liste de radios emettant en mms, mp3, realaudio... Pour les radios mms, il suffit de récupérer l'adresse dans les fichiers .asx.
    Si vous voulez qu'on ajoute une adresse ici, envoyez-moi un mail, avec le nom de la radio et son URL, ainsi que l'URL mms:// si vous la connaissez...
    (Merci à Tony Byet pour les liens mms proposés, et merci à EcliptuX pour l'adresse de ce forum où vous trouverez plein de liens mms français)

    Remarques :

    Remarques techniques :

    Le retour de l'astuce : créez des icônes sur votre bureau pour jouer les radios d'un seul clic ! Dans KDE par exemple, faites un clic droit sur le bureau, nouveau -> lien vers une application, puis onglet Exécution, Commande: mettez la commande mplayer correspondante, précédée de "killall player" afin de pouvoir zapper (par exemple : "killall mplayer ; mplayer -nocache -ao arts mms://vipbu.yacast.fr/encoderskyrock"). Faites aussi une icône "stop radio", avec comme commande : "killall mplayer". Et voilà :)

    Bref, je voulais dire qu'on peut utiliser celà de manière simple
    avec un petit coup d'alias et de complétion programmable :

    Une variante proposée par Jean-Michel FAYARD
    Pour simplifier encore l'utilisation grâce aux alias et à la complétion. Voici le contenu de mon .bashrc :

    # $HOME/.bashrc
    # il y a déjà le mplayer (G)raphique, voici celui pour les (R)adios
    alias rmplayer="mplayer -nocache "
    # completion programmable sur les URLs qui vont bien
    complete -W " 'mms://vip7.yacast.fr/encoderouifm'
    'mms://vipbu.yacast.fr/encoderouifm'
    'mms://vip2.yacast.fr/encoderfun1'
    'mms://vipbu.yacast.fr/encoderfun'
    'mms://vip1.yacast.fr/encodernrj'
    'mms://vipbu.yacast.fr/encodernrj'
    'mms://vip1.yacast.fr/encodernostalgie'
    # etc, pareil pour toutes les autres urls
    " rmplayer

    Suivant le bureau que vous utilisez, vous pouvez changer l'alias:
    exemple pour KDE :
    alias rmplayer="mplayer -ao arts -nocache"

    Utilisation :
    simple, tapez juste
    rmplayer ' (un guillemet) [TAB]

    (n'oubliez pas le guillemet, sinon ça ne marche pas). La liste des radios qu'il faut apparaît après avoir appuyé sur la touche [TAB].

    * voir la fiche de mplayer dans la logithèque. Pour installer mplayer sur une Mandrake (avec support des dvd cryptés et tout et tout), le moyen le plus simple est de visiter le Penguin liberation front, de l'installer comme spécifié sur la première page, puis taper : "urpmi mplayer".

    Nouveau :
    Grâce à la pression de la communauté du libre, Radio France (France Inter, France Info, France Culture, France Musiques, FIP, Le Mouv', Hector, La cityradio de Paris) diffuse maintenant en ogg vorbis : http://www.radiofrance.fr/services/aide/difflive.php#ogg.

    Greg nous informe que les URLs mms:// fonctionnent également avec Real Player One.

     

    Ripper simplement des mp3/ogg avec Konqueror
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Konqueror offre une façon très simple de ripper des mp3 ou des ogg.
    Pour ce faire, ouvrez une fenêtre Konqueror, dans la barre d'adresse tapez : audiocd:/ et entrée. Vous allez vous retrouver sur le CD audio, avec des répertoires supplémentaires : ogg et/ou mp3.
    Si vous êtes connectés à internet à ce moment là, le nom des morceaux dans les répertoires aura de plus été récupéré (grâce à cddb).
    Il ne vous reste plus qu'à copier les pseudo-fichiers de ces répertoires quelque part sur votre disque dur et le tour est joué.

     

    Enregistrer du son avec Yarec
      Par : Mimile <emile point c chez voila point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    1 - Lancer un mixeur (par exemple kmix) et sélectionner l'entrée LINE comme source d'enregistrement (voyant rouge "Recording" allumé). Monter le volume sur l'entrée LINE.

    2 - Brancher la sortie LINE de la source (platine K7...) sur l'entrée LINE de la carte son.

    3 - Démarrer yarec comme ceci : yarec -r 44100 -b 16 -c 2 toto.wav : Enregistrement à 44.1 Khz, sur 16 bits et 2 canaux (pour la stéréo!!)

    4 - Enclencher le bouton rouge Record sur la fenêtre yarec. Arrêter en fin d'enregistrement. Sortir de yarec. Avantages : yarec indique de manière permanente la durée de l'enregistrement et... l'espace disque consommé par le fichier .wav

    5 - Le fichier .wav peut etre lu par la commande play et converti en MP3, par exemple : bladeenc toto.wav toto.mp3 (cf. http://bladeenc.mp3.no)


    Attention, j'ai constaté chez moi que "yarec" perturbe le bon fonctionnement des drivers son d'où la nécessité pour moi (avant l'étape 5) d'éxécuter le script suivant (en tant que root) :

    #!/bin/csh -fx
    /sbin/rmmod i810_audio && sleep 1
    /sbin/rmmod ac97_codec && sleep 1
    /sbin/rmmod soundcore && sleep 1
    /usr/bin/play /usr/share/sounds/KDE_Startup.wav

    afin de recharger les trois modules incriminés (dans mon cas). Dernier détail intéressant : http://www.bright.net/~dlphilp/linuxsound/one-page.html c'est la page pour trouver yarec ! Sinon passer par http://www.freshmeat.net.

     

    lancer grip en choisissant parmi 2 lecteurs de cd
      Par : lanesrine <alaindesadrets chez libertysur point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Si par exemple vous avez un dvd en mnt/cdrom2 et un graveur en mnt/cdrom,
    Si le cd audio est dans le lecteur de DVD :
    taper dans un shell :
    grip -d /dev/cdrom2/
    (n'oubliez pas de lancer avant votre connexion internet afin qu'au lancement de grip s'affiche le nom des plages musicales)

     

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    Logiciels>jeux

    Pas de son dans Tuxracer
      Par : Quentin <gorky_2001 chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 01/06/2003

    Si comme moi, après avoir installé une redhat, vous n'avez pas de son dans ce magnifique jeu qu'est TuxRacer, alors que vous avez du son dans les autres applications, suivez la procédure suivante :

    1. Récupérer les sources sur http://tuxracer.sourceforge.net (tuxracer-version.tar.gz et tuxracer-data-version.tar.gz)
    2. Suivez les instructions du site.
    3. Si lors du ./configure, vous avez un message d'erreur signalant que vous ne disposez pas d'une bonne version de glx.h, alors que vous avez installé les derniers drivers de Nvidia (si vous avez une de leurs cartes) c'est que le script ne regarde pas au bon endroit. Il faut alors lui dire de le faire en lançant le ./configure par : ./configure --with-gl-inc=/usr/share/doc/NVIDIA_GLX-1.0/include/ s'il s'y trouve le fichier glx.h installé par le programme d'installation de nvidia
    4. Si tout est bien installé et que le jeu revient à linux sans se lancer (alors qu'il fonctionnait sans son), voir le point 3)
    Remarque : cette astuce est basée sur mon expérience personnelle, il se peut donc que ça ne marche pas chez vous, et j'en serais navré...

     

    Diablo II sous Wine
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    D'abord, téléchargez une version récente de wine sur http://wine.dataparty.no (par exemple) : moi j'ai pris une version opengl, je ne sais pas si c'est important, dans le doute faites comme moi !.

    Pour installer Diablo II sous wine, il faut se passer complètement de Windows. Pour cela, commencez par créer un arborescence Windows vide :

    mkdir /home/windows
    mkdir /home/windows/windows
    mkdir /home/windows/windows/system
    mkdir /home/windows/windows/fonts
    mkdir /home/windows/Program\ Files
    Voila. Ensuite, il faut configurer wine pour utiliser cette arborescence, copiez /etc/wine/config dans ~/.wine/config et modifiez le pour que wine utilise cette arborescence. Il suffit de modifier la section [Drive C]. Elle doit ressembler à :
    [Drive C]
    "Path" = "/home/windows"
    "Type" = "hd"
    "Label" = "MS-DOS"
    "Filesystem" = "win95"
    Ensuite, la section [x11drv] doit être :
    [x11drv]
     ; Number of colors to allocate from the system palette
    "AllocSystemColors" = "100"
     ; Use a private color map
    "PrivateColorMap" = "N"
     ; Favor correctness over speed in some graphics operations
    "PerfectGraphics" = "N"
     ; Color depth to use on multi-depth screens
     ;;"ScreenDepth" = "16"
     ; Name of X11 display to use
     ;;"Display" = ":0.0"
     ; Allow the window manager to manage created windows
    "Managed" = "Y"
     ; Use a desktop window of 640x480 for Wine
     ;"Desktop" = "640x480"
     ; Use XFree86 DGA extension if present
     ; (make sure /dev/mem is accessible by you !)
    "UseDGA" = "Y"
     ; Use XShm extension if present
    "UseXShm" = "Y"
     ; Use XVidMode extension if present
    "UseXVidMode" = "Y"
     ; Enable DirectX mouse grab
    "DXGrab" = "Y"
     ; Create the desktop window with a double-buffered visual
     ; (useful to play OpenGL games)
    "DesktopDoubleBuffered" = "Y"
     ; Code page used for captions in managed mode
     ; 0 means default ANSI code page (CP_ACP == 0)
    "TextCP" = "0"
     ; Use this if you have more than one port for video on your setup
     ; (Wine uses for now the first 'input image' it finds).
     ;; "XVideoPort" = "43"
     ; Run in synchronous mode (useful for debugging X11 problems)
     ;;"Synchronous" = "Y"
    Maintenant, il faut installer Diablo II dans cette arborescence. C'est là que ça ce complique, si vous n'avez pas l'automount (ie: pas une Mandrake). Montez le CD1 de diablo (sauf sous mdk: il suffit de l'insérer). Lancez :
    wine "/mnt/cdrom/setup.exe"
    Ça doit lancer l'installation de Diablo II. Choississez une option d'installation. Quand il vous demande de changer de CD, faites-le après avoir démonter le CD depuis un terminal. Chez moi, l'installation s'est terminée en me demandant si je voulais installer DirectX, j'ai répondu oui et l'installation s'est vautrée (mais directX était installé!). Je pense que DirectX est pour l'instant nécessaire à Wine.

    Enfin, on lance Diablo II par : wine /home/windows/Program\ Files/Diablo\ II/Game.exe

    Pour que tout soit parfait, votre serveur X doit pouvoir se mettre en 640x480 et 800x600 et 65000 couleurs (ColorDepth=16).

     

    Jouer à UnReal Tournament
      Par : toufou <mathieu point betton chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Installer Unreal Tournament (24 02 01)
    Version BestOf Infogrammes

    Il faut d'abord que la 3D soit correctement prise en charge par votre systeme. Il faut récupérer sur le site de loki le patch GOTY : http://www.lokigames.com/products/ut/updates.php3. Puis il faut l'executer sur son disque. Ceci va installer Unreal sous /usr/local/games/ut. Si vous tentez de le lancer à la fin de la phase d'installation, vous aurez surement cette erreur :
    >Unreal engine initialized
    >Bound to SDLDrv.so
    >Joystick [0] : Unknown Joystick
    >SDLClient initialized.
    >Bound to Render.so
    >Lighting subsystem initialized
    >Rendering initialized
    >LoadMap: Entry
    >Failed to load 'Entry': Can't find file 'Entry'
    >Failed to load 'Level None.MyLevel': Can't find file 'Entry'
    >appError called:
    >Failed to enter Entry: Can't find file 'Entry'
    >Executing UObject::StaticShutdownAfterError
    >Executing USDLClient::ShutdownAfterError
    >Signal: SIGIOT [iot trap]
    >Aborting.
    >Exiting.
    >Name subsystem shut down

    Rien de grave. En fait, le jeu cherche la carte /usr/local/games/ut/Maps/Entry.unr pour se lancer. Or, lors de l'installation, cette carte, comme toutes les autres n'a pas été décompressée. Elle est sous la forme Entry.unr.uz. Pour la décompresser, il faut un script, alors ouvrez votre éditeur favori et tapez (ou copiez/collez) :
    #!/bin/sh
    #
    # Change this to YOUR install-dir of UT
    #
    INSTALLDIR=/usr/local/games/ut

    cd $INSTALLDIR/System

    for i in ../Maps/*.unr.uz
    do
    ucc decompress $i -nohomedir
    done

    mv *.unr ../Maps

    cd ../Maps
    for f in *.unr
    do
    rm $f.uz
    done

    echo "..:: Done! ::.."

    Enregistrez le sous un nom quelconque (script par exemple) et rendez le fichier executable "chmod +x script"

    Executez-le script : "./script" (attention au point : ./)
    Ca va prendre un peu de temps et, une fois fini, vou pouvez jouer à Unreal Tournament sans problème.

    Ca tourne nickel sur mon duron 600 avec ma geforce2mx

    Pour les autres problèmes, allez voir sur le site de loki et lisez la FAQ.

    Tout ceci n'a été possible qu'avec l'aide de loki et de nombreux anonymes qui m'ont guidé lors de cette installation.
    Qu'ils en soient tous remerciés.
    Merci à GIjoe (gijoeleplusfort chez yahoo.fr) pour la correction du script.

     

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    X Window

    Comment personnaliser son environnement graphique, activer des options, jouer avec les fontes...
    Pallier le manque de touche ALT GR sur un iBook
      Par : Léa <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 04/07/2003

    La Mandrake 9.1 PPC s'installe fort bien sur un iBook. Le clavier est assez bien géré (ils ont mappé les touches d'un clavier PC, ce qui est pratique : plein de touches manquent sur un clavier d'iBook pour utiliser correctement Linux) mais (car il y a toujours un mais !) point de touche ALT GR ! C'est assez pénible (en particulier pour faire un @ ou un | ).

    Il existe une solution fort simple : utiliser la touche Pomme (qui ne sert a rien ...) à sa place. Sur la Mandrake, il suffit de créer (en tant que root) le script /etc/X11/xinit.d/Map_Pomme_AltGr (le nom importe peu, mais l'emplacement est impératif) contenant :

    #!/bin/sh
    # CopyRight (C) 2003 Léa Linux ;-)
    # Licence GPL2 ;-)
    # Fait jouer à la touche "Pomme" le rôle de "ALT GR"
    xmodmap -e "keycode 115 = Mode_switch"

    Puis de relancer le serveur X. À partir de maintenant la touche Pomme est une touche ALT GR.

    Pour ceux que ça intéresse, voilà comment j'ai fait pour trouver le 115 et le Mode_switch. Sur l'iBook j'ai installé le paquet : XFree86-contrib (urpmi XFree86-contrib) puis j'ai lancé le programme xev qui retourne les codes des touches renvoyés par X, lorsque je tapais sur Pomme, il me renvoyait :

    KeyRelease event, serial 27, synthetic NO, window 0x3200001,
    root 0x58, subw 0x3200002, time 79992904, (44,40), root:(890,66),
    state 0x10, keycode 115 (keysym 0xffca, F13), same_screen YES,
    XLookupString gives 0 bytes: ""
    KeyRelease event, serial 27, synthetic NO, window 0x3200001,
    root 0x58, subw 0x3200002, time 79992904, (44,40), root:(890,66),
    state 0x50, keycode 115 (keysym 0xffca, F13), same_screen YES,
    XLookupString gives 0 bytes: ""

    Le keycode 115 indique le code de la touche qu'on veut remplacer sur l'iBook. Pour le Mode_switch, j'ai procédé pareil mais sur un PC, xev renvoie quelque chose comme : (keysym 0xff7e, Mode_switch). Voilà c'est tout.

     

    souris en gaucher (boutons inversés)
      Par : Armorost <armorost chez hotmail point com>
      Dernière mise à jour : 04/06/2003
    Pour inverser les boutons de la souris, il suffit de taper la commande : xmodmap -e "pointer = 3 2 1"

    Il faut rajouter cette ligne dans un fichier de démarrage, sinon faut retaper cette commande à chaque fois. Par exemple dans ~/.fluxbox/startup

    ps : je l'ai testé avec une souris 3 boutons PS/2

    Merci à misc pour cette astuce ;-)

     

    Comment ne pas lancer gdm au démarrage de linux
      Par : alex_x <alex_xyrthame chez yahoo point fr>
      Dernière mise à jour : 26/03/2003
    Lors d'une installation par défaut de linux (ex: debian woody), gdm se lance automatiquement laissant le choix entre les différentes interfaces graphiques du système. Afin de tout simplement ignorer le lancement de gdm et de démarrer en mode console, il faut : - vérifier quels scripts sont lancés au démarrage (aller dans /etc/inittab et vérifier la ligne id:n:initdefault ou n est l'id utilisé par le système) - l'id permet de savoir quels scripts sont lancés et ou ils se trouvent, ds mon cas c'était 4 donc direction /etc/rc4.d/ - dans ce répertoire se trouvent différents liens dont un sous la forme S(numéro)gdm. Voilà : il suffit de supprimer ce lien et plus de gdm au démarrage.

     

    XFCE sous KDE
      Par : Yann <yannbenigot chez club tiret internet point fr>
      Dernière mise à jour : 23/03/2003

    Pour faire tourner à la fois KDE et xfce,tapez dans un xterm :

    $ exec xfce

    Screenshot
    (ps : l'image est assez longue à charger)

     

    Modelines facile dans XF86Config
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 11/03/2003

    XFree4 sait maintenant s'autoconfigurer afin d'optimiser les résolutions vidéo, mais il existe encore des cas où on désire / a besoin de le faire à la main : réglages fins, moniteur non plug'n play, résolution exotique (768x576 pour regarder la TV en plein écran)...

    Le site suivant vous permet de générer ces lignes absconses :
    http://www-sop.inria.fr/cgi-bin/koala/nph-colas-modelines-fr
    http://koala.ilog.fr/cgi-bin/nph-colas-modelines-fr

    Note : les lignes "Modeline" de /etc/XF86Config prennent en compte la résolution que l'on veut obtenir et les paramètres en fréquence mini/maxi du moniteur, et ressemblent à :
    ModeLine "768x576" 94.61 768 800 960 1024 576 578 590 616 #150Hz

     

    Changer les curseurs sous XFree 4.3.x
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 03/03/2003

    Depuis XFree 4.2.99 (ie: les releases candidates de XFree 4.3.0) il est possible d'avoir des curseurs transparents avec ombres (c'est trés cool : on dirait XP ;-).

    Si ce n'est pas activé par défaut, il faut éditer le fichier /usr/X11R6/lib/X11/icons/default/index.theme, dans lequel il suffit de mettre (par exemple) : Inherits=whiteglass à la place de Inherits=core. Pour connaître les thêmes possibles pour vos curseurs : ls /usr/X11R6/lib/X11/icons/, ceci listera les thêmes qu'il est possible d'utiliser dans la clause "inherits" (default n'est pas un thême...). Moi, j'ai trois thêmes possibles : handhelds, redglass et whiteglass.

     

    Éteindre l'écran
      Par : jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 02/02/2003

    Je viens de découvrir un moyen surprenant et très pratique d'endormir l'écran.

    Pressez simplement 2 fois de suite la touche contrôle, et l'écran s'éteind.

    La même manipulation le réveille (et aucune autre, par exemple bouger la souris ne sert à rien).

    C'est quand même plus pratique que de rechercher le bouton marche-arrêt de mon écran dissimulé sous des piles de CD et autres paquets de bonbons ! ;)

    (testé sous Mandrake 8.2, XFree 4)

     

    Choix au demarrage en ligne de commande
      Par : Yves <hlyd chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Un système léger, Xtart-1.1-2.1mdk

    À récupérer sur : http://rpmfind.net/linux/ ...

    Ce script permet de choisir, lorsque l'on démarre en console, le
    gestionnaire de session que l'on désire : Kde, Gnome, Icewm, etc...
    parmi ceux qui sont installés sur le système.

    Après l'installation, apparaît une nouvelle ligne à l'invite :

    «Type Xtart to get a menu of window manager available»

    Cette action affiche la liste des wm utilisables et demande d'en sélectionner un en tapant son numéro.

    De plus, l'ajout d'un nouveau gestionnaire est automatiquement pris en compte.

     

    KDE: Déplacer une fenêtre sans bordure
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Sous KDE, pour déplacer une "fenêtre" sans bordure ni barre de titre (bien que cela marche aussi avec toutes les fenêtres), par exemple xeyes ou hot-babe ;-) ou la fenêtre "mise à jour des sources" de rpmdrake, il suffit d'appuyer sur la touche [Alt], puis tout en la maintenant enfoncée, de cliquer n'importe où sur la "fenêtre" correspondante et de la déplacer à la souris. C'est tout simple !

     

    Copier/Coller en 2 clics
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Sous X Window (mode graphique), copier/coller du texte est extrêmement simple : il suffit de le sélectionner normalement (avec le bouton gauche), et il est déjà copié. Pour le coller, il suffit de mettre la souris au bon endroit, et de cliquer sur le bouton du milieu (ou simultanément les boutons droit et gauche si vous n'avez que 2 boutons). C'est tout !
    Dans les consoles virtuelles texte (Control-Alt-F1 à F6), si vous avez installé gpm, vous pouvez faire la même chose ! Indice : si un curseur se déplace à l'écran lorsque vous bougez la souris dans une console texte, alors gpm est installé.

     

    Activer Numlock au démarrage de [xk]dm
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Si vous vous logguer graphiquement (avec xdm ou kdm) sur une Mandrake 8.x, 9.0 vous avez dû remarquer que [Numlock] n'est pas activé par défaut. Ce n'est pas très difficile de remédier à ce probléme, il suffit d'éditer le fichier /etc/X11/xdm/Xsetup_0 et d'ajouter à la fin de ce fichier :
    if [ -x /usr/X11R6/bin/enable_X11_numlock ] ; then
    /usr/X11R6/bin/enable_X11_numlock on
    fi
    Puis vous redémarrez votre serveur X (par exemple par CTRL+ALT+BACKSPACE). Et vous devriez avoir [Numlock] activé.

    PS: Le package : numlock-2.0-6mdk.i586.rpm doit être installé (le numéro de version peut changer)
    PPS:Pour gdm c'est surement le même type d'action qu'il faut mener, mais comme gdm utilise d'autres fichiers de configuration, il vous faudra chercher un peu lequel, parmi tous les fichiers gdm il faut modifier (si quelqu'un sait, qu'il m'écrive).

     

    configurer son xterm
      Par : titux <c lucas chez ifrance com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    On peut, grâce à SHIFT+"+" ou SHIFT+"-", modifier la taille de son xterm.

    Mais on peut configurer beaucoup plus de caractéristiques en faisant:
    CONTROL+clique_gauche et CONTROL+clique_milieu ou encore CONTROL+clique_droit

    Bonne configuration

     

    Utiliser 2 souris avec XFree3 et en mode texte (console)
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour utiliser 2 souris avec XFree3 ou en mode console, il faut déjà installer gpm (gpm est un utilitaire vous permettant de disposer de la souris en mode texte, de faire du copier-coller (coller avec le bouton du milieu), et d'utiliser la souris en mode texte avec certains programmes qui reposent sur gpm, comme Midnight Commander).
    Votre distribution dispose certainement du package correspondant.

    Ensuite, il faut le configurer afin qu'il se lance avec les 2 souris. Dans mon cas : une souris série (protocole MouseSystems ou msc pour gpm) connectée sur /dev/ttys0, et une souris USB (protocole IMPS/2 ou imps2 pour gpm) connectée sur /dev/input/mouse0.

    La ligne de commande pour lancer gpm est :
    gpm -t msc -m /dev/ttyS0 -M -t imps2 -m /dev/input/mouse0

    Explications :

    Vous pouvez déjà vérifier que le curseur de souris (un caractère qui passe en video inverse) bouge avec les 2 souris.

    Lorsqu'on utilise gpm avec l'option -M, celui-ci "répète" les commandes des 2 souris dans /dev/gpmdata en protocole MouseSystems. Ce périphérique (en fait une "fifo") regroupe les commandes des 2 souris, et en conséquence, on peut faire pointer /dev/mouse dessus :
    # rm -f /dev/mouse
    # ln -s /dev/gpmdata /dev/mouse


    Ensuite, il faut configurer XFree3 pour utiliser cette nouvelle "souris". Dans XF86Config, il faut que la section "Pointer" ressemble à ça :
    Section "Pointer"
    
    Protocol "MouseSystems"
    Device "/dev/gpmdata"
    ZAxisMapping 4 5
    EndSection


    Relancez X et admirez le travail !

    BUG connu : avec cette méthode, la ou les roulettes éventuelles ne pourront pas être utilisées sous X. En effet, pour utiliser la roulette, il faut utiliser le protocole IMPS/2 (ou imps2 pour gpm), or gpm ne sait pas répéter dans /dev/gpmdata avec ce protocole.



    Annexe : automatisation du démarrage de gpm

    Nouveau fichier /etc/sysconfig/mouse (à adapter à vos besoins) :
    ----------
    MOUSETYPE=msc
    
    XMOUSETYPE=MouseSystems
    FULLNAME=Serie
    XEMU3=no
    WHEEL=no
    device=ttyS0

    TWO_MOUSES=yes

    MOUSETYPE_2=imps2
    XMOUSETYPE_2="IMPS/2"
    FULLNAME_2="USB|Wheel"
    XEMU3_2=no
    WHEEL_2=yes
    device_2=usbmouse
    ----------
    La partie ajoutée est en gras

    Nouveau fichier /etc/rc.d/init.d/gpm :
    ----------
    #!/bin/bash
    
    #
    # chkconfig: 2345 85 15
    # description: GPM adds mouse support to text-based Linux applications such \
    # the Midnight Commander. Is also allows mouse-based console \
    # cut-and-paste operations, and includes support for pop-up \
    # menus on the console.
    # processname: gpm
    # pidfile: /var/run/gpm.pid
    # config: /etc/sysconfig/mouse

    # modified by Jean-Christophe 'Jice' Cardot <jice at lea-linux dot org>
    # for 2 mouses support


    # source function library
    . /etc/rc.d/init.d/functions

    MOUSECFG=/etc/sysconfig/mouse
    MOUSEDEVICE=/dev/mouse

    RETVAL=0

    case "$1" in
    start)
    echo -n $"Starting console mouse services: "
    if [ -f "$MOUSECFG" ]; then
    . "$MOUSECFG"
    else
    echo $"(no mouse is configured)"
    exit 0
    fi

    if [ -n "$device" ];then
    MOUSEDEVICE=/dev/$device
    fi

    if [ ! -e $MOUSEDEVICE ];then
    echo $"$MOUSEDEVICE don't exist"
    exit 0
    fi

    if [ "$MOUSETYPE" = "none" ]; then
    echo $"(no mouse is configured)"
    exit 0
    fi

    if [ "$MOUSETYPE" = "Microsoft" ]; then
    MOUSETYPE=ms
    fi

    if [ "$TWO_MOUSES" = "yes" ]; then

    if [ -n "$device_2" ];then
    MOUSEDEVICE_2=/dev/$device_2
    fi

    if [ ! -e $MOUSEDEVICE_2 ];then
    echo $"$MOUSEDEVICE_2 don't exist"
    exit 0
    fi

    if [ "$MOUSETYPE_2" = "none" ]; then
    echo $"(no 2nd mouse is configured)"
    TWO_MOUSES=no
    fi

    if [ "$MOUSETYPE_2" = "Microsoft" ]; then
    MOUSETYPE_2=ms
    fi

    if [ -n "$MOUSETYPE" -a -n "$MOUSETYPE_2" ]; then
    daemon gpm -t $MOUSETYPE -m $MOUSEDEVICE \
    -M -t $MOUSETYPE_2 -m $MOUSEDEVICE_2
    else if [ -n "$MOUSETYPE" ]; then
    daemon gpm -t $MOUSETYPE -m $MOUSEDEVICE \
    -M -m $MOUSEDEVICE_2
    else if [ -n "$MOUSETYPE_2" ]; then
    daemon gpm -m $MOUSEDEVICE \
    -M -t $MOUSETYPE_2 -m $MOUSEDEVICE_2
    else
    daemon gpm -m $MOUSEDEVICE \
    -M -m $MOUSEDEVICE_2
    fi fi fi
    else

    if [ -n "$MOUSETYPE" ]; then
    daemon gpm -t $MOUSETYPE -m $MOUSEDEVICE
    else
    daemon gpm -m $MOUSEDEVICE
    fi
    fi
    RETVAL=$?
    echo
    [ $RETVAL -eq 0 ] && touch /var/lock/subsys/gpm
    ;;
    stop)
    echo -n $"Shutting down console mouse services: "
    killproc gpm
    RETVAL=$?

    echo
    [ $RETVAL -eq 0 ] && rm -f /var/lock/subsys/gpm
    ;;
    restart|reload)
    $0 stop
    $0 start
    RETVAL=$?
    ;;
    status)
    status gpm
    RETVAL=$?
    ;;
    *)
    echo $"Usage: gpm {start|stop|status|restart|reload}"
    exit 1
    esac

    exit $RETVAL
    ----------
    Ce fichier remplace le fichier du même nom (les parties qui ont été ajoutées sont en gras). Il n'y a pas à le modifier.

     

    Emulez la souris au clavier
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Votre souris vient de tomber en panne ? Utilisez le clavier ! (temporairement bien sur!)
    Pour cela taper CTRL+MAJ+VerrNum, à partir de maintenant le curseur de la souris est controlé par le pavé numérique. Manipulation des boutons :

    Retour à la normal par la même combinaison de touche.

    (Lu sur http://gulse.tuxfamily.org/supp_linux.html et sur : linuxfr.org pour ce qui est de la manipulation des boutons)

     

    Lancer plusieurs sessions de X
      Par : CAULIER Gilles <caulier gilles chez free fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Qui n'a jamais révé d'avoir plusieurs sessions de X WINDOW sur sa machine. C'est trés simple : dans une console texte ou dans une console texte émulée en mode graphique, on tape :

    X -query hostname -once :displayID

    Ce qui permet de lancer une session X WINDOW sur la console graphique défini par 'displayID'. Si 'displayID' = 1 et que l'on est déjà en mode graphique (pour displayID=0' alors on basculera de l'une vers l'autre par :

    CTRL+ALT+F7 premiére console graphique.
    CTRL+ALT+F8 deuxiéme console graphique.

    ... à la maniére des consoles textes virtuelles.

    A noter que avec hostname, on peut se connecter à une machine distante via le réseau par le protocole XDMCP. Cette machine doit avoir un démon graphique de connection en mémoire (kdm, gdm, ou xdm).

    Plus fort :

    X -indirect netname -once :displayID

    Permet d'obtenir une console graphique avec une liste des machines présentent sur le réseau 'netname' et qui propose un service de connection graphique via XDMCP.

    Ce fonctionnement a été testé sur une Mandrake 8.0 de base avec XFREE 4.03 (NDLR:ça fonction avec n'importe quelle version d'X).

    Qui a dit que LINUX était un CANCER ?!?!?

    CAULIER Gilles

     

    Régler les DPI de votre écran (XFree86 4.0.x)
      Par : Léa-Admin <frederic point bonnaud chez la poste point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour fixer la résolution (en DPI - Dot Per Inch / Points par pouce - pas en pixels) de votre écran, armez-vous d'un mètre et mesurez votre(vos) écran(s) (en mm). Ensuite ajoutez dans /etc/X11/XF86Config, section Monitor :
    DisplaySize 310 240
    (si votre écran mesure 310 mm par 240 mm)
    Si vous utilisez le MultiHead+Xinerama avec des écrans de taille différente (en pixel cette fois) précisez
    DisplaySize 510 240
    dans la section Monitor de votre écran principal, si la zone total d'affichage mesure 510 mm par 240 mm.
    Si les tailles (en pixels) sont identiques vous devez donner un DisplaySize par Section monitor.

     

    Utiliser deux souris avec XFree 4
      Par : Fred <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour celà, il vous faut deux souris ;-) je prendrai l'exemple d'une souris USB et une souris PS/2, il faut créer dans /etc/X11/XF86Config (ou /etc/X11/XF86Config-4) deux sections "InputDevice" du type :

    Section "InputDevice"
    Identifier "Souris USB"
    Driver "mouse"
    Option "Protocol" "IMPS/2"
    Option "Device" "/dev/input/mouse0"
    Option "ZAxisMapping" "4 5"
    EndSection

    Section "InputDevice"
    Identifier "Souris PS/2"
    Driver "mouse"
    Option "Protocol" "IMPS/2"
    Option "Device" "/dev/psaux"
    Option "ZAxisMapping" "4 5"
    EndSection


    puis vous modifiez la section "ServerLayout" pour qu'elle ressemble à :

    Section "ServerLayout"
    Identifier "layout1"
    Screen "Screen1"
    InputDevice "Souris USB" "CorePointer"
    InputDevice "Souris PS/2" "SendCoreEvents"

    InputDevice "Keyboard1" "CoreKeyboard"
    EndSection


    On peut mettre autant (je crois) de souris "SendCoreEvents" que l'on veut, par contre il ne peut exister qu'une seule souris se type "CorePointer" (seule la dernière est utilisée...) : cette souris est la souris maitresse.

    Le principe est le même pour ajouter une tablette graphique.

     

    connection refused by server
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Si lorsque vous lancez un programme, le message d'erreur suivant s'affiche :
    Xlib: connection to ":0.0" refused by server
    alors vous avez un problème de permissions d'affichage sur votre serveur X.
    Solutions :
    - l'utilisateur qui a ouvert la session graphique doit taper dans un shell (konsole, etc.) la commande : "xhost + localhost" (ou "xhost + nom_du_pc_sur_lequel _tourne_le_prog" si vous faites tourner le programme sur un autre PC et exportez l'affichage) avant de lancer le programme récalcitrant. Il faudra le faire à chaque fois.
    - éditer /etc/X0.hosts et ajouter dedans le nom des PC à partir desquels vous lancez le programme (et localhost pour le PC "local", c'est à dire celui qui fait l'affichage)

     

    Activer la roulette des souris sous X
      Par : olio <serge chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour activer la roulette sous X, il faut d'abord se procurer le programme imwheel. Celui ci se trouve sur le site de freshmeat ou bien sur votre distribution (pensez à vérifier avant, au cas où). Une fois le programme installé, il va falloir éditer le fichier XF86Config dans le répertoire /etc/X11. Dans ce fichier (dont vous aurez au préalable fait une copie de secours, en cas de problème) vous cherchez la section "Pointer".

    Ajoutez les lignes suivantes juste après la ligne Protocol en respectant bien la casse (majuscules/minuscules) :

    ZAxisMapping 4 5
    Buttons 3


    Il faut aussi changer le protocole de communication de votre souris. C'est la partie Protocol. Si votre souris est PS2, il faut changer PS2 en IMPS2.
    Si votre souris est série (sur port COM), il faut changer votre protocole pour que ce dernier soit celui de la souris IntelliMouse de type série (faire man XF86Config pour voir la liste des protocoles).
    Je déconseille vivement de faire ces manipulations à l'aide de XF86Setup, car ce dernier fait perdre le contrôle de la souris tant que vous n'avez pas rebooté.

    Une fois toutes ces modifications effectuées, sauvegardez, puis relancez votre serveur X. Maintenant, pour vérifier que tout a correctement été modifié, executez imwheel dans une fenêtre Terminal. Ouvrez une fenêtre avec un ascenseur (le répertoire /usr/bin dans une fenêtre de gestion de fichiers est un bon exemple), utilisez votre molette. Si l'ascenseur bouge c'est gagné !!! Vous pouvez maintenant mettre un lien vers imwheel dans le répertoire "Démarrage" que vous avez sur votre Bureau sous KDE pour que imwheel démarre automatiquement à chaque ouverture de session, ou bien intégrez imwheel en dernière ligne dans le fichier startx (cherchez ce fichier par : "find -name startx /usr | grep startx") ou dans /etc/X11/xinitrc.

    Voilà. Cette procédure fonctionne avec une souris Logitech 3 boutons à roulette modèle M-C48 (avec le petit logo Logitech sur le dessus). Bons menus déroulants !!! :-)

    Attention:, pour Xfree 4 la syntaxe est:
    Option "Buttons" "3"
    Option "ZAxisMapping" "4 5"


    (si votre souris a deux roulettes, vous pouvez remplacer "4 5" par "4 5 6 7"

     

    NumLock et X Window
      Par : Eric <eric gerbier chez free fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Le programme numlockx permet d'allumer la LED du clavier et d'utiliser le pavé numérique en mode fenêtre (bash par exemple). Ca marche TRES bien et c'est la meilleure solution que j'aie pu voir à ce jour.

    Par contre, sous l'éditeur vi, le pavé numérique ne marche plus. Si on regarde les codes générés (avec xev), on s'aperçoit en effet que la touche "7" du pavé numérique génère un "KP_7" au lieu d'un "7".

    Mon astuce consiste à remapper le pavé numérique avec xmodmap pour générer les "vrais" chiffres. Il suffit pour celà (sur ma Redhat) de mettre dans /etc/X11/xinit/.Xmodmap les lignes suivantes :
    keycode 79 = KP_Home 7
    keycode 80 = KP_Up 8
    keycode 81 = KP_Prior 9
    keycode 83 = KP_Left 4
    keycode 84 = KP_Begin 5
    keycode 85 = KP_Right 6
    keycode 87 = KP_End 1
    keycode 88 = KP_Down 2
    keycode 89 = KP_Next 3
    keycode 90 = KP_Insert 0
    keycode 91 = KP_Delete period


    Ce fichier est automatiquement détecté et exécuté au démarrage de X.

     

    haut


    Réseau

    Comment bien tirer parti d'un réseau local, d'internet, les trucs sur le mail, etc.
    Créer un serveur de stream en Shell uniquement
      Par : Benjamin (prae) Gigon
      Dernière mise à jour : 12/07/2003

    C'est assez simple en fait, il vous suffit d'utiliser le programme 'socket' qui crée ou utilise des sockets et de faire ceci :
    # socket -p 'cat input.mp3' -slv 1234
    l'option -p execute une commande.

    Ici nous demandons à lire le fichier input.mp3 (mais nous aurions pu faire plus complexe comme commande)
    les options -slv demande à ce que ce soit un serveur en mode "looping" et en mode "verbose" sur le port "1234"

    Utilisez un player compatible stream (xmms ferra très bien l'affaire) et rajoutez l'url "http://localhost:1234" (voire même un autre host si votre machine le possède) Voila votre premier serveur de stream en shell :-)

     

    Serveur dhcp sur plusieurs segments
      Par : stefrag <stephane point ragon chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 25/06/2003

    Le problème est le suivant : comment lancer un serveur dhcp distribuant des adresses spécifiques suivant le segment réseau qui les demande?

    Par exemple un routeur de réseau local, distribuant 2 segments réseaux différents, sur lequel on veut installer un serveur dhcp afin que tout poste se connectant sur un segment puisse obtenir une adresse IP en conformité avec le segment.
    La solution consiste à déclarer plusieurs subnet dans votre fichier de config (dhcpd.conf par défaut), comme ci dessous:

    ddns-update-style none;
    subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 {
    range 192.168.1.10 192.168.1.100;
    default-lease-time 600;
    max-lease-time 7200;
    option subnet-mask 255.255.255.0;
    option broadcast-address 192.168.1.255;
    option routers 192.168.1.1;
    option domain-name-servers 192.168.2.200;
    option domain-name "mondomaine";
    }
    subnet 192.168.3.0 netmask 255.255.255.0 {
    range 192.168.3.10 192.168.3.100;
    default-lease-time 600;
    max-lease-time 7200;
    option subnet-mask 255.255.255.0;
    option broadcast-address 192.168.3.255;
    option routers 192.168.3.1;
    option domain-name-servers 192.168.2.200;
    option domain-name "mondomaine";
    }

    Il suffit alors de lancer le démon dhcpd de la façon suivante:

    dhcpd -cf nom_fichier_de_conf eth0 eth1

    Et vala....

     

    Déterminer son adresse IP derrière un routeur ou firewall
      Par : Ozh <ozh chez planetquake point com>
      Dernière mise à jour : 19/06/2003

    En LAN, connecté à internet derrière un routeur ou un firewall, le truc habituel avec ifconfig (script) ne fonctionne pas, puisqu'il ne vous permet que de voir votre adresse IP interne.

    Pour y remédier, j'utilise ce petit script très simple :

    #!/bin/bash
    lynx --source http://frenchfragfactory.net/cgi/ip.cgi

    Ce script ip.cgi est lui-même simplissime :

    #!/usr/bin/perl
    print "Content-type: text/html\n\n";
    print $ENV{'REMOTE_ADDR'};

     

    Configuration de bind chrooté sur Mandrake 9.1
      Par : Thomas Trachet <thomast chez lfi point fr>
      Dernière mise à jour : 06/06/2003
    Le script shell ci-dessous permet de réaliser un serveur DNS "chrooté" dans le répertoire /var/chroot-named pour plus de sécurité. Le script a été réalisé pour une Mandrake 9.1 sur laquelle on vient d'installer les paquetages bind et caching-nameserver. Libre à vous de porter ce script sur d'autres version de Mdk et autres.

    ----DEBUT----
    #!/bin/bash

    # 6 juin 2003
    # Script permet de réaliser un serveur DNS chrooter.
    # Il a été développé pour une Mandrake 9.1 sur laquelle
    # les paquetages bind et caching-nameserver ont été
    # fraichement installés.
    # Thomas Trachet - thomast@lfi.fr
    # http://www.linuxtom.lfi.fr/
    # http://perso.club-internet.fr/ttrachet

    grep 'Bamboo' /etc/mandrake-release >/dev/null 2>&1 || exit 0

    export ROOTDNS="/var/chroot-named"

    mkdir -p $ROOTDNS/{dev,etc,var,usr}
    mkdir -p $ROOTDNS/var/run/named $ROOTDNS/usr/sbin
    $ROOTDNS/var/log/named
    chown named:named $ROOTDNS/var/{log,run}/named

    [ -c $ROOTDNS/dev/null ] || \
    mknod $ROOTDNS/dev/null c 1 3
    [ -c $ROOTDNS/dev/random ] || \
    mknod $ROOTDNS/dev/random c 1 8

    egrep '(^root:|^named:)' /etc/passwd > $ROOTDNS/etc/passwd
    egrep '(^root:|^named:)' /etc/group > $ROOTDNS/etc/group

    [ ! -f /etc/sysconfig/syslog.orig ] && \
    mv /etc/sysconfig/syslog /etc/sysconfig/syslog.orig

    sed -e 's/"-m 0"/"-m 0 -a \/var\/chroot-named\/dev\/log"/' \
    /etc/sysconfig/syslog.orig > /etc/sysconfig/syslog

    service syslog restart

    grep loggin /etc/named.conf >/dev/null 2>&1 || \
    cat << FIN >> /etc/named.conf

    logging {
    channel replace_syslog {
    file "/var/log/named/named.log" versions 3 size 100k;
    severity info;
    print-category yes;
    print-severity yes;
    print-time yes;
    };
    category default {
    replace_syslog;
    default_debug;
    };
    };

    FIN

    [ -f $ROOTDNS/etc/named.conf ] || mv -f /etc/named.conf
    $ROOTDNS/etc
    [ -L /etc/named.conf ] || ln -s $ROOTDNS/etc/named.conf /etc

    [ -d $ROOTDNS/var/named ] || mv -f /var/named $ROOTDNS/var
    [ -L /var/named ] || ln -s $ROOTDNS/var/named /var

    cp -af /usr/sbin/named $ROOTDNS/usr/sbin/named

    echo ROOTDIR=$ROOTDNS > /etc/sysconfig/named

    mkdir -p $ROOTDNS/lib/i686 $ROOTDNS/usr/lib

    cp -af /usr/lib/libcrypto.so* $ROOTDNS/usr/lib
    cp -af /lib/libnsl.so* $ROOTDNS/lib
    cp -af /lib/i686/libpthread.so* $ROOTDNS/lib/i686
    cp -af /lib/i686/libc.so* $ROOTDNS/lib/i686
    cp -af /lib/libdl.so* $ROOTDNS/lib
    cp -af /lib/ld-linux.so* $ROOTDNS/lib

    service named restart

    echo "
    LINUX IS NICE AND EFFICIENT
    "
    ----EOF----

     

    Partager une connection internet
      Par : Fred <fred chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 15/03/2003

    Supposons que votre liaison internet soit obtenue par liaison ppp, le device est alors : ppp0 (si c'est eth0 ou eth1 pour vous, changez ce qu'il faut).

    1. La passerelle Linux

    En tant que root, tapez :

    echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward
    iptables -A POSTROUTING -t nat -o ppp0 -j MASQUERADE

    Si vous utilisez un mur de feu (firewall) sur votre passerelle, alors il se peut que l'une des règles de filtrage de celui-ci interfère avec la règle d'iptables que nous devons mettre pour partager la connection. Dans ce cas, la règle iptables de partage de connection doit être avant la ou les règles de filtrage.

    Note : Vous pouvez bien entendu mettre ces deux commandes dans l'un des scripts de démarrage, comme par exemple : /etc/rc.d/rc.local.

    2. Un poste Linux

    Chaque poste Linux doit configurer une passerelle et ses dns. Pour la passerelle, il faut soit utiliser les outils de sa distribution pour lui préciser que la passerelle est le poste Linux précédemment configuré ; soit taper en tant que root une commande du style :

    [root@localhost ~] $ route add default gw 192.168.1.12
    si votre poste Linux qui servira de passerelle a comme IP : 192.168.1.12

    Il faut aussi configurer les dns, pour cela il suffit de s'assurer que le fichier /etc/resolv.conf contient des lignes du style :

    nameserver 12.12.12.12
    nameserver 144.144.144.144
    si les dns de votre fournisseur d'accés sont : 12.12.12.12 et 144.144.144.144

    3. Un poste 'exotique' (mac ou windows)

    Pour les postes 'exotiques', il avoir la même démarche que pour Linux, à savoir : préciser les dns ainsi que l'ip de la passerelle Linux.

    4. C'est tout !

     

    Fichiers de configuration de samba
      Par : Jean-Thomas MUYL (maston28) <jtmaston chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 10/02/2003

    L'article de léa sur samba recommandant l'usage de swat, qui est assez pénible à configurer, et n'ayant pas trop le courage d'écrire un article complet sur SAMBA, voici un smb.conf "type", à modifier selon les besoins !

    ----DEBUT----
    workgroup = WORKGROUP
    security = SHARE
    guest ok = yes
    hosts allow = 192.168.0.
    host deny = ALL
    [mp3s]
    comment = mp3s
    path = /home/maston28/mp3s
    browseable = yes
    writable = no
    ----EOF----

    voilà, et bonne chance à tous !

     

    Que faire si pppd call adsl n'est pas verbeux?
      Par : ogallos (ex RAIDATE) <raidate chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Voiçi un petit script qui remplace avantageusement le ppd call adsl, si celui-ci n'est pas verbeux, et ne fonctionne pas:

    #!/bin/bash
    #on tue tout les processus liés à ppp
    rm /var/run/ppp*
    #et là, on lance une connexion pppd verbeux (updetach): le & est là
    #car chez moi cela bloquait à la recup DNS
    pppd call adsl updetach nopersist| tee /tmp/ppp.log &

     

    Apache : Virtual Host et Ip Dynamique
      Par : Olivier <olivier67 chez libertysurf point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Sur une connexion ADSL, j'héberge mon site personnel, avec son propre nom de domaine www.monsite.net.

    Pour héberger aussi le site de mon petit frère sur un autre nom de domaine moi.monsite.net, j'ai paramétré 2 VirtualHosts dans Apache. Après avoir un peu galéré, voici la solution mise en oeuvre :

    Dans le fichier httpd.conf :

    ServerName *

    puis, pour les virtuals hosts:

    NameVirtualhost *

    <VirtualHost *>
    ServerName www.monsite.net
    DocumentRoot /chemin/des/html
    </VirtualHost>

    <VirtualHost *>
    ServerName moi.monsite.net
    DocumentRoot /autre/chemin/des/html
    </VirtualHost>

     

    Connection SSH sans mot de passe
      Par : Léa (Fred) <fred chez lea linux org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Vous allez me demander : "Une connection SSH (sécurisée) sans mot de passe (non sécurisé), à quoi cela peut-il servir ?".

    Supposons que vous ayez 2 postes "surs" (c'est à dire dont vous n'avez pas spécialement peur qu'on puisse prendre le control), si vous avez réussi a vous connecter sur le premier, c'est pénible de devoir taper un mot de passe pour faire un truc sur le second. Surtout que si quelqu'un vient de prendre possession de votre compte sur le premier poste, de toute façon, le seconds sera en sa possession dans pas longtemps.

    Le but n'est pas de se passer de sécurité (au contraire). La solution du problème est la suivante. Nous avons deux postes : frodon.tux et gandalf.tux. Sur les deux postes sshd tourne et est correctement configuré. Sur chacun des postes on génére des clés :

    [fred@frodon ~]$ ssh-keygen -t rsa

    (entrez une passe-phrase vide), et :

    [bibi@gandalf ~]$ ssh-keygen -t rsa

    (entrez aussi une passe-phrase vide). Ensuite, il suffit de copier la clé publique d'un poste sur l'autre dans la liste des clés autorisées :

    [fred@frodon ~]$ scp ~fred/.ssh/id_rsa.pub bibi@gandalf.tux:~bibi/.ssh/authorized_keys2

    et :

    [bibi@gandalf ~]$ scp ~bibi/.ssh/id_rsa.pub fred@frodon.tux:~fred/.ssh/authorized_keys2

    (il peut falloir remplacer : authorized_keys2 par authorized_keys). Et voilà, à partir de maintenant, une connection :

    [bibi@gandalf ~]$ ssh fred@frodon

    ou

    [fred@frodon ~]$ ssh bibi@gandalf

    ne demandera pas de mot de passe. Mais ce ne sera pas pour autant trop "désécurisée", puisque pour se connecter sans mot de passe sur frodon il faudra réussir à se connecter avec mot de passe sur gandalf et réciproquement.

    Note (1) : Si vous voulez seulement vous connecter sur frodon sans mot de passe depuis gandalf, il n'est pas nécessaire générer la clé sur gandalf.

    Note (2) : Si vous avez plusieurs "authorized_keys" il suffit de les concaténer.

     

    Changer le hostname
      Par : Babou <urban point anarchy chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Si comme moi, vous avez négligé le hostname à l'installation et que vous désirez le changer, voilà comment procéder :

    Etape 1
    Ouvrir un terminal et passer en root via un :
    user@localhost$ su -
    Pasword : *******
    root@localhost#


    Etape 2
    Editer (via ce que vous voulez) le fichier /etc/hosts.
    Il doit être du type :
    127.0.0.1 localhost.localdomain localhost

    Etape 3
    Remplacer les données qui vous intéressent, soit :
    127.0.0.1 TuxMachine.localdomain TuxMachine localhost.localdomain localhost
    si vous n'avez pas de carte réseau, ou
    127.0.0.1 localhost.localdomain localhost
    192.168.12.144 TuxMachine.localdomain TuxMachine
    si vous avez une carte réseau, d'adresse IP 192.168.12.144

    Sauvez et quittez.

    Etape 4
    Sur une Mandrake (et sans doute toute Red-Hat Compatible)
    Il faut aussi éditer /etc/sysconfig/network et modifier l'entrée HOSTNAME en la même chose :
    HOSTNAME=TuxMachine.localdomain

    Pour les autres distributions, si vous avez un fichier /etc/HOSTNAME, il suffit de mettre TuxMachine dedans (et seulement ça).
    Sinon, il faut éditer les scripts de démarrage pour qu'ils lancent la commande de l'étape suivante.

    Etape 5
    Taper la commande suivante pour une prise en compte immédiate :
    hostname TuxMachine.localdomain
    C'est cette commande qui permet de fixer le nom de la machine (ou hostname ;), et qui est appelée dans les scripts de démarrage.

    Etape 6
    Rebooter... euh non, on est pas sous Windows
    Délogguez-vous puis relogguez-vous.
    Enjoy !

     

    Connexion avec Freetelecom (en cas de probleme)
      Par : alain <titi point bip chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Lors du paramétrage d'une connexion internet avec free télécom je me suis heurté au problème du serveur DNS de FREE. Konqueror et Netscape me renvoyaient tous les deux le même message d'erreur : ils n'arrivaient pas à résoudre les noms de domaine.
    Après quelques recherches sur leur site, j'ai découvert les adresses de leurs serveurs DNS. (NDLR: ils sont fourni sur le formulaire d'inscription ;-))
    Pour éviter de chercher les voici :Il y a également le nom de domaine : free.fr (c'est original ! NDLR: mais inutile ;-)
    Ces paramètres sont à mettre dans la boite de dialogue de configuration de KPPP, dans l'onglet connexion. Chez moi l'option "automatique" ne fonctionnait pas.

     

    Regler le MTU (optimisation modem)
      Par : mitrendir <mitrendir chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour accélérer la connexion par modem, on peut régler le MTU (maximum transfert unit, soit la taille maximum de chaque paquet IP transmis) par la commande suivante :
    ifconfig ppp0 mtu 576

    Cela règle le maximum transfert unit à une valeur moindre, plus adaptée pour un modem, et les paquets transitent ainsi plus vite. La valeur par défaut (1500) est en effet plus adapté à un réseau local.

    note du modérateur (Jice) : placez cette commande dans vos scripts de connexion, ou avec kppp dans les commandes à lancer après l'établissement de la connexion, afin que cette optimisation soit prise en compte de manière automatique !

    Pour lancer directement la commande ifconfig après le démarrage de la connexion (en mode ligne de commande seulement, ici avec pengaol), on peut utiliser le script suivant pour lancer la connexion :

    #!/usr/bin/perl
    if(fork()==0) # creation d'un processus fils
    {
        print "attente pour la mtu\n";
        sleep(60); # on attend que la connexion soit effectuee
        system("ifconfig ppp0 mtu 576");
        print "Mtu à 576... bon surf !\n";
    }
    else # le processus normal, on lance pengaol
    {
        print "Lancement de pengaol...";
        system("pengaol -Connect Login");
    }


    Ne pas oublier de mettre ce script en chmod 755 (i.e. exécutable). Il doit toutefois être lancé en root (sur ma mandrake, le mettre en suid root ne marche pas et si quelqu'un trouve, je suis preneur ==> un ch'tit mail).

    Bon Surf.

    Mitrendir

     

    Se connecter via Infonie
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour se connecter à Internet via le FAI Infonie, cela ne se passe pas aussi naturellement qu'avec d'autres FAI pour la configuration, mais en suivants ces indications, vous pourrez vous connecter à internet sans problème.

    Prérequis : vous êtes normalement obligés de disposer de Windows pour y installer le kit Infonie, afin de vous enregistrer, et de récupérer le numéro de téléphone et d'abonné.

    Vous avez des informations pour utiliser Linux avec Infonie à la hotline Infonie, mais elles sont en partie erronées !

    Voici les informations à utiliser :

    1. Numéro de téléphone : récupérez celui qui est utilisé par l'interface Infonie sous Windows.
    2. User : comme nom d'utilisateur, n'utilisez pas le nom d'utilisateur d'infonie normal mais le numéro d'abonné de la manière suivante :
      inf1/numéro_abonné@infonie.fr
      (remplacez infonie.fr par infonie.be en belgique, etc.). Le numéro d'abonné est le nombre composé de nombreux chiffres qui vous a été donné lors de l'installation, et qui est écrit sur les correspondances d'Infonie.
    3. Mot de passe : utilisez :
      1/mot_de_passe_infonie
    4. Type d'identification : CHAP (et non pas PAP ou par script)
    5. DNS (serveurs de nom) : utilisez les deux adresses suivantes :
      212.232.33.67 et 195.242.64.67
      ou utilisez la configuration automatique des DNS.
    6. Nom de domaine (facultatif) : infonie.fr (ou .be, ou...)


    Voilà, avec ces informations, il ne vous reste qu'à configurer votre script, ou kppp, ou ezppp, etc. pour profiter des heures de votre forfait ! Bon surf !

    Note : Infonie ne supportant pas Linux, et les mails reçus de la hotline se résumant à : "débrouillez-vous", je ne vous conseille pas d'utiliser ce FAI. Mais bon, ils ont des forfaits gratuits intéressants ;)

     

    Connexion avec un serveur Novell
      Par : rolling7 <al1 point arhuis chez libertysurf point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    J'ai trouvé vraiment peu d'information sur l'interconnection d'un serveur sous Linux et d'un serveur Novell (4.11 en l'occurence).
    En fait, Linux utilise le protocole NCP pour se connecter à un serveur Novell, il faut donc installer le package "ncpfs-..-i586.rpm" puis taper cette commande en console :
    ncpmount -S nom_serveur_novell -U user_name -P password /root/mnt/Novell (point de montage)

     

    haut


    Réseau>web

    Java dans Konqueror, Mozilla, Galeon... (pour debian)
      Par : merlin <xion point y chez caramail point com>
      Dernière mise à jour : 06/05/2003

    Avec debian (woody ou sarge) n'oubliez pas de créer ce lien :

    ln -s /usr/lib/libstdc++-libc6.2-2.so.3 /usr/lib/libstdc++-libc6.1-1.so.2

    Ceci est valable autant pour utiliser java que pour installer une version de mozilla ou netscape à la "mano".

     

    Votre web cam dans une page web, méthode simple
      Par : drinou télé <f5nlg chez tiscali point fr>
      Dernière mise à jour : 08/02/2003

    Déja, il faut que la cam marche. testez avec qcam, xawtv ou ce que vous avez sous la main.

    Il faut récupérer sur le web w3cam. Ca doit être fourni avec certaines distributions, ou sur le site http://mpx.freeshell.org/.

    Copier le fichier w3cam.cgi dans le répertoire cgi-bin de votre serveur web, puis rajouter la ligne suivante dans votre index.html : (remplacer localhost par l'adresse ou le FQDN de votre serveur web)
    <a href="http://localhost/cgi-bin/w3cam.cgi?refresh=2&color=1&size=320x240&format=jpg&mode=html">Voir ma trombine (jpg) si en ligne ...</a>

    et voilà ca marche !
    votre télé est en ligne :-)

    PS: FQDN = full qualified domaine name, si vous utilisez un nom de domaine, pour dyndns par exemple, c'est nom.dyndns.org.

     

    Installer Flash 6.0 (pour mozilla)
      Par : Maston28 <jtmaston chez wanadoo point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Copier ce qui suit dans : install-flash.sh

    ----install-flash.sh----
    #Ce script telecharge le plugin macromedia flash et l'installe
    #Ecrit pour Lea-knoppix (mais devrait fonctionner avec toute distribution)
    #2003-01-22
    #
    if [ ! -f ~/install_flash_player_6_linux.tar.gz ] ; then
    echo "Patientez pendant que je télécharge le plugin flash ..."
    wget -O ~/install_flash_player_6_linux.tar.gz http://download.macromedia.com/pub/shockwave/flash/english/linux/6.0r69/install_flash_player_6_linux.tar.gz
    fi

    tar xzf ~/install_flash_player_6_linux.tar.gz

    if [ ! -d ~/.mozilla/plugins ] ; then
    mkdir ~/.mozilla/plugins
    fi

    cp ~/install_flash_player_6_linux/*.so ~/.mozilla/plugins/
    cp ~/install_flash_player_6_linux/*.xpt ~/.mozilla/plugins/
    echo "Le plugin flash est installé !"

    ----fin----

    puis lancer le script par :
    sh install-flash.sh
    c'est tout !

     

    Charger un groupe d'onglets sur Mozilla
      Par : Thierry STOEHR <stoehr chez aful point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Mozilla est un des seuls navigateurs à proposer de travailler avec des onglets. Cette méthode vous permet d'ouvrir plusieurs URL dans la même fenêtre.

    Imaginez que vous utilisez toujours les mêmes URL. Vous allez donc ouvrir chacune de ces URL dans un onglet. Puis vous allez enregistrer cet ensemble d'onglet sous un nom de signet. Quand vous relancerez Mozilla, vous pourrez charger ce groupe d'onglets et ouvrir automatiquement vos URL préférées. Ainsi vous accédez à vos sites en un seul clic !

    - Pour ouvrir un nouvel onglet :
    Menu File >> New >> Navigator Tab ou en raccourcis clavier "CTRL + T"

    - Pour enregistrer un groupe d'onglets :
    Menu Bookmarks >> Bookmark this group of Tabs ou en raccourcis clavier "CTRL + B"

    - Pour mettre à jour tous les onglets d'un groupe : un clic droit sur un onglet et vous choisissez "Actualisez tous les onglets" !

    Merci à T. STOEHR pour cette astuce>

     

    Flash avec Konqueror
      Par : pelluet <christophe point pelluet chez laposte point net>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Installation des plug'in Macromédia sur Mandrake 9.0 Final

    1. Télécharger le plug'in sur le site macromédia
    2. li>Ouvrir le fichier téléchargé (flash_linux.tar.gz) en cliquant dessus, ouvrir le repertoire flash_linux
    3. Copier « libflashplayer.so » et « ShockwaveFlash.class » dans /usr/lib/mozilla-1.1/plugins/
    4. démarrer Konqueror
    5. Sélectionner « Configuration / Configurer Konqueror »
      A gauche sélectionner le derniere icône « Modules externe de Netscape »
      Dans le champ chercher dans les dossiers , ajouter « /usr/lib/mozilla-1.1/plugins »
      Cochez « Cherchez les nouveaux modules » puis cliquez sur « Chercher les modules externes »
      En cliquant sur Modules externes vous pouvez voir les nouveaux modules installés.

    >Adresses où télécharger flash :
    http://www.macromedia.com/fr/shockwave/download/alternates/#linux
    ou
    http://download.macromedia.com/pub/shockwave/flash/english/linux/5.0r51/flash_linux.tar.gz

     

    Quelques méthodes pour virer la pub + grosse base de données d'adresses à bannir
      Par : CYBz <cybz chez madchat point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Il existe plusieurs methodes pour se debarasser des bannieres de pub qui ont un peu trop tendance a envahir votre browser. Ce script vous permettra d'en exploiter quelques unes assez efficacement, de créer votre propre methode qui exploitera notre base de donnees, ou bien de contribuer a l'enrichissement de cette meme base de donnees.
    * La premiere methode consiste a utiliser le fichier "hosts" qui existe sur un bon nombre de systemes d'exploitation. Son role est d'associer une addresse IP a un nom d'hote.
    # Exemple de syntaxe :
    127.0.0.1 localhost 192.168.0.1 mondomain.org

    Nous allons l'exploiter ici de façon a associer les domaines hebergeant des pubs sur des addresses IP qui n'existent pas... ce qui aura pour consequence de ne pas afficher les pubs en question.
    Note : Sur certaines machines (et quand le fichier hosts commence a atteindre une taille respectable) l'usage de l'addresse 0.0.0.0 peut ameliorer les performances.
    Il est aussi possible d'installer un serveur web en local et de specifier 127.0.0.1 dans le fichier hosts au lieu de 192.168.0.255. Voici ou trouver ce fichier en fonction de votre systeme d'exploitation :
    - Unix : /etc/hosts
    - Win9x : c:\windows\hosts
    - Win2k : %WINDIR%\system32\drivers\etc\hosts
    Si cette methode vous convient, ce script (http://cybz.madchat.org) vous permettra de generer un fichier hosts bien rempli ! (Pour l'instant il redirigera tout vers l'addresse 0.0.0.0 ... dans le futur vous pourrez surement choisir vous-meme cette addresse).

    * Une autre methode consiste a utiliser Junkbuster. Ce programme est un proxy permettant de bloquer les pubs en fonction des regles que vous lui imposez. Le fichier de configuration Blockfile de Junkbuster permet de bloquer l'acces a certains domaines. Avec ce script, vous pourrez donc aussi generer un fichier Blockfile pour Junkbuster.
    Junkbuster Homepage : http://www.junkbusters.com
    Supported Platform : (Win32, Unix/Linux/BSD, OS/2, BeOS)

    * Ce script vous permet aussi de generer des regles ipchains bloquant les IP des serveurs hebergeant des pubs, pour votre firewall ou votre station de travail linux.
    Petit exemple :
    EXTIP="`ifconfig ppp0|grep inet|awk '{print $2}'|awk -F":" '{print $2}'`"
    #ad.doubleclick.net
    ipchains -A input -i ppp0 -p tcp -s 204.253.104.95 -d $EXTIP/32 -j DENY
    ipchains -A input -i ppp0 -p tcp -s 204.253.104.110 -d $EXTIP/32 -j DENY


    * Il peut aussi generer des regles pour iptables, avec la syntaxe suivante :
    iptables -A block -p tcp -s 204.253.104.95 --dport 80 -j DROP
    iptables -A block -p tcp -s 204.253.104.110 --dport 80 -j DROP


    CYBz & Tobozo.

    ---

    Helpers :
    * http://www.accs-net.com/hosts/get_hosts.html
    * http://www.smartin-designs.com/downloads.htm
    * http://www.smartin-designs.com/submit_form.htm

     

    Java dans Konqueror, Mozilla, Galeon...
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Voilà ! Java fonctionne maintenant dans vos navigateurs !

     

    Comment lire les animations Flash sous Konqueror (plugins Netscape pour Konqueror)
      Par : smurfy <groumph chez worldonline point frr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour les remerciements : Lea, Jonesy, Marc Philippe

    Comment lire les animations Flash sous Konqueror

    Tout d'abord la configuration :
    Ce T&A a été effectué sur une MDK 8.0 avec KDE2 Xfree 4.0.3 mais d'adorables testeurs ont essayé d'autres configurations et cela a marché !
    Donc ce doit être assez général ! Allez, c'est parti :

    I) VERIFICATION DES OPTIONS DE KONQUEROR :


    Ouvrir Konqueror, allez dans "configuration"/"configurer Konqueror"
    Y a-t-il un icône à gauche nommé "Plugin Netscape" ??

    Oui : Chanceux...RDV à la section : "3) j'installe les plugins"
    Non : Bienvenue au Club !! il faut donc installer cette option de Konqueror.

    2) INSTALLATION DE L'OPTION "PLUGINS DE NETSCAPE" DE KONQUEROR


    C'est évidemment l'opération la plus délicate !
    Plusieurs choix peuvent s'offrir à vous :
    Votre distrib est compatible avec les paquetages RPMs ? Facile, il suffit juste de rechercher le paquetage nommé kdebase-nsplugins
    bref
    1) vérifiez que le paquetage nsplugins-xxx.rpm n'est pas dans vos CD d'installation (2ème CD de mdk8 par exemple ;) )
    2) sinon cherchez - http://www.rpmfind.net - et installez  :

    rpm -i lenomdupaquetage.rpm
    pour mdk 8.0, j'ai installé kdebase-nsplugins-2.1.1-13mdk.rpm

    ATTENTION :Il faut que le paquetage
    lesstif-xxx.rpm
    soit installé pour pouvoir installer nsplugins-xxx.rpm

    Et voilà ! Refaites le I) , normalement...un bel icône apparaît. :)

    Note du modérateur (Jicé) : chez moi, pas d'icône, mais ce message d'erreur : "Une erreur s'est produite pendant le chargement du module nsplugin.desktop". Je n'ai pas encore trouvé la raison. Cependant, pas de panique : lancez /usr/bin/nspluginscan, cela va créer le répertoire /home/user/.kde/share/apps/nsplugins avec les plugins trouvés, et Konqueror les reconnaît automatiquement. ouf ;)

    Si vous n'êtes pas compatibles rpm, regardez dans vos propres formats (debian...) et si vous trouvez, installez et vérifiez.
    Si vous n'êtes rien de tout ça, il faut installer et utiliser rpm ou bien installer les tarballs (fichiers .tar.gz).
    Je vous donne une adresse, mais vous faites ce que bon vous semble !

    http://webcvs.kde.org/cgi-bin/cvsweb.cgi/kdebase/

    Cependant...les sources de nsplugins sont disponibles depuis peu dans Kdebase donc...vous devez l'avoir quelque part ;).


    Maintenant que vous avez le petit icône qui apparaît, il ne reste plus qu'à installer les plugins de Netscape (Mozilla).

    3) J'INSTALLE LES PLUGINS FLASH


    Téléchargez le plugin en allant sur le site de Shockwave, il se nomme : flash_linux.tar.gz
    Fermez le navigateur.
    Copiez ce fichier dans un répertoire temporaire (usr/local/src ou autre) et on le "détar" :
    /lerépertoireoùonamislarchive/tar xvfz flash_linux.tar.gz
    on va ensuite dans le répertoire crée : cd fllash_linux
    En faisant un ls on s'aperçoit qu'il y a 4 fichiers : 2 fichiers README et 2 autres fichiers qui sont les fichiers importants

    README
    ReadMe.htm
    ShockwaveFlash.class
    libflashplayer.so

    Copiez les 2 fichiers importants (ShockwaveFlash.class et libflashplayer.so ) dans un des répertoires de plugins de Netscape (ou de Mozilla ou à l'endroit où ça vous convient) :
    En ce qui me concerne, c'était /usr/lib/netscape/plugins
    Avec la ligne de commande ça donne : cp /ouilyalesfichiers/lesfichiers /usr/lib/netscape/plugins

    Voili...normalement c'est fini. Il vous reste à faire cette dernière manipulation :
    Konqueror étant ouvert, on va dans Configuration/configurer Konqueror/ et on clique sur l'icone Plugins Netscape et on fait "chercher les nouveaux modules externes", selon votre installation, vous pouvez ajouter le chemin où vous avez installé les plugins.
    Voili !! si vous voulez vérifier, je vous conseille ce site http://www.wmteam.de/ ou http://sdc.shockwave.com/showcase (une sélection des sites où flash est utilisé).

    Smurfy

     

    Garder son anonymat sur le web (sauf pour léa ;-)
      Par : Philippe <superjoker chez club tiret internet point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Le truc & astuces "garder son anonymat sur le web" permet de supprimer le fichier cookies de netscape à chaque démarrage . Malheureusement pour nous, fan de Léa-Linux, les posts lus se retrouvent de nouveau marqués en non lus :-(

    La solution (mais ce n'est pas la seule) est de filtrer cette suppression en ne gardant que ce qui concerne notre site favori (à mettre dans le $HOME/.bashrc):

    grep lea-linux $HOME/.netscape/cookies > $HOME/.netscape/cookies.tmp && cp -f $HOME/.netscape/cookies.tmp $HOME/.netscape/cookies

    Explications:
    - 'grep' copie dans un fichier temporaire toutes les lignes du fichier cookies comportant lea-linux
    - si la commande précédente s'est bien passée (&&), 'cp -f' écrase le fichier cookies d'origine par le fichier temporaire

     

    Recherche sur internet sans pollution
      Par : Xavier <xgarreau chez club tiret internet point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Qui n'a jamais fait une recherche dans un moteur de recherche pour un problème avec son OS favori ?
    Qui n'a jamais eu de réponses polluées par des résultats n'ayant rien à voir ?

    Essayez http://www.google.com/linux, vous pourrez ainsi faire une recherche sur "X installation" sans avoir 2.159.456 réponses ayant trait à des considérations bien lointaines de notre petit pingouin...

    PS: je n'ai pas d'action chez Google ;-)

     

    Les fontes sous Netscape
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour résoudre vos problèmes de fontes avec Netscape (fontes mal rendues avec un effet d'escalier), utilisez le serveur de fontes xfstt et tout vos sites seront corrects :

  • installez xfstt (allez le chercher sur freshmeat),
  • installez toutes vos fontes true type (piquez celle de windows, dans le rep windows/fonts/*.ttf) dans le répertoire /usr/share/fonts/truetype,
  • lancez un xfstt --sync pour qu'il prenne en compte ces fontes,
  • ajoutez la ligne FontPath "unix/:7101" dans le fichier XF86Config
  • ajoutez dans un fichier script de démarrage (/etc/rc.local par exemple) la ligne "xfstt --res 90"
    Cette ligne lance xfstt en donnant la résolution de 90dpi aux fontes, ainsi elles ont une taille tout à fait normale pour visualiser les pages Web.

    Montez la résolution ou baissez-la si vous trouvez que les fontes sont trop petites ou trop grosses (pour faire prendre les changement en compte directement sans rebooter, vous devez tuer/relancez xfstt ainsi que X).

    PS : les fontes sont disponibles pour Netscape mais aussi pour n'importe quelle autre application X.

    Note du modérateur : La méthode "propre" pour démarrer le serveur de fontes est de créer un script de démarrage dans /etc/rc.d/init.d en s'inspirant de celui de xfs par exemple, et en ajoutant des liens vers ce script dans les répertoires des runlevels 0, 1, 3, 5 au minimum (/etc/rc.d/rc.3 par exemple), soit manuellement, soit en se servant d'un programme graphique comme ksysv.
  •  

    Supprimer les bandeaux publicitaires
      Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour supprimer les bandeaux publicitaires des pages web, j'utilise le programme : adzapper

    Une fois le programme adzapper lancé, il suffit de configurer son navigateur web de façon à ce qu'il utilise le proxy :

    127.0.0.1 (port 51966)

    Et c'est tout ! plus de pub (enfin presque, seulement sur les sites connus)

    Voici une zapplet à ajouter dans le sous répertoire zaplets du répertoire d'installation de adzapper :
    ---couper là---
    <zaplet>
    # zaplet for cgi.declicnet.com
    version 0.1
    host cgi.declicnet.com
    block "appar.cgi"
    </zaplet>
    ---couper là---
    sauver la zaplet sous : cgi.declicnet.com.zap

    relancer adzapper,

    et vous n'aurez plus de pub sur Linuxenrezo !

     

    Garder son anonymat sur le WEB
      Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Les cookies permettent à votre navigateur WEB de vous fournir des informations personnalisées. Mais ils permettent aussi à certains sites mal intentionnés de vous espionner. Une méthode simpliste pour éviter celà est d'interdire les cookies, mais cette méthode ne permet pas de se connecter à certains sites. Une méthode plus fine permet de se connecter à tous les sites mais limite aussi les possibilités d'espionnage des sites mal intentionnés. Il suffit d'effacer régulièrement le fichier dans lequel sont stockés ces cookies.

    J'ai mis dans mon fichier $HOME/.bashrc les lignes suivantes :

    rm -f $HOME/.kde/share/apps/kfm/cookies
    rm -f $HOME/.netscape/cookies

    De cette façon les cookies sont autorisés par les navigateurs (KFM et Netscape en l'occurence), mais les informations qu'ils renferment ne sont pas stockées très longtemps sur ma machine.

    Note du modérateur : pour Netscape on pourrait aussi modifier le script /usr/bin/netscape pour qu'il efface à la fin de chaque session le fichier de cookies.

     

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    Réseau>courrier

    gpg et Kmail
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour utiliser gpg et Kmail (on suppose ici que gpg est configuré et que vous avez créé vos clefs : publique et secrète ; voir l'article sur gpg), il faut aller dans la configuration de Kmail, icône sécurité, onglet OpenPGP, sélectionner l'outil de cryptage GnuPG, cocher les cases qui vous interessent (pour ma part j'ai tout coché ;), puis dans l'icône Identité, onglet Options avancées, sélectionner la clef OpenPGP avec le bouton Modifier.

    Vous devriez dès lors être capable de signer (icône d'une lettre avec un stylo plume à droite dans la barre d'outil) ou crypter vos mails (icône de cadenas).

    Pour crypter un mail, il faut disposer de la clef publique de votre correspondant, et qu'elle soit signée.
    Supposons que vous l'ayez récupérée dans monpote.asc, vous l'importez avec :
    gpg --import mon_pote.asc
    Puis vous listez les clefs :
    $ gpg --list-keys
    /home/jice/.gnupg/pubring.gpg
    -----------------------------
    pub 1024D/6BB34CDE 2001-09-25 Jean-Christophe 'Jice' Cardot <taz98 chez altern.org>
    sub 1024g/8CCD5941 2001-09-25

    pub 1024D/E64019B5 2001-09-13 Frédéric Bonnaud (Fred) <frederic.bonnaud chez laposte.net>
    sub 1024g/422AA63E 2001-09-13

    En gras ci-dessus, vous avez l'identifiant de clef (ou key_id) : E64019B5.

    Vous allez signer la clef en faisant :
    gpg --sign-key E64019B5

    Relancez kmail, vous pouvez maintenant envoyer des mails cryptés à votre correspondant (icône de cadenas dans la barre d'outils).

    On peut aussi utiliser l'interface de gpg en tapant :
    $ gpg --edit-key Fred
    gpg (GnuPG) 1.0.6; Copyright (C) 2001 Free Software Foundation, Inc.
    This program comes with ABSOLUTELY NO WARRANTY.
    This is free software, and you are welcome to redistribute it
    under certain conditions. See the file COPYING for details.

    La clé secrète est disponible.

    pub 1024D/E64019B5 créée: 2001-09-13 expire: never confiance: f/u
    sub 1024g/422AA63E créée: 2001-09-13 expire: never
    (1) Frédéric Bonnaud (Fred) <frederic.bonnaud chez laposte.net>

    Commande>sign
    ...
    Commande>save
    ...

     

    Récupérer le mail d'Outlook sous Linux
      Par : Léa (Jice) <taz98 chez altern point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Pour récupérer les dossiers de mail d'Outlook pour les utiliser dans votre logiciel de mail préféré sous Linux, c'est très simple : il suffit d'utiliser mbx2mbox qui se trouve à l'adresse suivante : http://mbx2mbox.sourceforge.net.

     

    Comment supprimer des mails sans les rappatrier ?
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    (Piloter le serveur POP à la main)

    Lorsque quelqu'un vous a envoyé un énorme mail, et que vous ne souhaitez pas passer des heures afin de le récupérer, il existe un moyen d'y aller "à la main" afin de le virer (en attendant que quelqu'un nous fasse une petite appli sympa qui fait ça en mode graphique ?)

    Il suffit de se connecter à internet puis avec telnet sur le port 110 de la machine depuis laquelle vous rappatriez vos mails (en général, pop.votre_fournisseur.fr).

    Par exemple, en ligne de commandes : telnet pop.free.fr 110

    Vous allez vous retrouver sur une sorte de prompt, et il vous faudra taper dans l'ordre les commandes suivantes afin de vous authentifier :

    USER mon_compte [Entrée]


    PASS mon_mot_de_passe [Entrée]

    (Attention ! on regarde par dessus ton épaule :)

    Enfin, le serveur comprend des commandes afin de gérer les messages :

    commande commentaire
    LIST [Entrée] Affiche la liste des messages, permet de consulter la taille de chaque message.
    RETR numéro_de_message >i>[Entrée] Affiche tout le message correspondant.
    TOP numé_de_message nbre_de_lignes_à_afficher [Entrée] Affiche les n premières lignes du message.
    DELE numéro_de_message [Entrée] Supprime le message correspondant.
    QUIT [Entrée] Bye bye...

    Le serveur répond avec des messages "+OK" lorsqu'il a compris et exécuté votre commande.

    Donc vous voyez ce qu'il vous reste à faire : un ptit "LIST" pour repérer l'intrus, puis un "DELE numéro" pour le virer, avec éventuellement un "TOP numéro 20" pour voir ses 20 premières lignes (des fois que ça soit important ! :)


    Charles Goyard m'écrit :

    Il pourrait etre utile d'ajouter une référence à l'outil poppy, qui permet de lire ses mails directement sur un serveur pop ou imap. On peut, sans rappatrier, lire le début, supprimer, etc... Cet outil a été écrit pour les gens qui n'ont pas de connexion rapide.

    A noter que j'ai patché poppy pour qu'il puisse supprimer automatiquement les mails de plus d'une certaine taille, et envoyer un mail à l'expéditeur pour lui signaler de ne pas envoyer de gros messages. La version patchée n'est pas encore dispo en ligne mais ça ne saurait tarder.

    Je me sers de la version automatisée après un fetchmail -l 200000 chez moi, c'est bien pratique.

    http://home.sprynet.com/~cbagwell/poppy-2.0.tar.gz

    En plus, l'auteur est assez sympa.


     

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    Réseau>transfert de fichiers

    Reprendre un transfert de fichier (2)
      Par : mathieu <yeupou chez gnu point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    lanesrine propose une astuce pour reprendre un téléchargement interrompu avec konqueror.

    Pour les fichiers de taille importante (14 MO, 650 MO...), il peut être plus judicieux d'utiliser wget.

    Dans un terminal, il suffit de taper
    wget --continue http://monfichier

    ça a le même effet mais ça prend moins de mémoire et c'est moins tentant de fermer le terminal qui traine...

     

    Reprendre un transfert de fichier
      Par : lanesrine <alaindesadrets chez libertysurf point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Quand on transfère un fichier de 14 Mo, c'est à 13.99 Mo que le téléphone coupe.
    4h de perdues ? Non !
    N'effacez pas le fichier.
    Sous Konqueror, refaites la manip de transfert du dit fichier dans le même répertoire sous le même nom.
    Au moment ou vous pensez écraser votre ancien fichier, Konqueror vous demande "écraser ou continuer" ?
    Si vous choissisez "continuer", Konqueror finit de télécharger le fichier (quel que soit le logiciel utilisé pour faire le début de téléchargement bien sûr).

     

    Get Right sous linux !
      Par : smurfy <groumph chez worldonline point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Ce logiciel apparait dans quelques magazines... mais pour ceux que ça intéresse, il possède tout plein de possibilités. Il permet, notamment, de reprendre un téléchargement lorsque celui-ci a été interrompu, de télécharger pleins de fichiers en même temps, de programmer les téléchargements, ET IL SUPPORTE le TIRER-GLISSER ! c'est pas beau, ça ?
    Il s'appelle Downloader For X et on le trouve a l'adresse suivante : http://www.krasu.ru/soft/chuchelo
    Il très très très très convivial... et très très pratique.
    A+

     

    Télécharger une suite de fichiers numérotés
      Par : amaury <amaury07 chez ifrance point com>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Nous cherchons à enregister une série de fichiers, souvent des images à partir d'un site web.
    Par exemple, considérons les fichers suivants :
    http://site.web/image1.jpg
    http://site.web/image2.jpg
    ...
    http://site.web/image234.jpg

    Rares seront les personnes assez courageuses pour enregister un par un ces 234 fichiers !

    il suffit juste de créer un fichier exécutable comme celui-ci (nommé enreg ) :


    #!/bin/sh
    case "$#" in
      4)
      debut=$3
      fin=$4
      while [ $debut -le $fin ]; do
        wget $1$debut$2
        debut=$[$debut+1]
      done
      ;;
      *)
      echo "Utilisation :
    enreg 'debut URL' 'fin URL' 'chiffre debut' 'chiffre fin'" ;;
    esac


    Une fois ce script écrit, copiez-le dans /usr/local/bin/ ou si cela ne marche pas copiez le dans /usr/bin/ (méthode un peu forcing)
    Donnez-lui les droit d'execution : chmod a+x enreg

    Pour utiliser ce script, placez-vous dans le répertoire qui recevra les fichiers, et tapez la ligne de commande :
    enreg 'debut URL' 'fin URL' 'debut chiffre' 'fin chiffre'
    exemple :
    enreg http://www.linux.org/image .jpg 1 22

    Le script enregistrera alors dans ce répertoire :
    http://www.linux.org/image1.jpg
    http://www.linux.org/image2.jpg
    http://www.linux.org/image3.jpg
    http://www.linux.org/image4.jpg
    ...
    http://www.linux.org/image22.jpg

    Vous voici prêt à enregistrer des séries d'images ou de fichiers quelconques.

    Note du modérateur (Jicé) : ce script nécessite la présence du programme wget.

     

    Rechercher un fichier sur internet en une seule ligne de commande
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Par exemple, disons que nous avons besoin de trouver le fichier md5sum.exe pour DOS. Nous allons voir comment faire pour créer un alias qui nous permettra de taper une seule ligne de commande pour ce faire. Nous utiliserons de manière transparente le serveur ftpsearch (http://ftpsearch.lycos.com).

    Vous avez besoin d'installer le package lynx. (Lynx est un browser Web en mode texte).

    Nous allons créer une nouvelle commande ftpsearch : créez un fichier /usr/local/bin/ftpsearch, contenant :
    #!/bin/sh
    lynx "http://ftpsearch.lycos.com/cgi-bin/search?form=lycosnet&query=$1"
    puis tapez (afin de rendre ce script exécutable) :
    chmod a+x ftpsearch

    Ensuite, la commande :
    [jice@taz jice]$ ftpsearch md5sum.exe
    donne
     ...
     1 /mirrors/linux/OfficialCD/1.3.1/utilities/md5sum.exe
     33.0K - 1997 Jul 11 00:32
     FTP Site: ftp.it.net.au

     2 /mirrors/linux/debian-cd/OfficialCD/1.3.1/utilities/md5sum.exe
     33.0K - 1997 Jul 11 00:32
     FTP Site: ftp.it.net.au

     3 /pub/DOS_Extras/md5sum.exe
     21.3K - 1997 Jan 18 00:00
     FTP Site: ftp.forth.org

     4 /pub/DOS_Extras/md5sum.exe
     21.3K - 1997 Jan 18 00:00
     FTP Site: ftp.taygeta.com
     ...

    Il ne vous reste plus qu'à choisir le serveur !

     

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    Sauvegarde

    Tout (hum...) sur le gravage, les sauvegardes sur bandes, etc.
    Cloner son système
      Par : Jonesy <jonesy_at_wanadoo_dot_fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Cloner votre système consiste à faire une copie de votre système, comme le fait par exemple ce Trucs & Astuces : Copier (déplacer) son Linux sur DD. A la différence, que cette copie vous pourrez la mettre à jour très rapidement et très facilement.
    C'est ce que l'on appelle une Sauvegarde différentielle en informatique.

    Quel est l'intérêt d'une telle copie ?
    Etre sûr de conserver un système qui marche impéccablement bien et en même temps pouvoir faire des tests d'installations de logiciels, d'optimisation, de création de packages et tout ce qui peut vous passer par la tête sur votre système.
    La création de packages pour sa distribution est un bon exemple, car c'est typiquement le genre d'activité où vous pouvez casser votre système, surtout lorsque vous packagez une librairie centrale.
    Et donc ainsi, vous pouvez tester ce que vous voulez en toute sécurité, une fois que vous savez que cela marche sur la copie, vous l'appliquez sur votre système original (stable) et vous n'avez plus qu'à remettre le système copié à jour.
    Enfin, si un jour pour une raison ou une autre le système original ne fonctionne plus, vous aurez votre copie.

    Bien entendu, cela peut vous servir pour faire simplement une sauvegarde régulière rapidement.

    Pré-requis

    Vous devez de préférence avoir une partition libre d'une taille adéquate. La taille doit être égale à la somme des tailles des partitions de votre système original (/ + /home + /usr + /boot +...). Si ce n'est pas le cas, il faut qu'une partition de votre système soit capable d'accueillir tout le système.
    De plus, il est souhaitable, que vous maitrisiez la configuration de votre loader (lilo, grub) et le fichier /etc/fstab.
    Enfin, pour que la copie soit efficace et significative, il est conseillé d'être root. Alors méfiance à ce que vous faites !

    Par la suite, je considère que le système copié est sur une partition indépendante (libre). Donc je vais supposer que la partition est montée sous /mnt/copie.

    La première copie

    Nous allons créer un fichier d'exclusion, qui comme son nom l'indique, contiendra la liste des fichiers ou répertoires à ne pas sauvegarder. Car certains répertoires et fichiers sont inutiles sur le système copié.

    Le fichier exclud.lst :

    --------------------
    /proc
    /tmp
    /mnt
    /etc/fstab
    --------------------

    Ce fichier doit aussi contenir le répertoire où vous faites la copie si vous décidez de mettre la copie ou de monter la partition ailleurs que sous /mnt.
    Une fois ce fichier créé, gardez-le bien au chaud dans un coin, vous en aurez besoin à chaque mise jour. Maintenant, copions le système :

    rsync -ravH --exclude-from=exclud.lst / /mnt/copie

    La copie faite, si vous le désirez, vous pouvez rendre ce nouveau système bootable :

    cd /mnt/copie
    mkdir proc tmp mnt
    chmod -R 755 proc mnt
    chmod -R 777 tmp

    De plus, créez les répertoires utiles dans /mnt/copie/mnt, comme cdrom, win_c ou floppy.
    Créez le fichier /mnt/copie/etc/fstab correspondant à ce nouveau système. C'est à dire qu'il doit ressembler à celui d'origine mais en y enlevant les lignes des autres points de montages (/home, /usr, /boot,...) et en remplacant le /dev/... du root (/) par celui de la partition de copie.
    Et enfin sur le système orignal, modifiez la configuration de votre loader afin de pouvoir booter sur le système copié.

    Mise à jour de la copie par rapport à l'original

    Ressortez le fichier exclud.lst, montez la partition contenant la copie, nous allons la mettre à jour. C'est à dire que seulement ce qui a été modifié, créé ou détruit sur le système original depuis la dernière mise à jour sera reproduit sur le système copié (sauvegarde différentielle).

    rsync -uravH --delete --exclude-from=exclud.lst / /mnt/copie

    Si vous souhaitez simplement simuler ce qui va se passer afin de vérifier avant :

    rsync -uravHn --delete --exclude-from=exclud.lst / /mnt/copie

    Et, important, si vous ne voulez pas effacer les fichiers de la copie qui n'existent plus sur l'original, faites :

    rsync -uravH --exclude-from=exclud.lst / /mnt/copie

    Dans ce dernier cas, votre copie ne sera plus exactement la copie de l'original.

    Voilà, vous savez tout ! Je vous invite à faire un petit man rsync pour en savoir plus.

    PS : La commande rsync est applicable sur n'importe quel répertoire. Je pense particulièrement aux répertoires sensibles, tel que /etc, si vous n'avez pas la possibilité de sauvegarder tout votre système.

     

    Copier (déplacer) son Linux sur DD
      Par : Marc <marc chez nasgaia point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Voici une méthode permettant de faire simplement un double de sa distribution (ou d'une partie de celle-ci) sur son disque dur avant de se lancer dans de nouvelles aventures. Si l'on préfère elle peut également servir à changer la distribution de partition(s). Cette méthode utilise la commande tar qui a l'avantage de préserver les propriétaires et permissions des fichiers ainsi que les liens symboliques sans que l'on ait besoin de lui passer d'options particulières.

    Pour simplifier, nous admettrons ici que votre distribution tient sur une seule partition. Si ce n'est pas le cas il vous suffira de répéter ce qui suit, en l'adaptant légèrement, pour chacune de celles que vous souhaitez copier. Elle nécessite bien sûr que vous disposiez alors de partitions libres en nombre et taille suffisants.

    Nous allons donc copier notre distribution située en hda1 (source) vers hda2 (cible).
    - Passez en root : su -
    - Montez la cible en /mnt/disk par exemple : mount /dev/hda2 /mnt/disk
    Utilisez l'option -t pour préciser le type du système de fichiers si vous rencontrez un problème.
    - Placez-vous dans le répertoire cible : cd /mnt/disk
    - Lancez la copie de la source : (cd / ; tar cf - *) | tar xvf -
    Nous utilisons ici un sous-shell pour nous placer à la racine de notre distribution /. Nous l'archivons totalement sur la sortie standard puis la désarchivons sur l'entrée standard (pour ne copier qu'une partie de la distribution, il suffit de mofidifier le "cd /source", par exemple en "cd /home" pour ne copier que les répertoires utilisateurs). Il est a noté qu'aucune archive tar n'est réellement écrite.

    Maintenant nous aimerions pouvoir tester le résultat, et voir si notre double fonctionne bien.
    - Editez le fichier fstab de la cible pour le modifier en conséquence, par exemple :
    /dev/hda1 / ext3 defaults 1 1 devient /dev/hda2 / ext3 defaults 1 1
    - Retournez chez vous : cd
    - Editez le fichier lilo.conf de la source : vi /etc/lilo.conf
    Là vous ajoutez une entrée pointant vers la cible.
    - Rendez ceci effectif : lilo

    Il ne vous reste plus qu'à redémarrer sur votre double pour juger du résultat. Ca marche ! Oui, mais il y a un petit défaut ... les fichiers cachés (dont les noms commencent par un .) sont maintenant si bien cachés que l'on ne les retrouve plus. En fait ils n'ont pas été copiés, il vous faudra les ajouter. Heureusement ils ne sont pas très nombreux et généralement situés presque tous dans les "home" des users et de root.

    J'ai testé cette méthode avec succès. Je ne pense pas qu'elle comporte de réel danger pour votre distribution, puisque vous n'en faite qu'une copie. Soyez prudents tout de même, notamment si vous décidez de déplacer ainsi votre distribution en supprimant ensuite la source.

     

    Sauvegarde automatisée sur CDRW -- Complément
      Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Complément de l'astuce postée :
    http://lea-linux.org/trucs/lire.php3?id=76

    Si vous désirez réaliser une sauvegarde avec conservation du propriétaire, du groupe et des permisssions d'accès, otez l'option -r de la ligne de commande de mkisofs.

    Ce qui donne :

    # mkisofs -o temp.iso -J -R -graft-points -l -L -no-bak -allow-multidot -q home/=/home www/=/var/www mysql/=/var/lib/mysql

    Restaurer ensuite l'archive avec un :
    # cp -p Archive Emplacement

    Les droits d'origine sont ainsi conservés.

     

    Restaurer une sauvegarde en conservant les droits initiaux
      Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    # cp -p MaSauvegarde Emplacment

    L'option -p permettra de conserver le propriétaire, le groupe et les permissions d'accès.

     

    Sauvegarde sur ZIP
      Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    Le script commenté :

    #! /bin/sh
    # ---------------
    # SAUVEGARDE AUTOMATISEE SUR ZIP
    # DU REPERTOIRE DE PUBLICATION WEB
    # ET DU REPERTOIRE DE STOCKAGE DES BASES MySQL
    # TUX PUNX
    # 2001-14-08
    # ---------------

    # #####################
    # PARAMETRES PERSONNELS
    #
    # Point de montage du zip
    MountZip="/mnt/zip/"
    # Repertoire de publication WEB
    WWW="/var/www/html/"
    # Repertoire de stockage des bases MySQL
    MySQL="/var/wwww/lib/mysql/"
    #
    # #####################


    # Création d'un dossier de stockage temporaire
    mkdir /home/$USER/temp/

    # Création des différentes archives + recup de leur taille
    # Répertoire personnel
    tar -cIvf /home/$USER/temp/$USER.tar.bz2 /home/$USER/
    a=`ls -l /home/$USER/temp/$USER.tar.bz2 | awk ' { print $5 } '`

    # Web
    tar -cIvf /home/$USER/temp/www.tar.bz2 $WWW
    b=`ls -l /home/$USER/temp/www.tar.bz2 | awk ' { print $5 } '`

    # MySQL
    tar -cIvf /home/$USER/temp/mysql.tar.bz2 $MySQL
    c=`ls -l /home/$USER/temp/mysql.tar.bz2 | awk ' { print $5 } '`

    # Message
    echo "Archive tar.bz2 du répertoire personnel ($USER) -- OK [taille : $a octets]"
    echo "Archive tar.bz2 du répertoire de publication web -- OK [taille : $b octets]"
    echo "Archive tar.bz2 du répertoire de stockage des bases MySQL -- OK [taille : $c octets]"

    # Poids cumulé de ces archives
    somme=`expr $a + $b + $c`
    echo "Total cumulé des archives : $somme octets"
    stockage=`expr $1 \* 1048576`
    echo "Capacité de stockage : $stockage octets"

    # Test capacité d'accueil
    if [ $somme -lt $stockage ]
    then
    echo "Capacité de stockage : ----- OK"
    echo "Sauvegarde en cours..."
    cp -rf /home/$USER/temp/*.* $MountZip
    echo "Sauvegarde effectuée".
    rm -rf /home/$USER/temp
    echo "Nettoyage OK"

    else
    echo "Capacité de stockage : ----- NOT OK."
    echo "Pas assez de place sur votre disquette ZIP $1"
    rm -rf /home/$USER/temp
    echo "Nettoyage OK"
    exit
    fi

    # ---------------
    # SAUVEGARDE AUTOMATISEE SUR ZIP
    # TUX PUNX
    # 2001-14-08
    # ---------------

    Pour lancer le script : ./NomDuScript [parametre du zip : 100 ou 250]
    Le paramètre 100 ou 250 est nécessaire au bon fonctionnement de ce script.
    Automatisez ce script par un cron.

     

    Mdk 7.2 : sauvegarde automatisée sur CDRW
      Par : Tux Punx <tux point punx chez tuxfamily point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003

    LE SCRIPT

    #! /bin/sh

    # ---------------
    # SAUVEGARDE AUTOMATISEE SUR CDRW
    # TUX PUNX
    # 2001-05-05
    # ---------------

    # TEST DES PARAMETRES D'ENTREE : speed=$1 device=$2
    if [ $# -lt 2 ]
    then
    echo "NB parametres : NOT OK."
    echo "SYNTAXE : svg [speed] [device]."
    echo "Par exemple : svg 4 1,0,0"
    exit
    else
    echo "SYNTAXE OK"
    fi

    # ETAPE : FORMATAGE RAPIDE DU CDRW
    cdrecord -v -pad speed=$1 dev=$2 blank=fast

    # CREATION D'UNE IMAGE ISO
    mkisofs -o temp.iso -J -r -R -graft-points -l -L -no-bak -allow-multidot -q home/=/home www/=/var/www mysql/=/var/lib/mysql

    # GRAVURE DE L'IMAGE
    cdrecord -v -eject speed=$1 dev=$2 temp.iso

    # SUPPRESION DE L'IMAGE ISO
    rm -f temp.iso

    # ------------------ Fin du script ---------------------
    # --------- Tux Punx ----------
    # ------------------------------------------------------

    INSTALLATION
    On lancera ce script en lui accordant les droits en exécution :
    # chmod +X svg.sh

    Seul le root peut lancer le script (cdrecord/mkisofs).


    Un lien symbollique simplifie grandement son lancement :
    # ln -sf /Repertoire/Où/Le/Script/Se/Situe/svg.sh /bin/svg

    Dès lors le script se lance via la commande suivante :
    # svg [vitesse du graveur CDRW] [device du graveur]
    Par ex : svg 4 1,0,0

    Afin de ne pas avoir à taper toujours les paramètres, on réalise un alias :
    # alias svg='svg 4 1,0,0'
    [a adapter à votre configuration]

    Afin de memoriser l'alias une bonne fois pour toute, on édite le fichier /root/.bashrc et on y copie l'alias :
    # su
    # joe /root/.bashrc

    # AUTOMATISATION
    Un utilise un CRON. Pour un lancement tous les dimanches midi.
    # crontab -e
    Dès lors, appuyer sur la touche a afin de passer en mode ajout texte.
    Saisissez alors :
    0 12 * * 0 /Chemin/Où/Est/Stocké/Le/Script/svg.sh Parametre1 Parametre2
    (Parametre1 et Parametre2 sont bien entendus à adapter à votre configuration)
    Appuyez alors sur Echap, puis saisissez :wq afin de sortir de CRONTAB.
    La commande crontab -l vous permettra de vérifier la bonne prise en compte de votre saisie. Vous recevrez un email chaque fois que CRONTAB exécute votre sauvegarde.

    # REMARQUE
    Des erreurs peuvent apparaitre lors de la création de l'image ISO et la rencontre de nom de fichier format Joliet identiques, surtout lors du traitement des fichiers du cache. Si ça se produit, videz votre cache avant de lancer la sauvegarde.

     

    Graver une image ISO
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    En ces temps de connexion internet par ADSL ou câble, les personnes qui peuvent télécharger des images ISO (fichier contenant l'image de ce qui se trouve sur un CD) sont de plus en plus nombreuses.
    Oui, mais... Comment les graver ?

    Sous Linux, c'est simple. Une ligne de commande suffit :
    # cdrecord -v speed=8 dev=0,5,0 /chemin/image.iso
    avec :
    * speed la vitesse du graveur 8 pour 8x par exemple,
    * dev l'adresse sur le bus SCSI du graveur, obtenue avec la commande :
     # cdrecord -scanbus
    Note : si vous avez aussi téléchargé le fichier md5sums (lorsqu'il existe), vous pouvez tester votre image avant de la graver par la commande :
    $ md5sum -c md5sums

    Sous Windows, utilisez votre logiciel de gravure, et choisissez la fonction "graver une image". Ouvrez alors le fichier contenant l'image ISO, et gravez-le.
    Nero (Les fichiers .nrg de Nero seraient en fait des images ISO) et Easy CD Creator savent le faire à ce qu'il paraît.

    PS : une erreur classique consiste à graver le fichier image.iso sur le système de fichiers du CD (i.e. le CD contient un seul fichier, votre image ISO). Dans ce cas, vous pouvez toujours vous en servir en montant le CD, puis en montant l'image en loopback (voir ce truc), mais c'est de la bidouille, et surtout c'est fichu pour booter sur le CD (ex : CD d'une distribution Linux).

     

    Lecteur de bandes SCSI
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Le périphérique pour les bandes (en anglais tape) est /dev/st0 (ou /dev/nst0 pour ne pas rembobiner la bande après chaque action).
    (Si vous avez plusieurs lecteurs de bandes, remplacez le 0 ci-dessus par 1, 2, etc.)

    L'outil de gestion des bandes est mt.
    pour avoir des infos, tapez mt status
    (man mt pour plus d'options)

    Pour faire les sauvegardes, vous pouvez le faire totalement manuellement avec tar ; il existe d'autres outils, comme taper.
    (je vous renvoie aux manpages de ces programmes)

     

    Graver sous Linux
      Par : Jice <jice chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Il y a maintenant un article sur la gravure en ligne de commande sur Léa ; je vous conseille également ces trois liens :
    • CD-Writing-HOWTO
    • funix.org
    • linuxfr.org
    Bon surf ;)

    Graver une image ISO : lire ce truc.
    (pour la tester avant, lire cet autre truc.)

    Copier un CD (merci à BooK) :
    alias cdcopy='su root -c "cdrecord -v fs=4m dev=0,6,0 speed=6 /dev/scd0"'
    Explications :
    • -v : mode verbeux
    • fs=4m : fifo de 4 Mo
    • dev=0,6,0 : identifiant SCSI du graveur (pour connaître le votre, tapez cdrecord -scanbus)
    • speed=6 : vitesse de votre graveur
    • /dev/scd0 : identifiant de votre lecteur de CD-ROM (souvent aussi /dev/hdc)
    Cet alias cdcopy (vous pouvez placer la ligne de définition dans votre .bashrc) copie un CD de votre lecteur vers votre graveur à la volée ; il vous demande le passwd du root avant de commencer.

     

    Graver avec un graveur IDE
      Par : olio <st chez lea tiret linux point org>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Pour les graveurs SCSI pas de problème, le gravage passe toujours le graveur étant tout de suite reconnu. Par contre pour ce qui est des graveurs IDE, cela n'est pas automatique : il faut émuler son graveur IDE en graveur SCSI.

    Si vous avez de la chance (et cela sera le cas avec toute distribution récente), l'émulation IDE/SCSI est déjà compilée dans votre noyau, et il suffit de l'activer. Si le fichier ide-scsi.o ou ide-scsi.o.gz existe dans /lib/modules/(version du noyau)/scsi/, passez directement à la configuration de /etc/conf.modules ci-dessous.

    Sinon, il faut compiler le noyau, et le configurer comme suit (voir aussi la rubrique noyau pour un tutoriel sur la compilation) :

    Enhanced IDE/MFM/RLL... Y
    IDE/ATAPI CDROM M
    SCSI hostadaptor emulation M
    Loopback device M
    SCSI support Y ou M
    SCSI CD-ROM support Y ou M
    Enable vendor-specific Y
    SCSI generic support Y ou M
    (choisir un driver SCSI, n'importe lequel)
    ISO 9660 CDROM filesystem Y
    Microsoft Joliet cdrom... M



    Puis inclure dans votre /etc/conf.modules ces lignes :
        alias scd0 sr_mod
    
    alias scsi_hostadapter ide-scsi
    options ide-cd ignore=hdb

    Remarque 1 : remplacez hdb ci-dessus par la bonne valeur pour vous (c'est à dire hdb si votre graveur est sur le premier contrôleur IDE en esclave,hdc s'il est sur le second en maître, hdd s'il est sur le second en esclave, etc.) !
    Remarque 2 : si vous avez également une carte SCSI, remplacez scsi_hostadapter par scsi_hostadapter0 et placez la ligne AVANT la ligne concernant votre carte SCSI.

    Normalement, tout devrait bien passer ensuite.
    Il suffit de passer au noyau au démarrage la commande : "hdc=ide-scsi". Pour LILO, cela se fait en ajoutant la ligne 'append = "hdc=ide-scsi"' (ou 'append="hdc=ide-scsi hdd=ide-scsi"' si vous avez plusieurs lecteurs/graveurs) dans la section "linux" du fichier /etc/lilo.conf (si vous avez déjà une ligne append, il faut l'ajouter à cette ligne, comme par exemple dans 'append = "mem=256M hdc=ide-scsi"'.)
    Pour LOADLIN, il suffit de modifier votre ligne de commande :

    C:\>LOADLIN C:\LINUX\VMLINUZ root=/dev/hdb1 ro hdc=ide-scsi

    périphérique : le graveur qui auparavant était sur /dev/hdb (par exemple) se retrouve maintenant sur /dev/scd0 (ou /dev/scd1 etc. en fonction de vos autres lecteurs de CD ou graveurs SCSI ou émulés en SCSI).
    Il faut donc modifier /etc/fstab pour refléter cette modification.

    Attention : cdrecord et cdrdao supportent les graveurs IDE, mais n'essayez pas de graver avec cdwrite : il ne supporte que le SCSI.

    (révision par Jice)

     

    Tester une image ISO avant de la graver
      Par : Fred <tux point le point pengouin chez free point fr>
      Dernière mise à jour : 31/01/2003
    Supposons que vous ayez une image ISO : image.iso à graver, mais vous aimeriez bien la tester avant de vous lancer dans la gravure.

    C'est très simple, il suffit de la monter :

    mount image.iso /mnt/image -t iso9660 -o loop

    puis vous pouvez accéder à votre image ISO comme si vous aviez gravé le cd. Cool non ?

    Note du modérateur:
    * Pour que cela fonctionne il faut le support de loop, soit dans le kernel, soit en module (ce qui est le cas dans 90% des installations des distributions actuelles).
    * Pour graver une image ISO, voir ce truc.

     

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    © Jice 2001-2003

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